Dans les médias
Une revue non exhaustive des articles parus dans les médias qui traitent de la forêt et des travaux des membres du CEF.
Le CEF dans les médias
12 juin 2025
Protection des caribous montagnards : Proposition « farfelue » des élus de la Haute-Gaspésie 
Un article dans La Presse
Exposer les derniers caribous de la Gaspésie à l’humain, construire une serre pour produire du lichen, embaucher des « bergers des caribous » chez les Premières Nations ; les élus de la Haute-Gaspésie ont adopté sans préavis mardi une proposition de mesures de protection du cervidé qualifiées de « farfelues » par des spécialistes de la question. « Nous proposons la création d’un troisième enclos de plus grande envergure », qui servirait notamment à « l’insémination artificielle auprès de l’ensemble des femelles des hardes, conformément aux recommandations du biologiste Martin-Hugues St-Laurent », peut-on lire dans le document. « Je n’ai jamais parlé de ça ! » s’est exclamé le chercheur, joint par La Presse, estimant que beaucoup d’affirmations de la MRC ne tiennent pas la route sur le plan scientifique.
Un article dans La Presse
Exposer les derniers caribous de la Gaspésie à l’humain, construire une serre pour produire du lichen, embaucher des « bergers des caribous » chez les Premières Nations ; les élus de la Haute-Gaspésie ont adopté sans préavis mardi une proposition de mesures de protection du cervidé qualifiées de « farfelues » par des spécialistes de la question. « Nous proposons la création d’un troisième enclos de plus grande envergure », qui servirait notamment à « l’insémination artificielle auprès de l’ensemble des femelles des hardes, conformément aux recommandations du biologiste Martin-Hugues St-Laurent », peut-on lire dans le document. « Je n’ai jamais parlé de ça ! » s’est exclamé le chercheur, joint par La Presse, estimant que beaucoup d’affirmations de la MRC ne tiennent pas la route sur le plan scientifique.
12 juin 2025
Le gouvernement va agrandir l’enclos des caribous de Charlevoix
Un article dans Le Devoir
Le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs a lancé le mois dernier un appel d’offres afin d’agrandir l’enclos des derniers caribous de Charlevoix, qui sont confinés dans un espace d’à peine 0,2 km2. [..] Expert reconnu du caribou forestier, Martin-Hugues St-Laurent estime que ces animaux pourraient bien devoir vivre plusieurs années ainsi, le temps que les mesures de restauration des habitats soient mises en œuvre.
Un article dans Le Devoir
Le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs a lancé le mois dernier un appel d’offres afin d’agrandir l’enclos des derniers caribous de Charlevoix, qui sont confinés dans un espace d’à peine 0,2 km2. [..] Expert reconnu du caribou forestier, Martin-Hugues St-Laurent estime que ces animaux pourraient bien devoir vivre plusieurs années ainsi, le temps que les mesures de restauration des habitats soient mises en œuvre.
12 juin 2025
Une visite réussie pour l'Association des produits forestiers du Canada
Actualités de la FFGG
La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) de l'Université Laval a eu le privilège d'accueillir le comité de foresterie de l'Association des produits forestiers du Canada (APFC). Les responsables de l'aménagement forestier des compagnies membres de l'APFC, venus de partout au pays, ont pu rencontrer l'équipe de la FFGG et se familiariser avec les activités de recherche et d’enseignement qui y sont menées.
La délégation a d’abord visité une coupe partielle ainsi qu’une des tours à flux installées à la Forêt Montmorency, puis a bénéficié d’une présentation d'Alexis Achim, directeur scientifique, sur sa vision du développement de la recherche. D'autres activités ont suivi: démonstration du drone AltaX par André Gagné (anciennement professionnel de recherche du CEF et maintenant responsable des travaux pratiques et de recherche à la FFGG) et Emmanuelle Baby-Bouchard (professionnelle de recherche); visite du site de TransX par le professeur Loïc D'Orangeville; et enfin, rencontre de Jean-Michel Beaudoin, titulaire de la Chaire de leadership en enseignement (CLE) en foresterie autochtone.
Actualités de la FFGG
La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) de l'Université Laval a eu le privilège d'accueillir le comité de foresterie de l'Association des produits forestiers du Canada (APFC). Les responsables de l'aménagement forestier des compagnies membres de l'APFC, venus de partout au pays, ont pu rencontrer l'équipe de la FFGG et se familiariser avec les activités de recherche et d’enseignement qui y sont menées.
La délégation a d’abord visité une coupe partielle ainsi qu’une des tours à flux installées à la Forêt Montmorency, puis a bénéficié d’une présentation d'Alexis Achim, directeur scientifique, sur sa vision du développement de la recherche. D'autres activités ont suivi: démonstration du drone AltaX par André Gagné (anciennement professionnel de recherche du CEF et maintenant responsable des travaux pratiques et de recherche à la FFGG) et Emmanuelle Baby-Bouchard (professionnelle de recherche); visite du site de TransX par le professeur Loïc D'Orangeville; et enfin, rencontre de Jean-Michel Beaudoin, titulaire de la Chaire de leadership en enseignement (CLE) en foresterie autochtone.
12 juin 2025
Concours Chapeau, les filles!: des étudiantes qui se démarquent dans des domaines traditionnellement masculins
Un article dans ULaval nouvelles
Le concours Chapeau, les filles! et son volet universitaire, appelé Excelle Science, soulignent la volonté, le courage, le travail et l'engagement des étudiantes qui font le pari d'exercer une profession ou un métier traditionnellement masculin.
Parmi les lauréates du volet Excelle Science en 2025, Annabelle Poulin, étudiante de 2è année du baccalauréat en aménagement et environnement forestiers et mentorée par Janani Sivarajah, a reçu le prix Ressources naturelles et forêts remis par le ministère des Ressources naturelles et des Forêts. Bravo Annabelle!
Un article dans ULaval nouvelles
Le concours Chapeau, les filles!
et son volet universitaire, appelé Excelle Science, soulignent la volonté, le courage, le travail et l'engagement des étudiantes qui font le pari d'exercer une profession ou un métier traditionnellement masculin.Parmi les lauréates du volet Excelle Science en 2025, Annabelle Poulin, étudiante de 2è année du baccalauréat en aménagement et environnement forestiers et mentorée par Janani Sivarajah, a reçu le prix Ressources naturelles et forêts remis par le ministère des Ressources naturelles et des Forêts. Bravo Annabelle!
9 juin 2025
La CAQ recule sur le projet de loi sur l’exploitation forestière le temps de l’ajuster
Un article dans Le Devoir
Après avoir défendu à plusieurs reprises sa réforme du régime forestier et après avoir critiqué des opposants, la ministre Maïté Blanchette Vézina a finalement décidé de reculer, le temps d’apporter « des amendements importants » à son projet de loi en faveur de l’exploitation forestière industrielle. Avec Christian Messier.
Un article dans Le Devoir
Après avoir défendu à plusieurs reprises sa réforme du régime forestier et après avoir critiqué des opposants, la ministre Maïté Blanchette Vézina a finalement décidé de reculer, le temps d’apporter « des amendements importants » à son projet de loi en faveur de l’exploitation forestière industrielle. Avec Christian Messier.
5 juin 2025
Comment le climat affectera les arbres?
Une vidéo de la Forêt Montmorency
Un projet de recherche d’ampleur inégalée utilisant la migration assistée se déploie actuellement à la Forêt Montmorency. Après les résineux l’an dernier, c’est maintenant au tour des arbustes feuillus d’être plantés dans le cadre du projet TransX. Des centaines d’arbustes, tout juste sortis de leur dormance, prennent racine sur nos parcelles pour nous permettre de comprendre leur adaptation aux changements climatiques.vNous avons visité le site de plantation la semaine dernière pour rencontrer le professeur Loïc D’Orangeville et son équipe. Dans cette vidéo, il nous explique comment ce projet ambitieux, mené en collaboration avec le réseau Silva21, pourrait orienter les stratégies de foresterie de demain.
Une vidéo de la Forêt Montmorency
Un projet de recherche d’ampleur inégalée utilisant la migration assistée se déploie actuellement à la Forêt Montmorency. Après les résineux l’an dernier, c’est maintenant au tour des arbustes feuillus d’être plantés dans le cadre du projet TransX. Des centaines d’arbustes, tout juste sortis de leur dormance, prennent racine sur nos parcelles pour nous permettre de comprendre leur adaptation aux changements climatiques.vNous avons visité le site de plantation la semaine dernière pour rencontrer le professeur Loïc D’Orangeville et son équipe. Dans cette vidéo, il nous explique comment ce projet ambitieux, mené en collaboration avec le réseau Silva21, pourrait orienter les stratégies de foresterie de demain.
5 juin 2025
Un projet de reboisement à Chibougamau pour rendre les forêts plus résilientes aux feux
Un article dans Le Devoir
Dès que les braises des feux de forêt historiques de 2023 ont commencé à refroidir, une crainte s’est allumée dans l’esprit des gens du milieu forestier : les zones affectées arriveront-elles à bien se régénérer ? « À cause des changements climatiques, les feux de forêt deviennent plus menaçants. Nous faisons donc face à un problème accru de régénération des épinettes noires. En conséquence, il faut changer notre manière de procéder au reboisement », affirme Sara Scarano, une doctorante en sciences de l’environnement à l’Université du Québec à Chicoutimi. [..] Traditionnellement, ce sont des épinettes noires qu’on replante en forêt publique dans le nord du Québec. Le projet de Mme Scarano consiste à ajouter du pin gris et du mélèze laricin, qui arrivent à maturité sexuelle après aussi peu que 10 ans, ce qui pourrait rendre les plantations plus résilientes aux feux. [..] Des résultats préliminaires seront publiés en 2026. Puis, le ministère entend faire un suivi à long terme. Dans une quinzaine d’années, on pourra évaluer si la plantation est suffisamment mature pour résister à un nouvel incendie, précise François Hébert, le chercheur du MRNF qui pilote le projet à Chibougamau.
Un article dans Le Devoir
Dès que les braises des feux de forêt historiques de 2023 ont commencé à refroidir, une crainte s’est allumée dans l’esprit des gens du milieu forestier : les zones affectées arriveront-elles à bien se régénérer ? « À cause des changements climatiques, les feux de forêt deviennent plus menaçants. Nous faisons donc face à un problème accru de régénération des épinettes noires. En conséquence, il faut changer notre manière de procéder au reboisement », affirme Sara Scarano, une doctorante en sciences de l’environnement à l’Université du Québec à Chicoutimi. [..] Traditionnellement, ce sont des épinettes noires qu’on replante en forêt publique dans le nord du Québec. Le projet de Mme Scarano consiste à ajouter du pin gris et du mélèze laricin, qui arrivent à maturité sexuelle après aussi peu que 10 ans, ce qui pourrait rendre les plantations plus résilientes aux feux. [..] Des résultats préliminaires seront publiés en 2026. Puis, le ministère entend faire un suivi à long terme. Dans une quinzaine d’années, on pourra évaluer si la plantation est suffisamment mature pour résister à un nouvel incendie, précise François Hébert, le chercheur du MRNF qui pilote le projet à Chibougamau.
5 juin 2025
Le climat fait évoluer les champignons pathogènes des forêts
Actualités de la FFGG
Le climat influence profondément la santé des forêts — et pas seulement en raison des sécheresses ou des incendies. Des chercheurs et chercheuses, dont la professeure Pauline Hessenauer, du Département des sciences du bois et de la forêt, s’intéressent à une autre facette moins visible mais tout aussi cruciale: l’évolution des pathogènes fongiques forestiers à mesure que le climat se transforme.
Actualités de la FFGG
Le climat influence profondément la santé des forêts — et pas seulement en raison des sécheresses ou des incendies. Des chercheurs et chercheuses, dont la professeure Pauline Hessenauer, du Département des sciences du bois et de la forêt, s’intéressent à une autre facette moins visible mais tout aussi cruciale: l’évolution des pathogènes fongiques forestiers à mesure que le climat se transforme.
L'étude a été publiée en mai 2025 dans la revue scientifique Genome Biology and Evolution.
5 juin 2025
Protéger nos forêts, protéger nos communautés : s’adapter aux feux de forêt dans un climat changeant
Un article dans le Climatoscope
Marie-Emmanuelle Bossé, spécialiste en transfert de connaissances et formations chez Ouranos a coécrit un texte avec Yves Bergeron sur la saison record des feux de forêt de 2023 et les leçons à apprendre de ce phénomène. Face à l’augmentation projetée de l’activité des feux en raison des changements climatiques ainsi qu’à la récente saison d’incendies de forêt dont le Québec et le Canada ont été le théâtre, une réflexion s’impose quant aux mesures concrètes qui peuvent être mises en œuvre pour renforcer la résilience des écosystèmes, des populations et de l’économie.
Un article dans le Climatoscope
Marie-Emmanuelle Bossé, spécialiste en transfert de connaissances et formations chez Ouranos a coécrit un texte avec Yves Bergeron sur la saison record des feux de forêt de 2023 et les leçons à apprendre de ce phénomène. Face à l’augmentation projetée de l’activité des feux en raison des changements climatiques ainsi qu’à la récente saison d’incendies de forêt dont le Québec et le Canada ont été le théâtre, une réflexion s’impose quant aux mesures concrètes qui peuvent être mises en œuvre pour renforcer la résilience des écosystèmes, des populations et de l’économie.
4 juin 2025
Quebec’s proposed forest management plan sparks tensions with Indigenous communities
A CBC interview
Consultations are underway on Bill 97 at the National Assembly, and there’s lots of anger. The legislation aims to modernize the way forests are managed in Quebec. But the Assembly of First Nations thinks the bond of trust with the natural resources minister is broken, and blockades of forest roads is probably the tip of the iceberg. With Christian Messier.
A CBC interview
Consultations are underway on Bill 97 at the National Assembly, and there’s lots of anger. The legislation aims to modernize the way forests are managed in Quebec. But the Assembly of First Nations thinks the bond of trust with the natural resources minister is broken, and blockades of forest roads is probably the tip of the iceberg. With Christian Messier.
4 juin 2025
Entrevue avec Christian Messier
Une entrevue à Radio-Canada
Christian Messier en entrevue à l'émission Au coeur du monde au sujet du projet de loi 97.
Une entrevue à Radio-Canada
Christian Messier en entrevue à l'émission Au coeur du monde au sujet du projet de loi 97.
3 juin 2025
Two major prizes awarded to Marie-Josée Fortin
- November 2024, Marie-Josée Fortin received the 2024 Massey Medal from the Royal Canadian Geographic Society. The Massey Medal recognizes outstanding career achievement in the exploration, development or description of the geography of Canada, and was first awarded in 1959 by the Massey Foundation. The award is presented annually in recognition of outstanding career achievement in the field.
- May 2025, Marie-Josée Fortin was awarded the Konrad Adenauer Research Award from the Alexander von Humboldt Foundation. This prize is designed to strengthen academic and cultural relations between Canada and Germany.
Congratulations!
3 juin 2025
Johanna et Sarah discutent de leurs travaux avec Les années lumières
Une entrevue à Radio-Canada
Dans le cadre du Cirque scientifique du Congrès de l'ACFAS 2025, Johanna Arnet explique comment elle mesure les variations de températures dans un espace urbain. En se baladant à Montréal, elle cartographie la température de l'air et la température de surface à l'aide de capteurs disposés sur son vélo. Pour sa part, Sarah Tardif discute de ses travaux sur la distribution spatiale des pollens allergisants sur l'île de Montréal. Son projet vise à déterminer les différences de composition entre les arrondissements, dans l'objectif de faire des recommendations éclairées sur les espèces à planter pour limiter les allergies. Lors du cirque scientifique, elle présentait des pollens de différentes espèces d'arbres à observer au microscope.
Une entrevue à Radio-Canada
Dans le cadre du Cirque scientifique du Congrès de l'ACFAS 2025, Johanna Arnet explique comment elle mesure les variations de températures dans un espace urbain. En se baladant à Montréal, elle cartographie la température de l'air et la température de surface à l'aide de capteurs disposés sur son vélo. Pour sa part, Sarah Tardif discute de ses travaux sur la distribution spatiale des pollens allergisants sur l'île de Montréal. Son projet vise à déterminer les différences de composition entre les arrondissements, dans l'objectif de faire des recommendations éclairées sur les espèces à planter pour limiter les allergies. Lors du cirque scientifique, elle présentait des pollens de différentes espèces d'arbres à observer au microscope.
3 juin 2025
Controverse autour de la réforme du régime forestier prévue par Québec
Une entrevue à Radio-Canada
Yves Bergeron est en entrevue à l'émission Midi-Info d'Alec Castonguay sur la réforme du régime forestier.
Une entrevue à Radio-Canada
Yves Bergeron est en entrevue à l'émission Midi-Info d'Alec Castonguay sur la réforme du régime forestier.
2 juin 2025
Les feux de forêt : un enjeu préoccupant pour la planète
Une entrevue à Radio-Canada
Le 1er juin 2025, Yan Boulanger, chercheur scientifique en écologie forestière à Ressources naturelles Canada, répondait aux questions de Janic Tremblay dans l'émission "Tout terrain", en lien avec la propagation des feux dans l'Ouest canadien, l'impact sur la qualité de vie et l'intérêt de développer des outils de modélisation.
Une entrevue à Radio-Canada
Le 1er juin 2025, Yan Boulanger, chercheur scientifique en écologie forestière à Ressources naturelles Canada, répondait aux questions de Janic Tremblay dans l'émission "Tout terrain", en lien avec la propagation des feux dans l'Ouest canadien, l'impact sur la qualité de vie et l'intérêt de développer des outils de modélisation.
2 juin 2025
La forêt naturelle une assise incontournable à l’aménagement forestier durable
Une lettre d'opinion dans Le Devoir
Avec son projet de réforme du régime forestier, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts laisse entendre que sa stratégie d’adaptation de la gestion et de l’aménagement des forêts aux changements climatiques devrait essentiellement passer par une intensification de la sylviculture pour adapter la forêt aux conditions futures. Elle laisse de côté le rôle que peut jouer la forêt naturelle dans cette adaptation car bien que le projet de loi 97 retient le terme « d’aménagement écosystémique », il lui donne un sens nouveau en éliminant toute référence à la forêt naturelle. Cette décision ne nous apparaît pas appuyée sur la science. La forêt a de tout temps été confrontée à des perturbations naturelles et à des variations climatiques de différentes ampleurs. Elle dispose de plusieurs mécanismes, notamment grâce à la biodiversité, qui lui permettent d’être résiliente face à ces stress et de trouver diverses voies d’adaptation selon les conditions rencontrées. Ces connaissances sont à la base des principes de l’approche d’aménagement écosystémique de la forêt. La référence à la forêt naturelle doit donc demeurer la pierre angulaire de la gestion durable de la forêt, alors que les aires protégées deviennent les laboratoires vivants qui permettent de suivre en direct la réponse de la forêt naturelle aux changements climatiques au fil du temps. Cela dit, reconnaître les mécanismes et processus de résilience naturelle de la forêt n’exclut aucunement le recours à une sylviculture d’adaptation qui viendra assister les écosystèmes dans certaines transitions. Nous invitons les lectrices et lecteurs à prendre connaissance d’un avis que 46 scientifiques ont formulé pour aider le gouvernement dans cette importante tâche : Aménagement écosystémique en contexte de changements globaux — Un avis scientifique
.
Une lettre d'opinion dans Le Devoir
Avec son projet de réforme du régime forestier, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts laisse entendre que sa stratégie d’adaptation de la gestion et de l’aménagement des forêts aux changements climatiques devrait essentiellement passer par une intensification de la sylviculture pour adapter la forêt aux conditions futures. Elle laisse de côté le rôle que peut jouer la forêt naturelle dans cette adaptation car bien que le projet de loi 97 retient le terme « d’aménagement écosystémique », il lui donne un sens nouveau en éliminant toute référence à la forêt naturelle. Cette décision ne nous apparaît pas appuyée sur la science. La forêt a de tout temps été confrontée à des perturbations naturelles et à des variations climatiques de différentes ampleurs. Elle dispose de plusieurs mécanismes, notamment grâce à la biodiversité, qui lui permettent d’être résiliente face à ces stress et de trouver diverses voies d’adaptation selon les conditions rencontrées. Ces connaissances sont à la base des principes de l’approche d’aménagement écosystémique de la forêt. La référence à la forêt naturelle doit donc demeurer la pierre angulaire de la gestion durable de la forêt, alors que les aires protégées deviennent les laboratoires vivants qui permettent de suivre en direct la réponse de la forêt naturelle aux changements climatiques au fil du temps. Cela dit, reconnaître les mécanismes et processus de résilience naturelle de la forêt n’exclut aucunement le recours à une sylviculture d’adaptation qui viendra assister les écosystèmes dans certaines transitions. Nous invitons les lectrices et lecteurs à prendre connaissance d’un avis que 46 scientifiques ont formulé pour aider le gouvernement dans cette importante tâche : Aménagement écosystémique en contexte de changements globaux — Un avis scientifique
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2 juin 2025
La réforme du régime forestier fragilisera la forêt, préviennent des experts
Un article du Devoir
Le projet caquiste de réforme de l’exploitation forestière risque de fragiliser nos forêts face aux impacts de la crise climatique, préviennent des experts qui insistent sur l’importance de préserver un maximum d’écosystèmes naturels afin qu’ils puissent mieux s’y adapter. Leur message ne sera toutefois pas entendu dans le cadre des « consultations particulières » en cours sur le projet de loi, puisqu’aucun scientifique indépendant n’a été invité. « Avec son projet de réforme du régime forestier, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts laisse entendre que sa stratégie d’adaptation de la gestion et de l’aménagement des forêts aux changements climatiques devrait essentiellement passer par une intensification de la sylviculture pour adapter la forêt aux conditions futures, en laissant de côté le rôle que peut jouer la forêt naturelle dans cette adaptation. Ce n’est pourtant pas ce que la science nous enseigne », écrivent quatre experts de la forêt dans une lettre publiée ce lundi dans Le Devoir. Selon Pierre Drapeau, le gouvernement devrait d’abord accroître les mesures de protection des « mécanismes naturels de résilience des forêts », donc préserver un maximum de forêts matures. Les données scientifiques démontrent d’ailleurs que ce sont ces écosystèmes forestiers qui sont les plus à même de résister aux bouleversements climatiques et à leurs conséquences, comme les feux. « Il n’y a aucun expert de la communauté scientifique aux consultations particulières », déplore Pierre Drapeau, en rappelant que le Québec compte de nombreux spécialistes des enjeux forestiers, et notamment des effets de la crise climatique sur ces vastes écosystèmes qui occupent une part importante du territoire.
Un article du Devoir
Le projet caquiste de réforme de l’exploitation forestière risque de fragiliser nos forêts face aux impacts de la crise climatique, préviennent des experts qui insistent sur l’importance de préserver un maximum d’écosystèmes naturels afin qu’ils puissent mieux s’y adapter. Leur message ne sera toutefois pas entendu dans le cadre des « consultations particulières » en cours sur le projet de loi, puisqu’aucun scientifique indépendant n’a été invité. « Avec son projet de réforme du régime forestier, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts laisse entendre que sa stratégie d’adaptation de la gestion et de l’aménagement des forêts aux changements climatiques devrait essentiellement passer par une intensification de la sylviculture pour adapter la forêt aux conditions futures, en laissant de côté le rôle que peut jouer la forêt naturelle dans cette adaptation. Ce n’est pourtant pas ce que la science nous enseigne », écrivent quatre experts de la forêt dans une lettre
publiée ce lundi dans Le Devoir. Selon Pierre Drapeau, le gouvernement devrait d’abord accroître les mesures de protection des « mécanismes naturels de résilience des forêts », donc préserver un maximum de forêts matures. Les données scientifiques démontrent d’ailleurs que ce sont ces écosystèmes forestiers qui sont les plus à même de résister aux bouleversements climatiques et à leurs conséquences, comme les feux. « Il n’y a aucun expert de la communauté scientifique aux consultations particulières », déplore Pierre Drapeau, en rappelant que le Québec compte de nombreux spécialistes des enjeux forestiers, et notamment des effets de la crise climatique sur ces vastes écosystèmes qui occupent une part importante du territoire.
1 juin 2025
Agrile du frêne : Toronto contre-attaque
Une participation à l'émission radio Dans la mozaique
Le 30 mai dernier, Janani Sivarajah était invitée à l'émission radio Dans la mozaique, disponible aussi sur l'application Ohdio.
Une participation à l'émission radio Dans la mozaique
Le 30 mai dernier, Janani Sivarajah était invitée à l'émission radio Dans la mozaique, disponible aussi sur l'application Ohdio.
30 mai 2025
Un autre deux pour un à Moteur de recherche!
Une participation à l'émission radio Moteur de recherche
Le 29 mai dernier, deux membres du CEF étaient invitées à l'émission radio de Mathieu Dugal, Moteur de Recherche, disponible aussi sur l'application Ohdio.
Une participation à l'émission radio Moteur de recherche
Le 29 mai dernier, deux membres du CEF étaient invitées à l'émission radio de Mathieu Dugal, Moteur de Recherche, disponible aussi sur l'application Ohdio.
- Audrey Maheu répondait à la question: Pourquoi l’eau d’un bassin s’évapore-t-elle plus vite que celle d’un lac?
- Élise Bouchard répondait à la question: Est-ce qu'un arbre peut mourir de la sécheresse ou s'il meurt de causes connexes?
30 mai 2025
Prix Harfang des neiges - Martin-Hugues St-Laurent lauréat 2025
Lors de la cérémonie de remise des Prix Harfang des neiges 2025 qui s’est tenue le 29 mai dernier, à Québec, Martin-Hugues St-Laurent, a été nommé lauréat du prix Harfang des neiges 2025 dans la catégorie Contribution scientifique et technologique à la faune. Martin-Hugues St-Laurent est un important chercheur dans le domaine de la faune. Professeur en écologie animale, il a grandement contribué à l’avancement des connaissances sur les grands mammifères, comme le caribou. Ses travaux ont mené à plusieurs actions qui favorisent leur protection et leur conservation, tant au Québec qu’à l’échelle canadienne. Communicateur scientifique chevronné, il contribue au rayonnement des sciences de la faune en partageant sa passion auprès de la relève et du public. Félicitations Martin-Hugues!
Lors de la cérémonie de remise des Prix Harfang des neiges 2025 qui s’est tenue le 29 mai dernier, à Québec, Martin-Hugues St-Laurent, a été nommé lauréat du prix Harfang des neiges 2025 dans la catégorie Contribution scientifique et technologique à la faune. Martin-Hugues St-Laurent est un important chercheur dans le domaine de la faune. Professeur en écologie animale, il a grandement contribué à l’avancement des connaissances sur les grands mammifères, comme le caribou. Ses travaux ont mené à plusieurs actions qui favorisent leur protection et leur conservation, tant au Québec qu’à l’échelle canadienne. Communicateur scientifique chevronné, il contribue au rayonnement des sciences de la faune en partageant sa passion auprès de la relève et du public. Félicitations Martin-Hugues!
30 mai 2025
Feux de forêt, inondations, sécheresses: l’urgence de les prédire
Un article de Science Presse
2023 et 2024 n’ont pas seulement été marquées par des records de chaleur au Canada. Rien qu’en 2023, il y a eu six fois plus de forêts brûlées que la moyenne annuelle. Et dans le futur, il y aura de plus en plus de ces événements météorologiques extrêmes. Pour bien évaluer les risques de feux de grande ampleur, il faut prendre en compte les processus physiques à l’origine des incendies, leur durée, leur intensité et leur localisation. Les inondations présentent elles aussi un plus gros risque dans certaines régions ou certains quartiers, à cause des perturbations climatiques. Il serait théoriquement possible de mieux les prévenir par l’analyse du passé, explique la professeure de l’Université Concordia, Jeannine-Marie St-Jacques. Son équipe s’est penchée sur 1000 ans de risques d’inondations dans le sud de la vallée de l'Outaouais. Pour identifier ces signatures des paléo-inondations, les chercheurs procèdent à une datation et une extraction des 21 éléments géochimiques principaux. Moins on a d’éléments organiques présents, plus il y avait des inondations à cette époque. Même les éléments associés à la pollution (zinc, cadmium, etc.) vont nous parler. Ainsi, une signature importante de dépôts de métaux lourds dans la vallée de la rivière Rouge, au siècle dernier, intriguait les chercheurs. Pour se rendre compte qu’il s’agirait des rejets de la fusion des métaux dans une usine de Rouyn-Noranda, à 350 km en amont. Les résultats préliminaires de son étude ont aussi mis à jour les effets des coupes à blanc au cours des années 1800: celles-ci ont déclenché une érosion massive. Les résultats montrent de plus que le petit réchauffement médiéval (en gros, des années 800 à 1200) aurait entraîné des crues plus importantes qu’entre 1300 et 1800. Ce lien entre réchauffement et crues peut s’avérer particulièrement important à comprendre aujourd’hui.
Un article de Science Presse
2023 et 2024 n’ont pas seulement été marquées par des records de chaleur au Canada. Rien qu’en 2023, il y a eu six fois plus de forêts brûlées que la moyenne annuelle. Et dans le futur, il y aura de plus en plus de ces événements météorologiques extrêmes. Pour bien évaluer les risques de feux de grande ampleur, il faut prendre en compte les processus physiques à l’origine des incendies, leur durée, leur intensité et leur localisation. Les inondations présentent elles aussi un plus gros risque dans certaines régions ou certains quartiers, à cause des perturbations climatiques. Il serait théoriquement possible de mieux les prévenir par l’analyse du passé, explique la professeure de l’Université Concordia, Jeannine-Marie St-Jacques. Son équipe s’est penchée sur 1000 ans de risques d’inondations dans le sud de la vallée de l'Outaouais. Pour identifier ces signatures des paléo-inondations, les chercheurs procèdent à une datation et une extraction des 21 éléments géochimiques principaux. Moins on a d’éléments organiques présents, plus il y avait des inondations à cette époque. Même les éléments associés à la pollution (zinc, cadmium, etc.) vont nous parler. Ainsi, une signature importante de dépôts de métaux lourds dans la vallée de la rivière Rouge, au siècle dernier, intriguait les chercheurs. Pour se rendre compte qu’il s’agirait des rejets de la fusion des métaux dans une usine de Rouyn-Noranda, à 350 km en amont. Les résultats préliminaires de son étude ont aussi mis à jour les effets des coupes à blanc au cours des années 1800: celles-ci ont déclenché une érosion massive. Les résultats montrent de plus que le petit réchauffement médiéval (en gros, des années 800 à 1200) aurait entraîné des crues plus importantes qu’entre 1300 et 1800. Ce lien entre réchauffement et crues peut s’avérer particulièrement important à comprendre aujourd’hui.
30 mai 2025
La science du carbone: un outil indispensable pour la conservation
L’initiative Nature alliée, coordonnée par la SNAP Québec et Nature Québec, en partenariat avec l’UQO, l’UQAT, l’UdeS, l’U Laval et l’INRS, publie aujourd’hui une vidéo sur la méthodologie scientifique utilisée par les équipes de recherche associées au projet pour étudier la dynamique du carbone dans nos milieux naturels. Cette vidéo est accompagnée d’un blog explicatif sur le site web de Nature alliée et sera diffusée à grande échelle sur nos différentes plateformes. Le projet Nature alliée travaille de concert avec plusieurs partenaires autochtones, municipaux et groupes citoyens pour aider le Québec à atteindre la cible de 30% d’aires protégées d’ici 2030 tout en assurant la viabilité des communautés qui dépendent de la forêt. Parmi les membres du CEF associés au projet on retrouve : Marie-Eve Roy (UQO), Sylvain Delagrange, Nicole Fenton, Xavier Cavard et Jérôme Cimon-Morin.
L’initiative Nature alliée
, coordonnée par la SNAP Québec et Nature Québec, en partenariat avec l’UQO, l’UQAT, l’UdeS, l’U Laval et l’INRS, publie aujourd’hui une vidéo sur la méthodologie scientifique utilisée par les équipes de recherche associées au projet pour étudier la dynamique du carbone dans nos milieux naturels. Cette vidéo est accompagnée d’un blog explicatif sur le site web de Nature alliée et sera diffusée à grande échelle sur nos différentes plateformes. Le projet Nature alliée travaille de concert avec plusieurs partenaires autochtones, municipaux et groupes citoyens pour aider le Québec à atteindre la cible de 30% d’aires protégées d’ici 2030 tout en assurant la viabilité des communautés qui dépendent de la forêt. Parmi les membres du CEF associés au projet on retrouve : Marie-Eve Roy (UQO), Sylvain Delagrange, Nicole Fenton, Xavier Cavard et Jérôme Cimon-Morin.
29 mai 2025
Est-ce que l’industrie forestière contrôlera plus de 135 000 km2 du territoire québécois?
Un article du Devoir
Le projet de loi en faveur de l’exploitation forestière pourrait permettre au gouvernement Legault d’accorder plus de 135 000 km2 de territoire à l’industrie, en vertu d’un nouveau zonage qui soulève de vives inquiétudes pour la protection de la biodiversité. Québec profitera par ailleurs de la réforme pour céder la « planification » des coupes directement aux entreprises. Au moment où débutent les « consultations particulières » sur le projet de loi 97 « visant principalement à moderniser le régime forestier », plusieurs questions demeurent en ce qui a trait au territoire qui sera cédé à l’industrie afin de créer des « zones d’aménagement forestier prioritaire ». Même si le gouvernement estime que le nouveau modèle de division du territoire permettra d’intensifier les coupes forestières, Christian Messier, professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM et expert de ce concept de « triade » assure qu’il n’en est rien. « Il n’y aura pas d’aménagement intensif dans la zone prioritaire, seulement une foresterie qui vise à minimiser les contraintes d’exploitation et donc les coûts », souligne-t-il.
Un article du Devoir
Le projet de loi en faveur de l’exploitation forestière pourrait permettre au gouvernement Legault d’accorder plus de 135 000 km2 de territoire à l’industrie, en vertu d’un nouveau zonage qui soulève de vives inquiétudes pour la protection de la biodiversité. Québec profitera par ailleurs de la réforme pour céder la « planification » des coupes directement aux entreprises. Au moment où débutent les « consultations particulières » sur le projet de loi 97 « visant principalement à moderniser le régime forestier », plusieurs questions demeurent en ce qui a trait au territoire qui sera cédé à l’industrie afin de créer des « zones d’aménagement forestier prioritaire ». Même si le gouvernement estime que le nouveau modèle de division du territoire permettra d’intensifier les coupes forestières, Christian Messier, professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM et expert de ce concept de « triade » assure qu’il n’en est rien. « Il n’y aura pas d’aménagement intensif dans la zone prioritaire, seulement une foresterie qui vise à minimiser les contraintes d’exploitation et donc les coûts », souligne-t-il.
29 mai 2025
Projet de réforme du régime forestier québécois - Une occasion manquée pour le Québec
Une lettre d'opinion dans La Presse
Une quarantaine de scientifiques membres du Centre d'étude de la forêt (CEF) signent une lettre qui s'adresse à la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, au sous-ministre associé aux Forêts, Jean-François Béland, ainsi qu'au forestier en chef Louis Pelletier. La lettre fait part de leurs préoccupations concernant le projet de loi 97 déposé le 23 avril 2025 visant à moderniser le régime forestier québécois. Avec cette lettre, les signataires tendent une main au gouvernement mais s’inquiètent d’avoir été mis de côté dans le processus de consultation et constatent que cette réforme tient très peu compte des avancées scientifiques récentes dans le domaine forestier.
Une lettre d'opinion dans La Presse
Une quarantaine de scientifiques membres du Centre d'étude de la forêt (CEF) signent une lettre qui s'adresse à la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, au sous-ministre associé aux Forêts, Jean-François Béland, ainsi qu'au forestier en chef Louis Pelletier. La lettre fait part de leurs préoccupations concernant le projet de loi 97 déposé le 23 avril 2025 visant à moderniser le régime forestier québécois. Avec cette lettre, les signataires tendent une main au gouvernement mais s’inquiètent d’avoir été mis de côté dans le processus de consultation et constatent que cette réforme tient très peu compte des avancées scientifiques récentes dans le domaine forestier.
29 mai 2025
Nouveau régime forestier - Répudié par le chercheur qui l’a inspiré
Un article de La Presse
Le scientifique dont le gouvernement Legault dit s’inspirer dans sa réforme du régime forestier désavoue la ministre Maïté Blanchette Vézina. En offrant un « minimum » de 30 % de la forêt à l’industrie pour lui faire épargner 80 millions par année sans rien obtenir en retour, Québec risque de créer des conflits et de l’« antagonisme » craint Christian Messier, professeur à l’UQAM et chercheur réputé dans le domaine de la forêt. Pour M. Messier, le projet de réforme détourne un principe censé aider à protéger la forêt pour donner carte blanche à l’industrie forestière. Ce principe, c’est celui de la « triade ». La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, en a fait le socle de son projet de réforme du régime forestier, dont l’étude débute ce jeudi. Christian Messier n’est pas le seul scientifique à remettre en question les façons de faire de Mme Blanchette Vézina, qui affirme pourtant que ses décisions « sont basées sur des orientations qui sont émises par des scientifiques ». Le Centre d'étude de la forêt, dirigé par Daniel Kneeshaw, regroupe 86 chercheurs de 11 universités. Il n’a pas été consulté par Québec et dénonce le projet de réforme du régime forestier dans une lettre d'opinion.
Un article de La Presse
Le scientifique dont le gouvernement Legault dit s’inspirer dans sa réforme du régime forestier désavoue la ministre Maïté Blanchette Vézina. En offrant un « minimum » de 30 % de la forêt à l’industrie pour lui faire épargner 80 millions par année sans rien obtenir en retour, Québec risque de créer des conflits et de l’« antagonisme » craint Christian Messier, professeur à l’UQAM et chercheur réputé dans le domaine de la forêt. Pour M. Messier, le projet de réforme détourne un principe censé aider à protéger la forêt pour donner carte blanche à l’industrie forestière. Ce principe, c’est celui de la « triade ». La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, en a fait le socle de son projet de réforme du régime forestier, dont l’étude débute ce jeudi. Christian Messier n’est pas le seul scientifique à remettre en question les façons de faire de Mme Blanchette Vézina, qui affirme pourtant que ses décisions « sont basées sur des orientations qui sont émises par des scientifiques ». Le Centre d'étude de la forêt, dirigé par Daniel Kneeshaw, regroupe 86 chercheurs de 11 universités. Il n’a pas été consulté par Québec et dénonce le projet de réforme du régime forestier dans une lettre d'opinion
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22 mai 2025
Une stratégie prometteuse pour la tortue des bois : l’élevage en captivité porte ses fruits
Actualités de la FFGG
Les populations de tortues des bois (Glyptemys insculpta), une espèce désignée vulnérable au Québec et menacée au Canada, sont en déclin, principalement en raison de la perte d’habitats naturels et de la mortalité causée par des perturbations humaines. Afin de soutenir le rétablissement de cette espèce emblématique, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) a mis en place une stratégie de conservation misant sur l’élevage en captivité et la remise en liberté. L’équipe de recherche du professeur Marc Mazerolle, de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, a évalué l’efficacité de cette approche.
Actualités de la FFGG
Les populations de tortues des bois (Glyptemys insculpta), une espèce désignée vulnérable au Québec et menacée au Canada, sont en déclin, principalement en raison de la perte d’habitats naturels et de la mortalité causée par des perturbations humaines. Afin de soutenir le rétablissement de cette espèce emblématique, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) a mis en place une stratégie de conservation misant sur l’élevage en captivité et la remise en liberté. L’équipe de recherche du professeur Marc Mazerolle, de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, a évalué l’efficacité de cette approche.
22 mai 2025
Un début de saison des feux de forêt intense dans l’Ouest
Une entrevue à Radio-Canada
Yan Boulanger répond aux questions d'Alexia Bille dans "Les matins de l'Ouest". Selon le chercheur en écologie forestière à Ressources naturelles Canada, la superficie brûlée en Saskatchewan, au Manitoba et dans le Nord-Ouest ontarien en ce début de saison est inhabituelle. En cause, une saison hivernale sèche avec un manque important d’intempéries. Les prévisions à long terme ne sont pas totalement fiables selon le chercheur, qui mentionne tout de même que le reste du printemps et l’été seront secs, particulièrement en août. De quoi faire craindre des incendies plus nombreux et plus grands. Ce sont des conséquences directes des changements climatiques. La situation fait craindre une surcharge de travail pour les pompiers. M. Boulanger affirme qu’au fil des ans, ils vont être de plus en plus sollicités, tant au Canada qu’à l’étranger où ils peuvent être envoyés pour aider à combattre les flammes.
Une entrevue à Radio-Canada
Yan Boulanger répond aux questions d'Alexia Bille dans "Les matins de l'Ouest". Selon le chercheur en écologie forestière à Ressources naturelles Canada, la superficie brûlée en Saskatchewan, au Manitoba et dans le Nord-Ouest ontarien en ce début de saison est inhabituelle. En cause, une saison hivernale sèche avec un manque important d’intempéries. Les prévisions à long terme ne sont pas totalement fiables selon le chercheur, qui mentionne tout de même que le reste du printemps et l’été seront secs, particulièrement en août. De quoi faire craindre des incendies plus nombreux et plus grands. Ce sont des conséquences directes des changements climatiques. La situation fait craindre une surcharge de travail pour les pompiers. M. Boulanger affirme qu’au fil des ans, ils vont être de plus en plus sollicités, tant au Canada qu’à l’étranger où ils peuvent être envoyés pour aider à combattre les flammes.
16 mai 2025
Cinq conditions pour sauver la réforme forestière
Un article de La Presse
Si Québec voulait rallier tout le monde autour d’une nouvelle vision de la forêt, c’est raté. La réforme du régime forestier présentée récemment réjouit l’industrie, mais suscite la méfiance des groupes environnementaux et des Nations autochtones. Après avoir parlé à divers intervenants, je propose cinq conditions qui me semblent nécessaires pour remettre cette réforme sur les rails. Des chercheurs en foresterie comme Christian Messier, à l’Université du Québec en Outaouais, et Évelyne Thiffault, à l’Université Laval, défendent l’idée de la triade. Selon la professeure Évelyne Thiffault, concentrer les activités de l’industrie dans des secteurs spécifiques permettrait de réduire son empreinte totale. « Je pense que c’est préférable à la situation actuelle, où on essaie de faire un peu de tout partout », dit-elle. Mais une triade réussie dépend de plusieurs conditions et le projet de loi contient de grandes zones d’ombre. Depuis sa publication, on entend divers intervenants affirmer que la forêt serait divisée en trois tiers. « L’idée de la triade, c’est trois zones, mais qui n’occupent pas nécessairement chacune un tiers du territoire, rectifie Évelyne Thiffault. Dans l’idéal de la triade, la zone de conservation est plus grande. » La spécialiste affirme aussi que les zones de conservation doivent être définies en priorité afin de protéger les territoires ayant la plus grande valeur écologique.
Un article de La Presse
Si Québec voulait rallier tout le monde autour d’une nouvelle vision de la forêt, c’est raté. La réforme du régime forestier présentée récemment réjouit l’industrie, mais suscite la méfiance des groupes environnementaux et des Nations autochtones. Après avoir parlé à divers intervenants, je propose cinq conditions qui me semblent nécessaires pour remettre cette réforme sur les rails. Des chercheurs en foresterie comme Christian Messier, à l’Université du Québec en Outaouais, et Évelyne Thiffault, à l’Université Laval, défendent l’idée de la triade. Selon la professeure Évelyne Thiffault, concentrer les activités de l’industrie dans des secteurs spécifiques permettrait de réduire son empreinte totale. « Je pense que c’est préférable à la situation actuelle, où on essaie de faire un peu de tout partout », dit-elle. Mais une triade réussie dépend de plusieurs conditions et le projet de loi contient de grandes zones d’ombre. Depuis sa publication, on entend divers intervenants affirmer que la forêt serait divisée en trois tiers. « L’idée de la triade, c’est trois zones, mais qui n’occupent pas nécessairement chacune un tiers du territoire, rectifie Évelyne Thiffault. Dans l’idéal de la triade, la zone de conservation est plus grande. » La spécialiste affirme aussi que les zones de conservation doivent être définies en priorité afin de protéger les territoires ayant la plus grande valeur écologique.
16 mai 2025
Une réforme du régime forestier qui ne laisse pas de glace
Un article de Radio-Canada Côte-Nord
Le projet de loi 97 destiné à moderniser le régime forestier fait des heureux et des sceptiques sur la Côte-Nord. Il répond à certaines préoccupations importantes de l'industrie forestière, notamment au sujet du zonage et de l’aménagement forestier, mais il soulève aussi des questions à propos de la conservation au sein de la communauté scientifique. [..] Ça semble encore être une structure très verticale avec l'aménagiste régional qui dépend du Forestier en chef, donc qui dépend de Québec, souligne le titulaire de la Chaire de recherche UQAT-MRNF sur la gestion du carbone forestier à Baie-Comeau, Xavier Cavard.
Un article de Radio-Canada Côte-Nord
Le projet de loi 97 destiné à moderniser le régime forestier fait des heureux et des sceptiques sur la Côte-Nord. Il répond à certaines préoccupations importantes de l'industrie forestière, notamment au sujet du zonage et de l’aménagement forestier, mais il soulève aussi des questions à propos de la conservation au sein de la communauté scientifique. [..] Ça semble encore être une structure très verticale avec l'aménagiste régional qui dépend du Forestier en chef, donc qui dépend de Québec, souligne le titulaire de la Chaire de recherche UQAT-MRNF sur la gestion du carbone forestier à Baie-Comeau, Xavier Cavard.
16 mai 2025
Le nouveau régime forestier de Québec fait réagir
Une entrevue à NousTV
Xavier Cavard en entrevue sur le nouveau régime forestier.
Une entrevue à NousTV
Xavier Cavard en entrevue sur le nouveau régime forestier.
14 mai 2025
Trois finalistes au concours La preuve par l'image 2025
Un article de Radio-Canada
Tranche de bleuets par Anthony Pelletier, UQAC
Les fameuses bleuetières du Lac-Saint-Jean prospèrent sur un sol généralement sablonneux. La couche orangée, à la base, est riche en oxyde de fer. Au-dessus, elle prend une teinte grisâtre, celle du sable lessivé par l’eau. Puis, vient l’étage brunâtre, qui se compose de matière organique, un mince horizon où les rhizomes des plants de bleuets – des tiges souterraines vivaces – se développent et emmagasinent des réserves d’énergie. La production de ces délicieux petits fruits est présentement optimisée par la fertilisation à base d’azote. Or, dans un souci d’agriculture durable, des chercheur·euses évaluent l’incidence de différents types de fertilisants pour réduire les impacts de ces produits sur l’environnement.
Un article de Radio-Canada
Tranche de bleuets par Anthony Pelletier, UQAC
Les fameuses bleuetières du Lac-Saint-Jean prospèrent sur un sol généralement sablonneux. La couche orangée, à la base, est riche en oxyde de fer. Au-dessus, elle prend une teinte grisâtre, celle du sable lessivé par l’eau. Puis, vient l’étage brunâtre, qui se compose de matière organique, un mince horizon où les rhizomes des plants de bleuets – des tiges souterraines vivaces – se développent et emmagasinent des réserves d’énergie. La production de ces délicieux petits fruits est présentement optimisée par la fertilisation à base d’azote. Or, dans un souci d’agriculture durable, des chercheur·euses évaluent l’incidence de différents types de fertilisants pour réduire les impacts de ces produits sur l’environnement.
Sirop de neige par Élise Bouchard, UQAM
D’où vient l’eau d’érable, cette sève sucrée qui se transformera en sirop? Les feuilles, parce qu'elles transpirent, sont les principaux moteurs de la circulation de l’eau dans les arbres. Pourtant, au printemps, la sève voyage abondamment dans les érables à sucre encore dépourvus de feuillage. Afin d’élucider ce phénomène unique encore mal compris, une doctorante utilise un traceur isotopique pour suivre l’eau dans les érables. Elle a ainsi observé que le futur sirop provient surtout d’eau de fonte des neiges, et non d’eau contenue dans l’arbre avant l’hiver. Cette percée éclaire l’impact du climat sur la réhydratation printanière des arbres et sur l'acériculture.
Horizon fongique par François Guay et Pauline Hessenauer, Université Laval
Ce champignon est une nouvelle espèce qui a été découverte à Lévis, à l'automne 2023. Il fait partie de la famille des Clavariaceae, mais l'espèce n'est pas encore nommée. Sa forme allongée et ses poils duveteux rappellent de minuscules plumes. Les spécimens, repérés sur l'écorce d'un arbre mort, font à peine 1 mm de hauteur. Leur teinte bleutée est spectaculaire, une couleur rarement aperçue dans la nature.
La 16e édition du concours La preuve par l’image rassemble 20 images originales réalisées par des scientifiques oeuvrant dans des institutions canadiennes de recherche.
✅ Allez voter pour votre image favorite pour le Prix du public Découverte: plusieurs prix à gagner!
14 mai 2025
Verdir les villes: bon pour le climat, les citoyens et la biodiversité
Un article de Science Presse
Johanna Arnet a de bons mollets. L’été dernier, l’étudiante en écologie urbaine a sillonné avec son vélo le quartier Ville-Marie, au centre-ville de Montréal, pour recueillir des données sur la température urbaine. Elle a roulé pendant des heures, de juin à septembre et de jour comme de nuit. « Je réalisais deux parcours dont un, trois heures après que le soleil se soit couché. C’est la période où l’on constate le maximum de dégagement de chaleur par les surfaces urbaines – béton et asphalte – et cela peut atteindre 58 degrés Celsius », pour la température de l’air à quelques centimètres au-dessus de ces surfaces, résume la jeune chercheuse.
Un article de Science Presse
Johanna Arnet a de bons mollets. L’été dernier, l’étudiante en écologie urbaine a sillonné avec son vélo le quartier Ville-Marie, au centre-ville de Montréal, pour recueillir des données sur la température urbaine. Elle a roulé pendant des heures, de juin à septembre et de jour comme de nuit. « Je réalisais deux parcours dont un, trois heures après que le soleil se soit couché. C’est la période où l’on constate le maximum de dégagement de chaleur par les surfaces urbaines – béton et asphalte – et cela peut atteindre 58 degrés Celsius », pour la température de l’air à quelques centimètres au-dessus de ces surfaces, résume la jeune chercheuse.
14 mai 2025
Des coupes forestières à venir dans l’«habitat essentiel» des caribous de la Gaspésie
Un article dans Le Devoir
Le gouvernement Legault s’apprête à autoriser des coupes forestières dans l’habitat essentiel des caribous de la Gaspésie alors que le « projet pilote » de sauvegarde de cette population au seuil de l’extinction se fait toujours attendre. Québec n’a pas non plus de stratégie en ce qui concerne l’avenir de la majorité des bêtes, qui vivent désormais en captivité. [..] Expert reconnu du caribou forestier, Martin-Hugues St-Laurent estime que les coupes prévues par le gouvernement « nous éloignent de l’objectif d’autosuffisance de cette population, surtout si au final on ajoute de nouvelles voies d’accès, donc des chemins forestiers, pour s’y rendre ». Ces chemins sont utilisés par les prédateurs du caribou.
Un article dans Le Devoir
Le gouvernement Legault s’apprête à autoriser des coupes forestières dans l’habitat essentiel des caribous de la Gaspésie alors que le « projet pilote » de sauvegarde de cette population au seuil de l’extinction se fait toujours attendre. Québec n’a pas non plus de stratégie en ce qui concerne l’avenir de la majorité des bêtes, qui vivent désormais en captivité. [..] Expert reconnu du caribou forestier, Martin-Hugues St-Laurent estime que les coupes prévues par le gouvernement « nous éloignent de l’objectif d’autosuffisance de cette population, surtout si au final on ajoute de nouvelles voies d’accès, donc des chemins forestiers, pour s’y rendre ». Ces chemins sont utilisés par les prédateurs du caribou.
14 mai 2025
Prix d'excellence de la Faculté des sciences de l'UQAM 2025
Un communiqué de l'UQAM
M. Normand Séguin, doyen de la Faculté des sciences de l'UQAM remet ses prix d'excellence 2025. Parmi les lauréats, on souligne les membres du CEF
Un communiqué de l'UQAM
M. Normand Séguin, doyen de la Faculté des sciences de l'UQAM remet ses prix d'excellence 2025. Parmi les lauréats, on souligne les membres du CEF
- Élise Bouchard, doctorante en biologie | Prix de la meilleure recherche étudiante (ex aequo)
- Alain Paquette, professeur | Prix d'excellence en enseignement, catégorie encadrement (ex aequo)
- Yves Mauffette, professeur émérite | Prix distinction
Félicitations!
12 mai 2025
Entre 8000 et 9000 pins blancs seront abattus au parc Rivière-du-Moulin
Une entrevue à Radio-Canada
La rouille vésiculeuse affecte les pins blancs du parc Rivière-du-Moulin dans la ville de Saguenay. Au cours de la prochaine décennie, entre 8000 et 9000 pins blancs devront être abattus. Un plan de reboisement de 250000$ est aussi prévu dans le parc municipal au cours des prochaines années, selon les élus municipaux. Le professeur en écologie forestière et aménagement forestier à l’UQAC, Yan Boucher, a accepté de répondre aux questions de Catherine Doucet dans l'émission "Place Publique".
Une entrevue à Radio-Canada
La rouille vésiculeuse affecte les pins blancs du parc Rivière-du-Moulin dans la ville de Saguenay. Au cours de la prochaine décennie, entre 8000 et 9000 pins blancs devront être abattus. Un plan de reboisement de 250000$ est aussi prévu dans le parc municipal au cours des prochaines années, selon les élus municipaux. Le professeur en écologie forestière et aménagement forestier à l’UQAC, Yan Boucher, a accepté de répondre aux questions de Catherine Doucet dans l'émission "Place Publique".
12 mai 2025
L’étude des forêts anciennes de l’est du Canada indique que le changement climatique a commencé il y a près de 100 ans
Un article dans The Conversation
Alexandre Pace et Jeannine-Marie St-Jacques sont les auteurs de cet article de vulgarisation - Les effets des changements climatiques sont complexes, en particulier en ce qui a trait au cycle de l’eau. Dans un contexte où nous cherchons à mieux comprendre les changements climatiques provoqués par les humains, il est essentiel de disposer de données environnementales de référence à long terme. Toutefois, les relevés des conditions environnementales des années passées sont trop sommaires pour nous permettre de bien comprendre l’évolution de ces systèmes au fil du temps. Or, l’examen des archives naturelles constitue une solution à ce problème. Les cernes des arbres comptent parmi les nombreux processus naturels qui laissent des traces indicatives des conditions environnementales du passé.
Un article dans The Conversation
Alexandre Pace et Jeannine-Marie St-Jacques sont les auteurs de cet article de vulgarisation - Les effets des changements climatiques sont complexes, en particulier en ce qui a trait au cycle de l’eau. Dans un contexte où nous cherchons à mieux comprendre les changements climatiques provoqués par les humains, il est essentiel de disposer de données environnementales de référence à long terme. Toutefois, les relevés des conditions environnementales des années passées sont trop sommaires pour nous permettre de bien comprendre l’évolution de ces systèmes au fil du temps. Or, l’examen des archives naturelles constitue une solution à ce problème. Les cernes des arbres comptent parmi les nombreux processus naturels qui laissent des traces indicatives des conditions environnementales du passé.
12 mai 2025
Sarah Tardif participe à un reportage de la chaîne Youtube Scilabus !
Un communiqué du PaqLab
Un excellent reportage de Scilabus met en avant les travaux de recherche sur le pollen et les allergies saisonnières menés depuis plusieurs années par Sarah Tardif et le PaqLab, en collaboration avec Rita Sousa-Silva, Isabelle Laforest-Lapointe, le Ministère des santé et des services sociaux, l’Institut national de santé publique du Québec et le CHU Sainte-Justine. Grâce à ce reportage, vous en apprendrez plus sur les méthodes de surveillance du pollen dans l’air, ainsi que sur les techniques d’identification des différents types de pollen. Il soulève aussi l’importance de faire des choix de plantation éclairés, afin de réduire l’impact des allergies, tout en considérant tous les autres aspects qui permettent d’avoir une forêt urbaine résiliente qui procurent un maximum de bénéfices pour l’écosystème. Ces travaux sur le pollen sont à la base de l’Observatoire urbain de Montréal, une plateforme de recherche pour la surveillance des écosystèmes forestiers urbains dans un contexte de santé humaine et d’adaptation au changements globaux.
Un communiqué du PaqLab
Un excellent reportage de Scilabus met en avant les travaux de recherche sur le pollen et les allergies saisonnières menés depuis plusieurs années par Sarah Tardif et le PaqLab, en collaboration avec Rita Sousa-Silva, Isabelle Laforest-Lapointe, le Ministère des santé et des services sociaux, l’Institut national de santé publique du Québec et le CHU Sainte-Justine. Grâce à ce reportage, vous en apprendrez plus sur les méthodes de surveillance du pollen dans l’air, ainsi que sur les techniques d’identification des différents types de pollen. Il soulève aussi l’importance de faire des choix de plantation éclairés, afin de réduire l’impact des allergies, tout en considérant tous les autres aspects qui permettent d’avoir une forêt urbaine résiliente qui procurent un maximum de bénéfices pour l’écosystème. Ces travaux sur le pollen sont à la base de l’Observatoire urbain de Montréal
, une plateforme de recherche pour la surveillance des écosystèmes forestiers urbains dans un contexte de santé humaine et d’adaptation au changements globaux.
12 mai 2025
Johanna reçoit une bourse de maîtrise du FRQNT
Un communiqué du PaqLab
Johanna Arnet reçoit une prestigieuse bourse d'excellence du FRQNT de 20 000$ pour poursuivre ses recherches de maîtrise sur l'influence de la canopée urbaine sur la température de l'air (labo d'Alain Paquette). Vous aurez peut-être la chance de la croiser sur son vélo équipé de capteurs de température dans les rues de Montréal cet été !
Un communiqué du PaqLab
Johanna Arnet reçoit une prestigieuse bourse d'excellence du FRQNT de 20 000$ pour poursuivre ses recherches de maîtrise sur l'influence de la canopée urbaine sur la température de l'air (labo d'Alain Paquette). Vous aurez peut-être la chance de la croiser sur son vélo équipé de capteurs de température dans les rues de Montréal cet été !
12 mai 2025
Thuya, érable à sucre ou lilas: quels arbres sont les plus nombreux à Montréal?
Un article dans Le Journal de Montréal
L’île de Montréal compte deux fois plus d’espèces d’arbres qu’on pensait, a découvert une chercheuse, qui a aussi constaté qu’il y en a beaucoup plus dans les secteurs les plus nantis. «Ma plus grande surprise a été de constater qu’il y a de grandes différences entre les quartiers. Plus un secteur est favorisé, plus il y a d’arbres, autant sur les terrains privés que sur les sites publics», lance la biologiste Emma Bacon qui a présenté ses résultats au 92e congrès de l’Association francophone pour le savoir (Acfas) qui se tient cette semaine à l’École de technologie supérieure, à Montréal. En répertoriant plus de 28 000 arbres publics et privés de l'observatoire urbain de Montréal, Emma a pu conclure que l’île de Montréal compte 317 espèces, un nombre plus élevé qu'on pensait. Son projet est dirigé par la professeure Carly Ziter de l'Université Concordia et codirigé par Alain Paquette.
Un article dans Le Journal de Montréal
L’île de Montréal compte deux fois plus d’espèces d’arbres qu’on pensait, a découvert une chercheuse, qui a aussi constaté qu’il y en a beaucoup plus dans les secteurs les plus nantis. «Ma plus grande surprise a été de constater qu’il y a de grandes différences entre les quartiers. Plus un secteur est favorisé, plus il y a d’arbres, autant sur les terrains privés que sur les sites publics», lance la biologiste Emma Bacon qui a présenté ses résultats au 92e congrès de l’Association francophone pour le savoir (Acfas) qui se tient cette semaine à l’École de technologie supérieure, à Montréal. En répertoriant plus de 28 000 arbres publics et privés de l'observatoire urbain de Montréal, Emma a pu conclure que l’île de Montréal compte 317 espèces, un nombre plus élevé qu'on pensait. Son projet est dirigé par la professeure Carly Ziter de l'Université Concordia et codirigé par Alain Paquette.
12 mai 2025
Planter des arbres, une solution aux changements climatiques?
Une entrevue à Radio-Canada
300 chercheurs et chercheuses qui sont à Rimouski à l'occasion du 18e colloque du Centre d’étude de la forêt afin d'y présenter leurs travaux de recherche sur les écosystèmes forestiers. Catherine Potvin, professeure émérite au département de biologie de l’Université McGill et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l’atténuation des changements climatiques et la forêt tropicale, explique le propre de sa recherche.
Une entrevue à Radio-Canada
300 chercheurs et chercheuses qui sont à Rimouski à l'occasion du 18e colloque du Centre d’étude de la forêt afin d'y présenter leurs travaux de recherche sur les écosystèmes forestiers. Catherine Potvin, professeure émérite au département de biologie de l’Université McGill et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l’atténuation des changements climatiques et la forêt tropicale, explique le propre de sa recherche.
12 mai 2025
Ça bouge à la Forêt Montmorency! Aménagement des sentiers de la tourbière Joncas!
Un communiqué de la Forêt Montmorency
Un projet qui allie éducation scientifique et préservation d’un milieu humide
Après plusieurs étapes préparatoires, le projet d’aménagement des sentiers de la tourbière Joncas prend enfin forme : les travaux ont débuté en mars dernier grâce à l’intervention de l’entrepreneur mandaté. Véritable trésor naturel de la Forêt Montmorency, cette tourbière témoigne de l’histoire de la végétation postglaciaire jusqu’aux années plus récentes de la drave. Dès l'automne 2025, le grand public pourra découvrir ce lieu exceptionnel grâce à des sentiers aménagés qui permettront de mieux comprendre sa valeur écologique et son histoire fascinante. Le projet a vu le jour grâce à M. Pierre J.-H. Richard, diplômé en foresterie de l’Université Laval, qui en est à la fois l’initiateur et le premier mécène. Il a également pu être réalisé grâce au soutien de partenaires majeurs, dont la Fondation de la faune, le ministère des Ressources naturelles et des Forêts, ainsi que de nombreux diplômés et amis de la Forêt Montmorency.
Un communiqué de la Forêt Montmorency
Un projet qui allie éducation scientifique et préservation d’un milieu humide
Après plusieurs étapes préparatoires, le projet d’aménagement des sentiers de la tourbière Joncas prend enfin forme : les travaux ont débuté en mars dernier grâce à l’intervention de l’entrepreneur mandaté. Véritable trésor naturel de la Forêt Montmorency, cette tourbière témoigne de l’histoire de la végétation postglaciaire jusqu’aux années plus récentes de la drave. Dès l'automne 2025, le grand public pourra découvrir ce lieu exceptionnel grâce à des sentiers aménagés qui permettront de mieux comprendre sa valeur écologique et son histoire fascinante. Le projet a vu le jour grâce à M. Pierre J.-H. Richard, diplômé en foresterie de l’Université Laval, qui en est à la fois l’initiateur et le premier mécène. Il a également pu être réalisé grâce au soutien de partenaires majeurs, dont la Fondation de la faune, le ministère des Ressources naturelles et des Forêts, ainsi que de nombreux diplômés et amis de la Forêt Montmorency.
8 mai 2025
Mobilisation de la société civile québécoise dans le cadre du Congrès mondial de la nature de l’UICN
Environnement Québec est fier de lancer son premier appel à projets pour favoriser la participation de la société civile québécoise au Congrès mondial de la nature de l'UICN, qui aura lieu du 9 au 15 octobre 2025, à Abou Dabi aux Émirats arabes unis. Pour en savoir plus sur l'appel à projets, veuillez consulter le site web. Date limite pour déposer une candidature : 8 juin 2025, 23h59.
Environnement Québec est fier de lancer son premier appel à projets pour favoriser la participation de la société civile québécoise au Congrès mondial de la nature de l'UICN, qui aura lieu du 9 au 15 octobre 2025, à Abou Dabi aux Émirats arabes unis. Pour en savoir plus sur l'appel à projets, veuillez consulter le site web. Date limite pour déposer une candidature : 8 juin 2025, 23h59.
7 mai 2025
Triade et régime forestier: un bon concept mal présenté
Un article dans Le Soleil
Le concept de triade évoqué dans le projet de loi pour moderniser le régime forestier pourrait permettre de conserver plus de forêts, de réduire l’empreinte sur le territoire pour permettre les activités multiusages tout en produisant plus de bois pour l’industrie forestière. Le manque de consultation et une mauvaise stratégie de communication viennent toutefois miner la confiance de plusieurs acteurs forestiers. «Le gouvernement a probablement choisi la pire façon de présenter son projet de réforme du régime forestier», estime Christian Messier, professeur et chercheur en écologie forestière, qui travaille sur le concept de la triade depuis plus de 20 ans. «Québec l’a présenté comme si c’était un projet pour aider l’industrie forestière, mais la triade n’a pas été développée pour l’industrie. C’est un modèle qui vise à résoudre des conflits entre l’industrie et les autres utilisateurs.»
Un article dans Le Soleil
Le concept de triade évoqué dans le projet de loi pour moderniser le régime forestier pourrait permettre de conserver plus de forêts, de réduire l’empreinte sur le territoire pour permettre les activités multiusages tout en produisant plus de bois pour l’industrie forestière. Le manque de consultation et une mauvaise stratégie de communication viennent toutefois miner la confiance de plusieurs acteurs forestiers. «Le gouvernement a probablement choisi la pire façon de présenter son projet de réforme du régime forestier», estime Christian Messier, professeur et chercheur en écologie forestière, qui travaille sur le concept de la triade depuis plus de 20 ans. «Québec l’a présenté comme si c’était un projet pour aider l’industrie forestière, mais la triade n’a pas été développée pour l’industrie. C’est un modèle qui vise à résoudre des conflits entre l’industrie et les autres utilisateurs.»
7 mai 2025
Le gouvernement du Québec investit 1,5 M$ en recherche pour l'aménagement durable des forêts
Un communiqué du MRNF
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, annonce qu'une somme totale de 1 499 971 $ est accordée pour cinq projets de recherche retenus à la suite de l'appel de projets 2024-2025 en recherche sur l'aménagement durable des forêts. Ouvert à l'ensemble des chercheuses et chercheurs des universités et des centres collégiaux de transfert de technologies ou de collèges affiliés du Québec, cet appel de projets, lancé en août 2024 par la ministre Blanchette Vézina, avait pour but d'augmenter la capacité de recherche en aménagement durable des forêts ainsi que de favoriser l'acquisition de nouvelles connaissances.
Un communiqué du MRNF
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, annonce qu'une somme totale de 1 499 971 $ est accordée pour cinq projets de recherche retenus à la suite de l'appel de projets 2024-2025 en recherche sur l'aménagement durable des forêts. Ouvert à l'ensemble des chercheuses et chercheurs des universités et des centres collégiaux de transfert de technologies ou de collèges affiliés du Québec, cet appel de projets, lancé en août 2024 par la ministre Blanchette Vézina, avait pour but d'augmenter la capacité de recherche en aménagement durable des forêts ainsi que de favoriser l'acquisition de nouvelles connaissances.
- Patrick Faubert a reçu 300 00 $ - Effet de la sévérité des feux sur la régénération naturelle et le carbone du sol dans des plantations de pin gris et d'épinette noire de la région du Nord-du-Québec
- Olivier Villemaire-Côté a reçu 300 000 $ - Effets interactifs de la coupe partielle et des perturbations naturelles en sapinière mélangée : quelle influence sur le thuya occidental?
- Alexis Achim a reçu 300 00 $ - Développement et mise en application des inventaires forestiers dynamiques au Québec
7 mai 2025
Les super ambassadeurs et ambassadrices 2025 du FRQ
Une initiative du FRQ
Jérôme Dupras a été désigné super ambassadeur 2025 du FRQ. « Le financement du FRQ a permis à mon équipe et moi de développer de nombreux projets de recherches sur l’économie de la biodiversité et la protection de la nature, au Québec, en France, en Belgique, au Mexique et au Bénin. La perspective multidisciplinaire du FRQ permet un déploiement unique et innovant des chercheurs d’ici ». Joignez votre voix affichez votre soutien à l’égard de la recherche publique. Le FRQ a élaboré plusieurs éléments visuels simples pour vous aider à exprimer votre fierté de faire partie de la #communautéFRQ. Téléchargez la trousse ou réclamez votre visuel de campagne personnalisé en remplissant le formulaire dès maintenant!.
Une initiative du FRQ
Jérôme Dupras a été désigné super ambassadeur 2025 du FRQ. « Le financement du FRQ a permis à mon équipe et moi de développer de nombreux projets de recherches sur l’économie de la biodiversité et la protection de la nature, au Québec, en France, en Belgique, au Mexique et au Bénin. La perspective multidisciplinaire du FRQ permet un déploiement unique et innovant des chercheurs d’ici ». Joignez votre voix affichez votre soutien à l’égard de la recherche publique. Le FRQ a élaboré plusieurs éléments visuels simples pour vous aider à exprimer votre fierté de faire partie de la #communautéFRQ. Téléchargez la trousse ou réclamez votre visuel de campagne personnalisé en remplissant le formulaire dès maintenant!
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7 mai 2025
Le 18e colloque du Centre d’étude de la forêt se tient à l’UQAR
Une entrevue à Radio-Canada
Notre directeur Daniel Kneeshaw en entrevue à l'émission Info-Réveil de Radio-Canada du Bas-Saint-Laurent à propos du Colloque annuel du CEF.
Une entrevue à Radio-Canada
Notre directeur Daniel Kneeshaw en entrevue à l'émission Info-Réveil de Radio-Canada du Bas-Saint-Laurent à propos du Colloque annuel du CEF.
6 mai 2025
Plus de 300 spécialistes de la forêt à l’UQAR
Un communiqué de l'UQAR
Le 18e colloque du Centre d’étude de la forêt sera présenté au campus de Rimouski les 7 et 8 mai sous le thème « Résistance et résilience des écosystèmes forestiers dans un mode en changement ». Plus de 300 spécialistes seront présents à l’UQAR. Le Centre d’étude de la forêt (CEF) rassemble des chercheuses et des chercheurs de onze universités québécoises. « C’est le seul regroupement dont la mission est axée sur la formation et la recherche sur la forêt. Les travaux des membres portent sur des enjeux comme l’aménagement forestier, l’écologie et la biologie et ont fait du Québec un chef de file international dans le domaine », indique le professeur Martin-Hugues St-Laurent, qui est responsable de l’organisation du colloque avec son collègue le professeur Guillaume de Lafontaine.
Un communiqué de l'UQAR
Le 18e colloque du Centre d’étude de la forêt sera présenté au campus de Rimouski les 7 et 8 mai sous le thème « Résistance et résilience des écosystèmes forestiers dans un mode en changement ». Plus de 300 spécialistes seront présents à l’UQAR. Le Centre d’étude de la forêt (CEF) rassemble des chercheuses et des chercheurs de onze universités québécoises. « C’est le seul regroupement dont la mission est axée sur la formation et la recherche sur la forêt. Les travaux des membres portent sur des enjeux comme l’aménagement forestier, l’écologie et la biologie et ont fait du Québec un chef de file international dans le domaine », indique le professeur Martin-Hugues St-Laurent, qui est responsable de l’organisation du colloque avec son collègue le professeur Guillaume de Lafontaine.
6 mai 2025
Éléments marquants du nouveau régime forestier
Des entrevues à Radio-Canada
Entrevues avec Evelyne Thiffault à Radio-Canada pour commenter le projet de loi sur le régime forestier.
Des entrevues à Radio-Canada
Entrevues avec Evelyne Thiffault à Radio-Canada pour commenter le projet de loi sur le régime forestier.
- Tout un matin (ICI Radio-Canada – Grand Montréal)
- Bonjour la Côte (ICI Radio-Canada - Côte Nord)
5 mai 2025
«Notre héritage sauvage», renouer avec nos instincts pour protéger la nature
Un article dans Le Devoir
[..] Dans ses livres précédents, Wohlleben usait de concepts controversés pour démontrer la « vie secrète » des arbres et des animaux. Des scientifiques, dont le professeur de foresterie québécois Christian Messier, ont déconstruit certaines des thèses anthropomorphistes popularisées par l’auteur allemand. Dans son dernier opus, Wohlleben y va à nouveau de certaines affirmations douteuses : il laisse par exemple entendre que les végétaux pourraient être dotés d’une conscience. Pèche-t-il par anthropomorphisme ? « La science consiste exactement à anthropomorphiser la nature ! » répond-il. En voulant tout catégoriser, les biologistes plaquent d’une autre manière leur perspective humaine sur le monde vivant, selon lui.
Un article dans Le Devoir
[..] Dans ses livres précédents, Wohlleben usait de concepts controversés pour démontrer la « vie secrète » des arbres et des animaux. Des scientifiques, dont le professeur de foresterie québécois Christian Messier, ont déconstruit certaines des thèses anthropomorphistes popularisées par l’auteur allemand. Dans son dernier opus, Wohlleben y va à nouveau de certaines affirmations douteuses : il laisse par exemple entendre que les végétaux pourraient être dotés d’une conscience. Pèche-t-il par anthropomorphisme ? « La science consiste exactement à anthropomorphiser la nature ! » répond-il. En voulant tout catégoriser, les biologistes plaquent d’une autre manière leur perspective humaine sur le monde vivant, selon lui.
5 mai 2025
Nouveau projet de maîtrise !
Un communiqué de l'Observatoire d'oiseaux de Tadoussac
L'Observatoire d'oiseaux de Tadoussac est ravis d’annoncer notre collaboration avec Alexandre Éthier, qui a récemment amorcé une maîtrise en sciences forestières à l’Université Laval sous la direction du professeur invité Junior A. Tremblay et du professeur titulaire Marc Mazerolle. Diplômé de l'UQAR - Université du Québec à Rimouski en 2024, Alexandre est un passionné d’ornithologie qui explore depuis plusieurs années les rives du fleuve Saint-Laurent à la recherche de phénomènes aviaires, de nouveaux habitats et de rares espèces d’oiseaux. Son projet de recherche porte sur la Grive de Bicknell, une espèce menacée dont la principale aire de nidification se situe au Québec, en forêt boréale. Il travaille à développer un protocole d’inventaire standardisé en utilisant des enregistreurs acoustiques autonomes couplés à un logiciel de reconnaissance vocale semi-automatique. Cette approche innovante permettra de mieux détecter cette espèce discrète durant la saison de reproduction et contribuera à orienter les efforts de conservation à l’échelle provinciale. Il présentera notamment une affiche de son projet au 18e Colloque du CEF - Centre d'étude de la forêt, qui se tiendra à Rimouski du 7 au 8 mai 2025.
2 mai 2025
Nouvelle docteure au CEF !
Un communiqué de l'UQAT
Maísa De Noronha a soutenu sa thèse avec succès le 30 avril dernier sur le sujet de la paludification et productivité : l’apport des feuillus dans les jeunes pessières. Dans ce contexte, elle a consacré ses travaux de doctorat à la « relation entre la mixité du couvert forestier et la productivité dans les jeunes pessières à mousses sensibles au processus de paludification ». Ses travaux ont été réalisés sous la direction de Yves Bergeron, professeur émérite à l’Institut de recherche sur les forêts de l’UQAT, en codirection avec Alain Leduc, professeur associé à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Les autres membres du jury étaient Maxence Martin (président), Patricia Raymond (évaluatrice interne) et Robert Schneider (évaluateur externe). Félicitations!
Un communiqué de l'UQAT
Maísa De Noronha a soutenu sa thèse avec succès le 30 avril dernier sur le sujet de la paludification et productivité : l’apport des feuillus dans les jeunes pessières. Dans ce contexte, elle a consacré ses travaux de doctorat à la « relation entre la mixité du couvert forestier et la productivité dans les jeunes pessières à mousses sensibles au processus de paludification ». Ses travaux ont été réalisés sous la direction de Yves Bergeron, professeur émérite à l’Institut de recherche sur les forêts de l’UQAT, en codirection avec Alain Leduc, professeur associé à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Les autres membres du jury étaient Maxence Martin (président), Patricia Raymond (évaluatrice interne) et Robert Schneider (évaluateur externe). Félicitations!
2 mai 2025
Verdir nos villes, un petit projet à la fois
Un article dans La Presse
Anne-Marie Rocher ne voulait pas faire un documentaire plombant sur l’environnement. Avec Forêts urbaines, la réalisatrice a plutôt choisi de présenter un éventail de projets innovants et inspirants, pour protéger nos arbres et verdir nos villes, bref ramener un peu de nature dans nos quartiers bétonnés. [..] Elle a pris connaissance de toutes sortes d’initiatives variées. Inédites. Méconnues. « Il a fallu faire des choix, je ne pouvais pas tout prendre ! Je suis allée vers les histoires les plus innovantes, différentes les unes des autres, proposées dans différentes réalités, des grandes villes, et plus petites villes. » [..] Quant au professeur d’écologie forestière Christian Messier, de l’UQAM, il travaille avec différentes petites villes, dont Varennes, en vue de développer un système informatique pour répondre aux questions et besoins variés des municipalités, en suggérant, avec l’intelligence artificielle, des espèces diversifiées et surtout résilientes (aux intempéries, insectes, etc.).
Un article dans La Presse
Anne-Marie Rocher ne voulait pas faire un documentaire plombant sur l’environnement. Avec Forêts urbaines, la réalisatrice a plutôt choisi de présenter un éventail de projets innovants et inspirants, pour protéger nos arbres et verdir nos villes, bref ramener un peu de nature dans nos quartiers bétonnés. [..] Elle a pris connaissance de toutes sortes d’initiatives variées. Inédites. Méconnues. « Il a fallu faire des choix, je ne pouvais pas tout prendre ! Je suis allée vers les histoires les plus innovantes, différentes les unes des autres, proposées dans différentes réalités, des grandes villes, et plus petites villes. » [..] Quant au professeur d’écologie forestière Christian Messier, de l’UQAM, il travaille avec différentes petites villes, dont Varennes, en vue de développer un système informatique pour répondre aux questions et besoins variés des municipalités, en suggérant, avec l’intelligence artificielle, des espèces diversifiées et surtout résilientes (aux intempéries, insectes, etc.).
2 mai 2025
Colloque sur la connectivité écologique : « Ensemble pour un territoire connecté et résilient »
Une publication dans Érudit
Muméro thématique du Naturaliste canadien sur la connectivité, sous la direction de Kateri Monticone, Louis-Georges Esquilat, Angélique Dupuch, Caroline Daguet, Claude Samson et Martin Lavoie. On y trouve des articles notamment de Julie-Pier Viau, Martin-Hugues St-Laurent, Michel Leboeuf)... Bonne lecture!
Une publication dans Érudit
Muméro thématique du Naturaliste canadien sur la connectivité, sous la direction de Kateri Monticone, Louis-Georges Esquilat, Angélique Dupuch, Caroline Daguet, Claude Samson et Martin Lavoie. On y trouve des articles notamment de Julie-Pier Viau, Martin-Hugues St-Laurent, Michel Leboeuf)... Bonne lecture!
2 mai 2025
La respiration du sol et le fonctionnement d'un LICOR
Un texte de vulgarisation publié dans le Couvert Boréal
Annie-Claude Malenfant est l'autrice d'un article de vulgarisation publié dans le Couvert Boréal : « Saviez-vous que les sols respirent? Avec la photosynthèse, les arbres absorbent le carbone présent dans l’atmosphère. Une partie du carbone absorbé fait ensuite son chemin jusque dans le sol qui, à son tour, expire du CO2 vers l’atmosphère. Ce cycle peut être affecté suite à une perturbation majeure, comme la coupe forestière ou un feu de forêt. ». La suite ici...
Un texte de vulgarisation publié dans le Couvert Boréal
Annie-Claude Malenfant est l'autrice d'un article de vulgarisation publié dans le Couvert Boréal : « Saviez-vous que les sols respirent? Avec la photosynthèse, les arbres absorbent le carbone présent dans l’atmosphère. Une partie du carbone absorbé fait ensuite son chemin jusque dans le sol qui, à son tour, expire du CO2 vers l’atmosphère. Ce cycle peut être affecté suite à une perturbation majeure, comme la coupe forestière ou un feu de forêt. ». La suite ici...
2 mai 2025
Capsule animée Nature alliée sur la dynamique du carbone dans les écosystèmes
L’initiative Nature alliée , coordonnée par la SNAP Québec et Nature Québec, en partenariat avec l’UQO (Sylvain Delagrange, Marie-Ève Roy), l’UQAT (Xavier Cavard, Nicole Fenton), L’UdeS (Julien Arsenault), l’U Laval (Jérôme Cimon-Morin) et l’INRS, publie aujourd’hui une capsule animée sur la dynamique du carbone dans nos milieux naturels, première d’une série qui vise à sensibiliser le grand public sur le rôle des écosystèmes dans la régulation du climat et l’impact des perturbations humaines et naturelles sur la crise climatique. Cette première capsule est accompagnée d’un blogue explicatif sur le site web de Nature alliée et sera diffusée à grande échelle. Le projet Nature alliée travaille de concert avec plusieurs partenaires autochtones, municipaux et groupes citoyens pour aider le Québec à atteindre la cible de 30% d’aires protégées d’ici 2030 tout en assurant la viabilité des communautés qui dépendent de la forêt. Restez à l’affût des prochaines capsules Nature alliée!
2 mai 2025
Compréhension des patrons de répartition spatiale des milieux humides et des effets des perturbations anthropiques en Abitibi
Un reel de l'IRF
Aymen Lamloum a remporté le Prix Coup de coeur du public et le Prix du Décanat à la recherche et à la création de l'UQAT lors du concours Mon Mémoire de Maîtrise en 180 secondes. Félicitations!
Un reel de l'IRF
Aymen Lamloum a remporté le Prix Coup de coeur du public et le Prix du Décanat à la recherche et à la création de l'UQAT lors du concours Mon Mémoire de Maîtrise en 180 secondes. Félicitations!
1 mai 2025
Soutenir les forêts pour soutenir les érablières
Un article dans La Pensée
Auprès de 23 acériculteurs passionnés, le biologiste de terrain Steve Hamel, avec plus de 30 années d’expérience, mène un projet sur le rôle clé que peuvent avoir les érablières dans la lutte contre les changements climatiques et la perte de biodiversité. Pour ce faire, il explore des forêts d’érables un peu partout au Québec, dont deux dans le Canton de Roxton, afin d’étudier leur aménagement forestier et l’impact de cet aménagement sur la santé des érables et de la faune environnante. « Une des choses primordiales que nous souhaitons mettre de l’avant avec cette étude, c’est le retour d’espèces d’oiseaux souvent en déclin dans le sud du Québec. Et cela va de pair avec le fait de soutenir de meilleure manière les forêts du sud du Québec, dont les érablières. Les oiseaux sont des bio-indicateurs de la santé d’une érablière », explique Steve Hamel, spécialiste, restauration de la biodiversité au WWF-Canada. Il s'agit du projet postdoctoral de Gabrielle Gingras
Un article dans La Pensée
Auprès de 23 acériculteurs passionnés, le biologiste de terrain Steve Hamel, avec plus de 30 années d’expérience, mène un projet sur le rôle clé que peuvent avoir les érablières dans la lutte contre les changements climatiques et la perte de biodiversité. Pour ce faire, il explore des forêts d’érables un peu partout au Québec, dont deux dans le Canton de Roxton, afin d’étudier leur aménagement forestier et l’impact de cet aménagement sur la santé des érables et de la faune environnante. « Une des choses primordiales que nous souhaitons mettre de l’avant avec cette étude, c’est le retour d’espèces d’oiseaux souvent en déclin dans le sud du Québec. Et cela va de pair avec le fait de soutenir de meilleure manière les forêts du sud du Québec, dont les érablières. Les oiseaux sont des bio-indicateurs de la santé d’une érablière », explique Steve Hamel, spécialiste, restauration de la biodiversité au WWF-Canada. Il s'agit du projet postdoctoral de Gabrielle Gingras
1 mai 2025
Un texte d'opinion publié dans La Presse
Un texte de Christian Messier - Le concept de « triade », mis de l’avant par Québec dans la modernisation de son régime forestier, peut à la fois permettre de maintenir la production de bois et protéger la biodiversité, explique l’auteur. Mais son principal objectif ne devrait pas être d’aider l’industrie forestière.
30 avril 2025
Un communiqué de l'UQAT
Les 16 et 17 avril derniers se tenait le Colloque annuel de la Chaire institutionnelle sur la biodiversité nordique en contexte minier (BCM) de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT). Nicole Fenton, titulaire de la chaire, ainsi que son équipe de recherche ont accueilli les participantes et participants au campus de l’UQAT à Rouyn-Noranda pour deux journées riches en échanges et en acquisitions de connaissances.
29 avril 2025
Un article publié dans Le Progrès forestier
Les feux de forêt façonnent les écosystèmes boréaux et altèrent les environnements aquatiques en modifiant le transport des sédiments et des nutriments vers les lacs, ce qui affecte la qualité de l’eau et l’écologie des lacs. Le changement climatique pourrait augmenter la fréquence et la sévérité des feux, ainsi que le stress sur les écosystèmes aquatiques. Si les effets immédiats des feux sont connus, les conséquences à long terme restent à explorer. Un article de Faustine Machut, Dorian Gaboriau, Carsten Meyer-Jacob, Yves Bergeron.
29 avril 2025
Urban heat in global cities and the role of naturebased solutions in mitigating future climate risks
Un article publié dans Environmental Research Climate
Un article dont Christian Messier est coauteur sur les projections de l’augmentation de la température prévue dans plus de 5600 villes dans le monde. Les plus grandes augmentations auront lieu en Europe, Amérique du Nord et l’Australie. Il faut se préparer en augmentant le couvert végétal de nos villes! An article I co-authored on projections of the expected temperature increase in more than 5,600 cities worldwide. The greatest increases will occur in Europe, North America, and Australia. We must prepare by increasing the vegetation cover of our cities.
28 avril 2025
Québec scientist aims to raise awareness about endangered fungi
Une entrevue à la CBC
Jonathan Cazabonne, étudiant au doctorat à l'IRF, était en entrevue à l'émission 𝘈𝘭𝘭 𝘪𝘯 𝘢 𝘞𝘦𝘦𝘬𝘦𝘯𝘥 de CBC pour discuter de l'importance des champignons dans les écosystèmes et de la nécessité d’œuvrer à leur protection.
Une entrevue à la CBC
Jonathan Cazabonne, étudiant au doctorat à l'IRF, était en entrevue à l'émission 𝘈𝘭𝘭 𝘪𝘯 𝘢 𝘞𝘦𝘦𝘬𝘦𝘯𝘥 de CBC pour discuter de l'importance des champignons dans les écosystèmes et de la nécessité d’œuvrer à leur protection.
25 avril 2025
Pourquoi planter des arbres qui nous font suffoquer?
Une vidéo YouTube de Scilabus
Excellent reportage de Scilabus sur les travaux de Sarah Tardif et du Laboratoire d'Alain Paquette depuis quelques années pour améliorer la détection et cartographie des pollens pour les allergiques. Collaborations avec Rita Sousa Silva, Isabelle Laforest-Lapointe et le MSSS INSPQ CHU Ste-Justine. Ces travaux sur les pollens sont à la base de l'observatoire sur la forêt urbaine .
24 avril 2025
Québec dépose le projet de loi visant à réformer le régime forestier
Une entrevue à Radio-Canada, émission Les matins d'ici
Christian Messier est invité à l'émission du matin le plus écoutée du marché francophone de la capitale nationale pour parler du projet de loi sur le régime forestier.
Une entrevue à Radio-Canada, émission Les matins d'ici
Christian Messier est invité à l'émission du matin le plus écoutée du marché francophone de la capitale nationale pour parler du projet de loi sur le régime forestier.
24 avril 2025
Les travaux de maîtrise d'Alex-Anne Couture publiés dans Oikos
Un communiqué du PaqLab
Les travaux de maîtrise d’Alex-Anne Couture, réalisés au PaqLab, viennent d’être publiés dans la revue Oikos. Son étude, menée sur des lentilles d’eau (Lemnaceae), montre que les effets positifs de la biodiversité sur la productivité s’amplifient au fil du temps, principalement grâce à des effets de complémentarité entre les espèces. Ces résultats soulignent le potentiel des lentilles d’eau pour explorer les relations diversité–productivité : leur cycle de vie très court permet de tester en quelques semaines des hypothèses qui exigeraient plusieurs années, voire décennies, chez des plantes à croissance plus lente comme les herbacées ou les arbres. La publication est disponible en accès libre.
Un communiqué du PaqLab
Les travaux de maîtrise d’Alex-Anne Couture, réalisés au PaqLab, viennent d’être publiés dans la revue Oikos. Son étude, menée sur des lentilles d’eau (Lemnaceae), montre que les effets positifs de la biodiversité sur la productivité s’amplifient au fil du temps, principalement grâce à des effets de complémentarité entre les espèces. Ces résultats soulignent le potentiel des lentilles d’eau pour explorer les relations diversité–productivité : leur cycle de vie très court permet de tester en quelques semaines des hypothèses qui exigeraient plusieurs années, voire décennies, chez des plantes à croissance plus lente comme les herbacées ou les arbres. La publication est disponible en accès libre
.24 avril 2025
Le projet de loi de réforme du régime forestier vu par la présidente de l’AFAT
Une entrevue à Radio-Canada, émission Ça vaut le détour
L'ingénieure forestière et présidente de l'Association Forestière de l'Abitibi-Témiscamingue (AFAT), Marie-Eve Sigouin, affirme que le projet de loi 97 visant à moderniser le régime forestier ne présente pas beaucoup de surprises. Selon l’enseignante au département de technologie forestière du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue, le texte de la ministre Maïté Blanchette Vézina reprend plusieurs éléments issus de la Commission Coulombe de 2003. Pour le zonage du territoire forestier, on propose de faire des zones d’aménagement prioritaires où on verrait de multiples usages de la forêt et des zones de conservation stricte, a-t-elle constaté. Elle note que Québec se montre plus contraignant dans la gestion des territoires d’aménagement forestiers.
Une entrevue à Radio-Canada, émission Ça vaut le détour
L'ingénieure forestière et présidente de l'Association Forestière de l'Abitibi-Témiscamingue (AFAT), Marie-Eve Sigouin, affirme que le projet de loi 97 visant à moderniser le régime forestier ne présente pas beaucoup de surprises. Selon l’enseignante au département de technologie forestière du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue, le texte de la ministre Maïté Blanchette Vézina reprend plusieurs éléments issus de la Commission Coulombe de 2003. Pour le zonage du territoire forestier, on propose de faire des zones d’aménagement prioritaires où on verrait de multiples usages de la forêt et des zones de conservation stricte, a-t-elle constaté. Elle note que Québec se montre plus contraignant dans la gestion des territoires d’aménagement forestiers.
24 avril 2025
Analyse de la proposition de nouveau régime forestier
Une entrevue à Radio-Canada, émission Bonjour la Côte
C’est hier que la Ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a déposé le projet de loi 97, Loi visant principalement à moderniser le régime forestier. Hier, à l’émission Côte à Côte, Catherine Paquette a discuté avec la ministre afin qu’elle puisse expliquer sa proposition. Ce matin, nous allons analyser le contenu de ce projet de réforme du régime forestier avec la spécialiste de l’aménagement forestier et de l’adaptation aux changements climatiques à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval, Évelyne Thiffault.
Une entrevue à Radio-Canada, émission Bonjour la Côte
C’est hier que la Ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a déposé le projet de loi 97, Loi visant principalement à moderniser le régime forestier. Hier, à l’émission Côte à Côte, Catherine Paquette a discuté avec la ministre afin qu’elle puisse expliquer sa proposition. Ce matin, nous allons analyser le contenu de ce projet de réforme du régime forestier avec la spécialiste de l’aménagement forestier et de l’adaptation aux changements climatiques à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval, Évelyne Thiffault.
22 avril 2025
Allergies saisonnières: des arbres trop «virils»?
Un article du Journal de Québec
Démangeaisons, éternuements à répétition, nez qui coule... Pas de doute, les allergies sont de retour! Mais pourraient-elles être aggravées par le sexe des arbres? En entrevue à l’émission d’Isabelle Perron, à QUB radio et télé, diffusée simultanément au 99,5 FM Montréal, Sarah Tardif, candidate au doctorat en biologie à l’UQAM, explique que la «masculinité» de l’arbre que l’on plante peut avoir un impact sur les allergies.| L'entrevue
Un article du Journal de Québec
Démangeaisons, éternuements à répétition, nez qui coule... Pas de doute, les allergies sont de retour! Mais pourraient-elles être aggravées par le sexe des arbres? En entrevue à l’émission d’Isabelle Perron, à QUB radio et télé, diffusée simultanément au 99,5 FM Montréal, Sarah Tardif, candidate au doctorat en biologie à l’UQAM, explique que la «masculinité» de l’arbre que l’on plante peut avoir un impact sur les allergies.| L'entrevue
22 avril 2025
Réduire l’empreinte des mines : des étudiants de l’UQAT explorent des solutions
Un article de Radio-Canada
Une dizaine d’étudiants de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue ont présenté cette semaine leurs travaux de recherche concernant l’impact de l’industrie minière sur la biodiversité. L’événement s’est tenu à Rouyn-Noranda, au campus de l’université. Ce qu’on a pu voir aujourd’hui avec des résultats préliminaires, c’est que quand une mine est fermée et restaurée, on diminue déjà beaucoup l’empreinte spatiale d’une mine. Ça, c’est une bonne nouvelle. Pas juste que l’empreinte en soi n’est pas si grande que ça, mais en plus qu’elle diminue dans le temps après qu’une mine est fermée, se réjouit Nicole Fenton, titulaire de la chaire sur la biodiversité nordique en contexte minier.
Un article de Radio-Canada
Une dizaine d’étudiants de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue ont présenté cette semaine leurs travaux de recherche concernant l’impact de l’industrie minière sur la biodiversité. L’événement s’est tenu à Rouyn-Noranda, au campus de l’université. Ce qu’on a pu voir aujourd’hui avec des résultats préliminaires, c’est que quand une mine est fermée et restaurée, on diminue déjà beaucoup l’empreinte spatiale d’une mine. Ça, c’est une bonne nouvelle. Pas juste que l’empreinte en soi n’est pas si grande que ça, mais en plus qu’elle diminue dans le temps après qu’une mine est fermée, se réjouit Nicole Fenton, titulaire de la chaire sur la biodiversité nordique en contexte minier.
22 avril 2025
L’érable à sucre face à un imposteur: un envahisseur nuisible trône par erreur sur nos billets de 20$ et dans de multiples publications officielles
Un article dans Le Journal de Montréal
La feuille de l’érable de Norvège, une espèce envahissante et porteuse de maladies, trône par erreur sur nos billets de 20$ et dans de multiples publications officielles de politiciens ou d’acériculteurs à la place de celle du véritable érable à sucre. «J’ai arrêté de les compter», confie avec exaspération au Journal Claude Lavoie, professeur à l’Université Laval et auteur de l’ouvrage 50 plantes envahissantes, où figure l’érable de Norvège. Avec son collègue Jacques Brisson, de l’Université de Montréal, il a longtemps tenu un concours informel sur les mauvaises utilisations de la feuille d’érable. «C’est une erreur qui témoigne d’une vraie lacune en matière de culture scientifique dans les plus hautes sphères de nos institutions», lance Jacques Brisson, qui enseigne la botanique depuis 30 ans à l’Université de Montréal.
Un article dans Le Journal de Montréal
La feuille de l’érable de Norvège, une espèce envahissante et porteuse de maladies, trône par erreur sur nos billets de 20$ et dans de multiples publications officielles de politiciens ou d’acériculteurs à la place de celle du véritable érable à sucre. «J’ai arrêté de les compter», confie avec exaspération au Journal Claude Lavoie, professeur à l’Université Laval et auteur de l’ouvrage 50 plantes envahissantes, où figure l’érable de Norvège. Avec son collègue Jacques Brisson, de l’Université de Montréal, il a longtemps tenu un concours informel sur les mauvaises utilisations de la feuille d’érable. «C’est une erreur qui témoigne d’une vraie lacune en matière de culture scientifique dans les plus hautes sphères de nos institutions», lance Jacques Brisson, qui enseigne la botanique depuis 30 ans à l’Université de Montréal.
16 avril 2025
«Forêts urbaines»: militer pour la nature en pleine ville
Un article dans Le Devoir
En mettant le doigt sur des problèmes, les documentaires sur l’environnement peuvent souvent être déprimants, estime la productrice-réalisatrice Anne-Marie Rocher. Son nouveau long métrage, Forêts urbaines, est tout le contraire. [..] Christian Messier, professeur d’écologie forestière, est enthousiaste par rapport à un nouvel outil d’aménagement urbain permettant aux municipalités de déterminer quelles seraient les meilleures espèces à planter.
Un article dans Le Devoir
En mettant le doigt sur des problèmes, les documentaires sur l’environnement peuvent souvent être déprimants, estime la productrice-réalisatrice Anne-Marie Rocher. Son nouveau long métrage, Forêts urbaines, est tout le contraire. [..] Christian Messier, professeur d’écologie forestière, est enthousiaste par rapport à un nouvel outil d’aménagement urbain permettant aux municipalités de déterminer quelles seraient les meilleures espèces à planter.
16 avril 2025
Des déchets dangereux dans un milieu naturel protégé à Blainville?
Une entrevue à Radio-Canada
Le gouvernement Legault veut forcer la Ville de Blainville à vendre un terrain à l'entreprise américaine Stablex, pour agrandir le dépotoir de l'entreprise de traitement de déchets dangereux. De son côté, Blainville soutient que le terrain convoité est un milieu naturel protégé. Jérôme Dupras, président-directeur général d’Habitat, une firme de génie environnemental, et professeur en économie écologique à l’Université du Québec en Outaouais, a témoigné ce matin devant la Commission de l’aménagement du territoire sur le sujet.
Une entrevue à Radio-Canada
Le gouvernement Legault veut forcer la Ville de Blainville à vendre un terrain à l'entreprise américaine Stablex, pour agrandir le dépotoir de l'entreprise de traitement de déchets dangereux. De son côté, Blainville soutient que le terrain convoité est un milieu naturel protégé. Jérôme Dupras, président-directeur général d’Habitat, une firme de génie environnemental, et professeur en économie écologique à l’Université du Québec en Outaouais, a témoigné ce matin devant la Commission de l’aménagement du territoire sur le sujet.
15 avril 2025
Alexandre Pace est nommé "Chercheur engagé"
Un communiqué de l'Université Concordia
Faites connaissance de nos chercheur·es engagé·es! Ces étudiants·es au doctorat maîtrisent l'art de partager leurs recherches avec le public de manière accessible et attrayante. Membre du CEF,
Un communiqué de l'Université Concordia
Faites connaissance de nos chercheur·es engagé·es! Ces étudiants·es au doctorat maîtrisent l'art de partager leurs recherches avec le public de manière accessible et attrayante. Membre du CEF,
Alexandre Pace s'amuse à décoder le changement climatique à partir des anneaux de croissance des arbres et ainsi, il facilite la compréhension d'idées complexes. Consultez sa vidéo vulgarisée . Félicitations pour cette nomination, Alexandre!
14 avril 2025
Nouvelle docteure au CEF !
Un communiqué de l'UQAT
Les forêts boréales paludifiées ou tourbeuses emmagasinent une grande partie de leur carbone (60 à 80 %) dans le sol, sous forme de matière organique morte provenant principalement des bryophytes. Toutefois, cette accumulation ralentit la croissance des arbres, limitant ainsi la production de bois. Certains facteurs, comme les interventions sylvicoles et les feux, peuvent réduire l’épaisseur de ces couches et influencer la dynamique du carbone. Une question clé demeure : est-ce que l’augmentation de la croissance des arbres est contrebalancée par une perte du carbone déjà stocké dans le sol? Ange-Marie Botroh, doctorante en sciences de l’environnement, a réalisé des travaux de recherche spécifiquement sur ce sujet. Son objectif était d’évaluer les effets des feux et des pratiques sylvicoles, selon leur intensité, sur la dynamique du carbone dans les forêts tourbeuses du Nord-Ouest québécois. Les résultats ont montré que les perturbations sévères, qu’elles soient humaines ou naturelles, favorisent le stockage du carbone grâce à la croissance accélérée des arbres en régénération, notamment dans les forêts à dominance de mousses hypnacées.
Un communiqué de l'UQAT
Les forêts boréales paludifiées ou tourbeuses emmagasinent une grande partie de leur carbone (60 à 80 %) dans le sol, sous forme de matière organique morte provenant principalement des bryophytes. Toutefois, cette accumulation ralentit la croissance des arbres, limitant ainsi la production de bois. Certains facteurs, comme les interventions sylvicoles et les feux, peuvent réduire l’épaisseur de ces couches et influencer la dynamique du carbone. Une question clé demeure : est-ce que l’augmentation de la croissance des arbres est contrebalancée par une perte du carbone déjà stocké dans le sol? Ange-Marie Botroh, doctorante en sciences de l’environnement, a réalisé des travaux de recherche spécifiquement sur ce sujet. Son objectif était d’évaluer les effets des feux et des pratiques sylvicoles, selon leur intensité, sur la dynamique du carbone dans les forêts tourbeuses du Nord-Ouest québécois. Les résultats ont montré que les perturbations sévères, qu’elles soient humaines ou naturelles, favorisent le stockage du carbone grâce à la croissance accélérée des arbres en régénération, notamment dans les forêts à dominance de mousses hypnacées.
10 avril 2025
Savannah Bissegger O'Connor récipiendaire d'une bourse de 5 000 $
Une bourse de la FFGG
La cérémonie des bourses de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université a remis la bourse Soeur Estelle-Lacoursière à Savannah Bissegger O'Connor, étudiante à la maîtrise au CEF. Cette bourse a été créée en l'honneur de Soeur Estelle-Lacoursière qui fut la première femme à obtenir un diplôme de 2e cycle dans le domaine de la foresterie. Elle vise à soutenir une étudiante à la maîtrise avec mémoire en sciences forestières dont la recherche porte sur l'un des thèmes suivants: écologie forestière, environnement, préservation de la nature et /ou éducation à l'environnement. Le projet de Savannah met en avant le rôle des résident.e.s dans la gestion forestière urbaine. Elle a aussi coécrit et créé dix capsuiles explicatives et un guide pratique sur l'inventaire et la gestion des arbres privés à Québec. Félicitations!
Une bourse de la FFGG
La cérémonie des bourses de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université a remis la bourse Soeur Estelle-Lacoursière à Savannah Bissegger O'Connor, étudiante à la maîtrise au CEF. Cette bourse a été créée en l'honneur de Soeur Estelle-Lacoursière qui fut la première femme à obtenir un diplôme de 2e cycle dans le domaine de la foresterie. Elle vise à soutenir une étudiante à la maîtrise avec mémoire en sciences forestières dont la recherche porte sur l'un des thèmes suivants: écologie forestière, environnement, préservation de la nature et /ou éducation à l'environnement. Le projet de Savannah met en avant le rôle des résident.e.s dans la gestion forestière urbaine. Elle a aussi coécrit et créé dix capsuiles explicatives et un guide pratique sur l'inventaire et la gestion des arbres privés à Québec
. Félicitations! 
Photo Jean Rodier9 avril 2025
Comment éradiquer le nerprun sans nuire à la flore locale?
Une entrevue à Moteur de recherche
Lors de l’émission Moteur de recherche du 8 avril sur Radio-Canada, intitulée "Comment éradiquer le nerprun sans nuire à la flore locale?", Francois Hébert a été l'invité pour parler des différentes techniques d'éradication et/ou de contröle de cette espèce (très) envahissante.
Une entrevue à Moteur de recherche
Lors de l’émission Moteur de recherche du 8 avril sur Radio-Canada, intitulée "Comment éradiquer le nerprun sans nuire à la flore locale?", Francois Hébert a été l'invité pour parler des différentes techniques d'éradication et/ou de contröle de cette espèce (très) envahissante.
7 avril 2025
Les villes ne plantent pas toujours les arbres là où c’est payant pour l’écologie
Une entrevue à Moteur de recherche
Lors de l’émission Moteur de recherche du 3 avril sur Radio-Canada, intitulée "Les arbres efficaces en ville et l’histoire de la chaise", Alain Paquette a rappelé qu’il ne suffit pas de planter des arbres : encore faut-il les planter au bon endroit. Il a insisté sur le rôle crucial des arbres matures, l’importance de cibler les quartiers défavorisés, et a alerté sur les inégalités liées au "racisme environnemental".
Une entrevue à Moteur de recherche
Lors de l’émission Moteur de recherche du 3 avril sur Radio-Canada, intitulée "Les arbres efficaces en ville et l’histoire de la chaise", Alain Paquette a rappelé qu’il ne suffit pas de planter des arbres : encore faut-il les planter au bon endroit. Il a insisté sur le rôle crucial des arbres matures, l’importance de cibler les quartiers défavorisés, et a alerté sur les inégalités liées au "racisme environnemental".
7 avril 2025
L’histoire climatique québécoise inscrite dans les cernes de ses arbres
Un article dans La Presse
Des cernes de croissance d’arbres québécois datant de près de 200 ans indiquent que le manteau neigeux des montagnes gaspésiennes a considérablement diminué au cours des dernières décennies. C’est ce que suggèrent des chercheurs de l’Université Concordia (dont Alexandre Pace et Jeannine-Marie St-Jacques) dans une étude qui pourrait apporter un éclairage supplémentaire sur la diminution des troupeaux de caribous et les prévisions hydroélectriques. [..] « Cette reconstitution pourrait s’avérer utile pour la faune, les pêches et la gestion des réservoirs hydroélectriques », note l’étude publiée dans le Journal of Hydrology : Regional Studies.
Un article dans La Presse
Des cernes de croissance d’arbres québécois datant de près de 200 ans indiquent que le manteau neigeux des montagnes gaspésiennes a considérablement diminué au cours des dernières décennies. C’est ce que suggèrent des chercheurs de l’Université Concordia (dont Alexandre Pace et Jeannine-Marie St-Jacques) dans une étude qui pourrait apporter un éclairage supplémentaire sur la diminution des troupeaux de caribous et les prévisions hydroélectriques. [..] « Cette reconstitution pourrait s’avérer utile pour la faune, les pêches et la gestion des réservoirs hydroélectriques », note l’étude publiée dans le Journal of Hydrology : Regional Studies.
3 avril 2025
Quebec scientist aims to raise awareness about endangered fungi
Une entrevue à CBC radio
Jonathan Cazabonne a été interviewé à l’émission All in a weekend with Sonali Karnick (CBC radio) où il a pu parler de l’importance de protéger les champignons, faisant suite à l'article paru dans The Conversation.
They may be considered "uncharismatic" and, let's face it, not pretty enough, but fungi or mushrooms deserve as much attention - and protection - as trees, plants, animals and insects. We speak with Jonathan Cazabonne, Ph.D student at l'Université du Quebec en Abitibi-Témiscamingue, who is studying mycology and old-growth forest ecology. He talks about how fungi are essential to life on earth, why they're endangered, and what we can do to help. (He co-authored a recent article on the subject on The Conversation.)
Une entrevue à CBC radio
Jonathan Cazabonne a été interviewé à l’émission All in a weekend with Sonali Karnick (CBC radio) où il a pu parler de l’importance de protéger les champignons, faisant suite à l'article paru dans The Conversation.
They may be considered "uncharismatic" and, let's face it, not pretty enough, but fungi or mushrooms deserve as much attention - and protection - as trees, plants, animals and insects. We speak with Jonathan Cazabonne, Ph.D student at l'Université du Quebec en Abitibi-Témiscamingue, who is studying mycology and old-growth forest ecology. He talks about how fungi are essential to life on earth, why they're endangered, and what we can do to help. (He co-authored a recent article on the subject on The Conversation.)
2 avril 2025
Des dizaines de scientifiques dénoncent la décision de la CAQ en faveur de Stablex
Un article dans Le Devoir
La décision du gouvernement Legault d’autoriser la destruction de milieux naturels pour permettre l’expansion du site d’enfouissement de Stablex contrevient aux engagements du Québec en matière de protection des milieux humides et de la biodiversité, en plus d’aller à l’encontre des efforts de lutte contre la crise climatique. C’est ce qu’affirment sans détour des scientifiques consultés par Le Devoir et les 47 signataires universitaires d’une lettre (voir encadré), qui dénoncent tous le choix du gouvernement caquiste d’aller de l’avant avec ce projet de nouveau dépotoir de déchets dangereux, à Blainville. Avec Dominique Gravel et Tanya Handa.
Un article dans Le Devoir
La décision du gouvernement Legault d’autoriser la destruction de milieux naturels pour permettre l’expansion du site d’enfouissement de Stablex contrevient aux engagements du Québec en matière de protection des milieux humides et de la biodiversité, en plus d’aller à l’encontre des efforts de lutte contre la crise climatique. C’est ce qu’affirment sans détour des scientifiques consultés par Le Devoir et les 47 signataires universitaires d’une lettre (voir encadré), qui dénoncent tous le choix du gouvernement caquiste d’aller de l’avant avec ce projet de nouveau dépotoir de déchets dangereux, à Blainville. Avec Dominique Gravel et Tanya Handa.
2 avril 2025
Nous nous indignons contre le projet d’agrandissement de Stablex dans la Grande Tourbière de Blainville
Une lettre d'opinion dans Le Devoir
Les tourbières étant des milieux humides riches d’une importante biodiversité et essentielles dans la séquestration du carbone atmosphérique, elles sont un véritable atout dans la lutte contre les changements climatiques. Les sols de ces écosystèmes sont acides et très pauvres en oxygène, ce qui leur permet de ralentir la décomposition des plantes et ainsi d’accumuler du carbone sous forme de tourbe. Pour la même période, il a été estimé que les sols des tourbières peuvent séquestrer jusqu’à cinq fois plus de carbone que les arbres. Bien que les tourbières couvrent encore 10,6 % du territoire québécois, jusqu’à 80 % de celles du sud du Québec ont déjà été perturbées ou détruites. La tourbière de Blainville fait partie d’un des derniers grands complexes de tourbières dans le sud du Québec. Plusieurs membres du CEF ont signé cette lettre
Une lettre d'opinion dans Le Devoir
Les tourbières étant des milieux humides riches d’une importante biodiversité et essentielles dans la séquestration du carbone atmosphérique, elles sont un véritable atout dans la lutte contre les changements climatiques. Les sols de ces écosystèmes sont acides et très pauvres en oxygène, ce qui leur permet de ralentir la décomposition des plantes et ainsi d’accumuler du carbone sous forme de tourbe. Pour la même période, il a été estimé que les sols des tourbières peuvent séquestrer jusqu’à cinq fois plus de carbone que les arbres. Bien que les tourbières couvrent encore 10,6 % du territoire québécois, jusqu’à 80 % de celles du sud du Québec ont déjà été perturbées ou détruites. La tourbière de Blainville fait partie d’un des derniers grands complexes de tourbières dans le sud du Québec. Plusieurs membres du CEF ont signé cette lettre
1 avril 2025
Une chaire de recherche de l'UQAT s'installe au Cégep de Baie-Comeau
Un communiqué de l'UQAT
L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) et le Cégep de Baie-Comeau annoncent l’installation de la Chaire de recherche UQAT-MRNF sur la gestion du carbone forestier au Cégep de Baie-Comeau, au sein du Centre d’expérimentation et de développement en forêt boréale (CEDFOB) situé dans le Pavillon de recherche et d’innovation en forêt boréale. Ce centre collégial de transfert de technologie accueille ainsi le professeur Xavier Cavard, titulaire de la Chaire, et devient le point de ralliement pour plusieurs étudiantes et étudiants à la maîtrise et au doctorat. En s’installant au Cégep de Baie-Comeau, la Chaire vise notamment à générer de nouvelles possibilités de partenariats et de collaboration en recherche avec l’équipe du CEDFOB.
Un communiqué de l'UQAT
L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) et le Cégep de Baie-Comeau annoncent l’installation de la Chaire de recherche UQAT-MRNF sur la gestion du carbone forestier au Cégep de Baie-Comeau, au sein du Centre d’expérimentation et de développement en forêt boréale (CEDFOB) situé dans le Pavillon de recherche et d’innovation en forêt boréale. Ce centre collégial de transfert de technologie accueille ainsi le professeur Xavier Cavard, titulaire de la Chaire, et devient le point de ralliement pour plusieurs étudiantes et étudiants à la maîtrise et au doctorat. En s’installant au Cégep de Baie-Comeau, la Chaire vise notamment à générer de nouvelles possibilités de partenariats et de collaboration en recherche avec l’équipe du CEDFOB.
1 avril 2025
Sirop d’érable au Québec : comment anticiper l’avenir?
Un reportage de La semaine verte
Le Québec est le plus grand producteur de sirop d’érable au monde. Comme la production dépend de la météo et du climat, des scientifiques se demandent quel est l’avenir de l’acériculture au Québec face aux changements climatiques. La saison des sucres sera plus précoce. Et les conditions climatiques favorables à la coulée pourraient étendre la zone de production au nord de l’Abitibi et du lac Saint-Jean. Entrevue avec Dominique Gravel, Tim Rademacher (Postdoc 2023) et Élise Bouchard.
Un reportage de La semaine verte
Le Québec est le plus grand producteur de sirop d’érable au monde. Comme la production dépend de la météo et du climat, des scientifiques se demandent quel est l’avenir de l’acériculture au Québec face aux changements climatiques. La saison des sucres sera plus précoce. Et les conditions climatiques favorables à la coulée pourraient étendre la zone de production au nord de l’Abitibi et du lac Saint-Jean. Entrevue avec Dominique Gravel, Tim Rademacher (Postdoc 2023) et Élise Bouchard.
1 avril 2025
Un vent de changement souffle sur l’équipe de direction de la FFGG
Un communiqué de l'Université Laval
La FFGG annonce la nomination de Alexis Achim comme directeur scientifique de la Forêt Montmorency et de Luc LeBel comme vice-doyen à la recherche.
Un communiqué de l'Université Laval
La FFGG annonce la nomination de Alexis Achim comme directeur scientifique de la Forêt Montmorency et de Luc LeBel comme vice-doyen à la recherche.
31 mars 2025
Deux chercheurs de la Chaire ArbrenVil récipiendaires du mérite arboricole de la SIAQ
Un communiqué de la Chaire ArbrenVil
Deux chercheurs de la Chaire ArbrenVil ont reçu un prix lors du Rendez-vous arboricole printanier de la Société internationale d’arboriculture Québec (SIAQ) le 27 mars dernier. Les prix du mérite arboricole visent à promouvoir la recherche et l’excellence de la pratique en arboriculture et favoriser un rapprochement entre les chercheurs et les praticiens.
Un communiqué de la Chaire ArbrenVil
Deux chercheurs de la Chaire ArbrenVil ont reçu un prix lors du Rendez-vous arboricole printanier de la Société internationale d’arboriculture Québec (SIAQ) le 27 mars dernier. Les prix du mérite arboricole visent à promouvoir la recherche et l’excellence de la pratique en arboriculture et favoriser un rapprochement entre les chercheurs et les praticiens.
- Sylvain Delagrange a reçu le prix « René-Pomerleau », un prix remis à une personne s’étant distinguée par des travaux de recherche dont les résultats ont été appliqués et ont permis d’améliorer la pratique arboricole au Québec
- Matt Follett (Phd 2019) a quant à lui reçu le prix « Alphonse-Guimont », un prix remis à une personne qui s’est distinguée par son œuvre relative à l’excellence de la pratique en arboriculture au Québec.
Bravo à vous deux et merci pour votre contribution à l’arboriculture et à la foresterie urbaine.
28 mars 2025
Remise des bourses du fonds pour les femmes en sciences: Johanna reçoit la bourse Ambition
Un communiqué du PaqLab
Jeudi matin avait lieu la cérémonie de remise des bourses du Fonds pour les femmes en sciences de l'UQAM dans le cadre de la Journée de la recherche de la Faculté des sciences. Johanna Arnet, étudiante à la maîtrise au Paqlab, s’est vu décerner la bourse Ambition, soulignant son engagement et son excellence en recherche. Invitée à participer à un panel, elle a partagé avec le public son cheminement en sciences, ses sources de motivation et ses aspirations pour l’avenir. Félicitations Johanna ! Communiqué de l'UQAM
Un communiqué du PaqLab
Jeudi matin avait lieu la cérémonie de remise des bourses du Fonds pour les femmes en sciences de l'UQAM dans le cadre de la Journée de la recherche de la Faculté des sciences. Johanna Arnet, étudiante à la maîtrise au Paqlab, s’est vu décerner la bourse Ambition, soulignant son engagement et son excellence en recherche. Invitée à participer à un panel, elle a partagé avec le public son cheminement en sciences, ses sources de motivation et ses aspirations pour l’avenir. Félicitations Johanna ! Communiqué de l'UQAM
27 mars 2025
La foresterie pollue plus que les transports, dénonce une ONG
Un article de La Presse
Les coupes forestières émettent plus de gaz à effet de serre (GES) que les transports routiers, aériens, maritimes et ferroviaires combinés au Canada, déplore une organisation écologiste, qui accuse le gouvernement fédéral d’occulter la réelle empreinte carbone de l’industrie ; un avis contesté par une experte. [..] Cette façon de calculer les émissions et les absorptions de GES est conforme aux directives du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), souligne l’ingénieure forestière Evelyne Thiffault (Phd 2006 & postdoc 2009), professeure au département des sciences du bois et de la forêt de l’Université Laval, qui la trouve justifiée. « Ne pas couper une forêt, c’est une décision d’aménagement », indique-t-elle ; il est donc légitime à ses yeux d’inclure les GES absorbés par cette forêt dans l’empreinte carbone de la foresterie.
Un article de La Presse
Les coupes forestières émettent plus de gaz à effet de serre (GES) que les transports routiers, aériens, maritimes et ferroviaires combinés au Canada, déplore une organisation écologiste, qui accuse le gouvernement fédéral d’occulter la réelle empreinte carbone de l’industrie ; un avis contesté par une experte. [..] Cette façon de calculer les émissions et les absorptions de GES est conforme aux directives du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), souligne l’ingénieure forestière Evelyne Thiffault (Phd 2006 & postdoc 2009), professeure au département des sciences du bois et de la forêt de l’Université Laval, qui la trouve justifiée. « Ne pas couper une forêt, c’est une décision d’aménagement », indique-t-elle ; il est donc légitime à ses yeux d’inclure les GES absorbés par cette forêt dans l’empreinte carbone de la foresterie.
27 mars 2025
Deux pour un à Moteur de recherche!
Une participation à l'émission radio Moteur de recherche
Le 26 mars dernier, deux membres du CEF étaient invités à l'émission radio de Mathieu Dugal, Moteur de Recherche, disponible aussi sur l'application Ohdio.
- Marc Mazerolle répondait à la question: Pourquoi est-il si important de préserver l'habitat des grenouilles ?
- Élise Bouchard répondait à la question: La croissance des plantes va-t-elle augmenter dû aux changements climatiques ?
25 mars 2025
Un article de l'Info Suroit
La Ville de Salaberry-de-Valleyfield bénéficie désormais d’un service de conseils scientifiques grâce à un partenariat établi avec le Centre de recherche appliquée sur la biodiversité et les écosystèmes (CRABE) de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Ce partenariat met la science au cœur des décisions municipales pour faire face aux enjeux environnementaux actuels. Le CRABE, sous la direction scientifique des professeurs Jérôme Dupras et Jean-Olivier Goyette, accompagne les gouvernements et les municipalités sur des questions liées à la biodiversité et à l’adaptation à la crise environnementale.
25 mars 2025
Un article du Journal de Montréal
Quatre ornithologues québécois observent 511 espèces en un mois. Avec ses plumes spectaculaires, on oublie que le paon ne vit pas que dans les zoos; il fait la roue dans la jungle de la Thaïlande, où quatre ornithologues québécois l’ont observé. «Je crois qu’on s’est entendu sur le fait que c’est le plus bel oiseau du monde», lance en riant Jacques Brisson, professeur de biologie à l’Université de Montréal et ornithologue averti.
25 mars 2025
Un article de ULaval nouvelles
Entre mars et octobre 2025, quatre conférences Web seront présentées sur Zoom pendant l'heure du dîner, afin de mieux faire connaître les projets de recherche menés à la Forêt Montmorency. Elles seront animées par Evelyne Thiffault, directrice scientifique de la Forêt Montmorency. Alexandre Morin-Bernard, professeur adjoint au Département des sciences du bois et de la forêt de l'Université Laval, donnera une conférence intitulée "La nouvelle ère des inventaires forestiers à la Forêt Montmorency" le 24 avril.
25 mars 2025
Un article de ULaval nouvelles
Le programme de Chaires de recherche du Canada a attribué 13 nouvelles chaires à l'Université Laval, parmi lesquelles la chaire de recherche du Canada en sylviculture adaptée au changement climatique, niveau 1 d'Alexis Achim. Six chaires ont obtenu un renouvellement, dont la Chaire de recherche du Canada en génomique et métabolomique des symbioses entre plantes tropicales et microbes, niveau 2 de Juan Carlos Villarreal.
Les chaires de niveau 1, d'une durée de 7 ans et renouvelables une fois, sont attribuées à des universitaires exceptionnels reconnus par leurs pairs comme des chefs de file mondiaux dans leur domaine. Les chaires de niveau 2, d'une durée de 5 ans et renouvelables une fois, sont attribuées à des universitaires émergents exceptionnels considérés par leurs pairs comme étant susceptibles de devenir des chefs de file dans leur domaine.
Voir aussi lire la nouvelle de la FFGG et celle de l'IBIS .
24 mars 2025
Un article d'UQACtualités
Les printemps de plus en plus chauds, conséquence du changement climatique en cours, se traduisent par une réactivation plus hâtive de la croissance des plantes. Or, une éclosion plus hâtive de feuilles risque d’exposer les végétaux aux gelés printanières. De tels dommages pourraient réduire la capacité des arbres à compléter leur croissance. Sergio Rossi, professeur en écologie forestière au Département des sciences fondamentales de l'UQAC, fait partie d’une équipe de 15 scientifiques ayant examiné les relations entre les événements de gel, la réactivation de la croissance et la photosynthèse. L’étude, Late spring frost delays tree spring phenology by reducing phosynthetic productivity est publiée dans Nature Climate Change.
24 mars 2025
Un communiqué du PaqLab
Wiley's Top Cited award was given to two articles published by Alain Paquette's lab. Two alumni, Elise Bouchard (primary author and former MSc student) and Eric Searle (former postdoc) are among the authors. Congratulations!
21 mars 2025
Un article de Concordia News
Spring is approaching — really! — and with it come the perennial considerations about which kinds of flowers to plant and where. These questions go far beyond mere aesthetics: flowers are an essential source of food for birds and insects, including the dozens upon dozens of species of wild bees found in most cities. For them, what’s on the menu is a matter of life or death. The relationship between flower species and pollinator populations matters deeply to urban biodiversity. In a study published in the journal Ecological Applications by among others, Carly Ziter, Concordia researchers look at how certain floral characteristics interplay with urban bee populations.
20 mars 2025
Un article de ULaval nouvelles
Sébastien Dumont, doctorant à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval sous la direction de Guillaume Moreau et la codirection de Loïc D'Orangeville, étudie comment les espèces d'arbres et les types de forêts sont affectés par les changements climatiques. Le premier volet de son doctorat porte sur les effets du climat à l'échelle du Canada, et s'appuie sur des données issues de différents centres de recherche à travers le pays. Pour le deuxième volet, sur la migration assistée, le doctorant a planté à la Forêt Montmorency des semences provenant du sud et va suivre leur survie et leur croissance. Ce dispositif, réalisé avec les aménagistes de la Forêt Montmorency, pourra être suivi à très long terme.
20 mars 2025
Un communiqué du PaqLab
Les semis de 223 espèces d'arbres (sur 160 forêts expérimentales, incluant IDENT Montréal), ne poussent pas comme attendu selon la théorie. Avec impacts possibles sur les efforts de reboisement dans le monde! L'article intitulé Widespread slow growth of acquisitive tree species , dont Alain Paquette est l'un des coauteurs, vient tout juste d'être publié dans Nature!
19 mars 2025
La persistance des peuplements de conifères boréaux de l’ouest du Québec
Un communiqué de Forêts Froides
Ne manquez pas ce bref compte rendu de la campagne terrain hivernale du groupe des Forêts Froides!
Un communiqué de Forêts Froides
Ne manquez pas ce bref compte rendu de la campagne terrain hivernale du groupe des Forêts Froides!
19 mars 2025
Nouvelle docteure au CEF!
Un communiqué de l'UQAT
Dans le cadre de ses recherches, Nina Ryzhkova, étudiante au doctorat sur mesure en écologie des incendies forestiers à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), a reconstitué les régimes d'incendie historique des forêts boréales du nord-ouest du Canada et de l’est de la zone boréale européenne. C’est le 12 mars dernier que la doctorantea soutenu sa thèse à distance. Ses travaux ont été réalisés sous la direction d’Igor Drobyshev, professeur associé à l’Institut de recherche sur les forêts (IRF) de l’UQAT, et sous la codirection d’Yves Bergeron, professeur émérite à l’IRF, et d’Alexander Kryshen, chercheur au sein du Forest Research Institute of the Karelian Research Centre of the Russian Academy. Les autres membres du jury étaient Xavier Cavard, Markku Larjavaara (U of Helsinki) & Marc-André Parisien (évaluateurs externes). Félicitations!
Un communiqué de l'UQAT
Dans le cadre de ses recherches, Nina Ryzhkova, étudiante au doctorat sur mesure en écologie des incendies forestiers à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), a reconstitué les régimes d'incendie historique des forêts boréales du nord-ouest du Canada et de l’est de la zone boréale européenne. C’est le 12 mars dernier que la doctorantea soutenu sa thèse à distance. Ses travaux ont été réalisés sous la direction d’Igor Drobyshev, professeur associé à l’Institut de recherche sur les forêts (IRF) de l’UQAT, et sous la codirection d’Yves Bergeron, professeur émérite à l’IRF, et d’Alexander Kryshen, chercheur au sein du Forest Research Institute of the Karelian Research Centre of the Russian Academy. Les autres membres du jury étaient Xavier Cavard, Markku Larjavaara (U of Helsinki) & Marc-André Parisien (évaluateurs externes). Félicitations!
19 mars 2025
Les Brèves du Service canadien des forêts No 64
Une publication de Resssources naturelles Canada
Cinq des six articles "Des Brèves" sont écrits par des membres du CEF : Martin Girardin, Jérôme Laganière et Nathalie Isabel. Ces articles résuments les récents travaux des chercheurs et chercheures du Centre de foresterie des Laurentides du Service canadien des forêts.
Une publication de Resssources naturelles Canada
Cinq des six articles "Des Brèves" sont écrits par des membres du CEF : Martin Girardin, Jérôme Laganière et Nathalie Isabel. Ces articles résuments les récents travaux des chercheurs et chercheures du Centre de foresterie des Laurentides du Service canadien des forêts.
19 mars 2025
Fungi are among the planet’s most important organisms — yet they’re overlooked in conservation strategies
Un article dans The Conversation
Fungi are among the most important organisms on Earth. Even though most of the world’s described 157,000 fungal species are only visible with a microscope, these organisms are essential to our ecosystems, our societies and economies. They break down organic matter and interact with all groups of organisms — including other fungi. They’re key actors in forest carbon storage, nutrient cycling, as well as plant growth and resistance to environmental stress. Jonathan Cazabonne et Danny Haelewaters sont les auteurs de cet article.
Un article dans The Conversation
Fungi are among the most important organisms on Earth. Even though most of the world’s described 157,000 fungal species are only visible with a microscope, these organisms are essential to our ecosystems, our societies and economies. They break down organic matter and interact with all groups of organisms — including other fungi. They’re key actors in forest carbon storage, nutrient cycling, as well as plant growth and resistance to environmental stress. Jonathan Cazabonne et Danny Haelewaters sont les auteurs de cet article.
17 mars 2025
Quand la science ressemble à l'art : fabrication d'arthropodes en pâte à modeler pour le projet URBIRDS !
Un communiqué du PaqLab
Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemble un stage au PaqLab ? Ce n’est pas toujours ce que l’on imagine – parfois, cela ressemble beaucoup à un moment de jeu libre en maternelle ! Les préparatifs de terrain pour le projet URBIRDS (Laura Schillé, postdoc) battent leur plein, et cela signifie qu’il faut fabriquer des centaines de chenilles, araignées et fourmis en pâte à modeler. L’objectif est d’utiliser ces arthropodes factices pour mesurer la prédation par les oiseaux cet été.
Un communiqué du PaqLab
Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemble un stage au PaqLab ? Ce n’est pas toujours ce que l’on imagine – parfois, cela ressemble beaucoup à un moment de jeu libre en maternelle ! Les préparatifs de terrain pour le projet URBIRDS (Laura Schillé, postdoc) battent leur plein, et cela signifie qu’il faut fabriquer des centaines de chenilles, araignées et fourmis en pâte à modeler. L’objectif est d’utiliser ces arthropodes factices pour mesurer la prédation par les oiseaux cet été.
17 mars 2025
Vers une saison des sucres plus hâtive et plus nordique au Québec
Un reportage à RDI
Tout terrain s'est rendue dans une érablière du Saguenay–Lac-Saint-Jean où des producteurs et des chercheurs unissent leurs forces pour mieux comprendre l'effet des changements climatiques sur la production acéricole. [..] Dans un cas de réchauffement de deux ou trois degrés Celsius, ce qui est beaucoup, la saison des sucres pourrait être en moyenne plus hâtive de 20 jours dans les prochaines années. En plus de ça, la saison des sucres pourrait se raccourcir de quelques jours. Ça veut dire qu'on pourrait avoir moins de jours utiles pour la production de sirop, explique le professeur d'écologie forestière de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), Sergio Rossi.
Un reportage à RDI
Tout terrain s'est rendue dans une érablière du Saguenay–Lac-Saint-Jean où des producteurs et des chercheurs unissent leurs forces pour mieux comprendre l'effet des changements climatiques sur la production acéricole. [..] Dans un cas de réchauffement de deux ou trois degrés Celsius, ce qui est beaucoup, la saison des sucres pourrait être en moyenne plus hâtive de 20 jours dans les prochaines années. En plus de ça, la saison des sucres pourrait se raccourcir de quelques jours. Ça veut dire qu'on pourrait avoir moins de jours utiles pour la production de sirop, explique le professeur d'écologie forestière de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), Sergio Rossi.
14 mars 2025
La recherche au quotidien à la Faculté des sciences
Un article d'Actualités UQAM
Pour plonger dans le quotidien de la recherche scientifique à l’UQAM, la Faculté des sciences lance une série de capsules vidéo intitulée «Une journée dans la vie de…». La série donne un aperçu des activités des chercheuses et chercheurs en suivant leurs travaux dans les laboratoires et sur le terrain. D’une durée d’une minute environ, les vidéos visent à mettre en lumière les enjeux et les impacts des travaux de recherche, à susciter l’intérêt des étudiantes et étudiants pour les cycles supérieurs et la recherche, et à rendre les sciences accessibles à un large public. Pour inaugurer la série, trois capsules ont été produites jusqu’à maintenant, mettant en vedette les professeurs Alain Paquette (sciences biologiques), Daniela Quaglia (chimie) et Martin Lemay (sciences de l’activité physique). Pour voir la capsule d'Alain
Un article d'Actualités UQAM
Pour plonger dans le quotidien de la recherche scientifique à l’UQAM, la Faculté des sciences lance une série de capsules vidéo intitulée «Une journée dans la vie de…». La série donne un aperçu des activités des chercheuses et chercheurs en suivant leurs travaux dans les laboratoires et sur le terrain. D’une durée d’une minute environ, les vidéos visent à mettre en lumière les enjeux et les impacts des travaux de recherche, à susciter l’intérêt des étudiantes et étudiants pour les cycles supérieurs et la recherche, et à rendre les sciences accessibles à un large public. Pour inaugurer la série, trois capsules ont été produites jusqu’à maintenant, mettant en vedette les professeurs Alain Paquette (sciences biologiques), Daniela Quaglia (chimie) et Martin Lemay (sciences de l’activité physique). Pour voir la capsule d'Alain
14 mars 2025
Un projet AUDACE : Les défis du pollen en ville
Un communiqué du FRQ
Les arbres en ville rendent de précieux services, mais ils peuvent aussi constituer une nuisance pour une partie de la population aux prises avec des allergies ou des problèmes de santé respiratoire. Le principal responsable : le pollen. Actuellement, il est difficile de comprendre quelles sont les espèces d’arbres les plus problématiques puisqu’on ne possède pas un portrait juste de la forêt urbaine. Des experts de la santé publique ont voulu remédier à la situation en travaillant main dans la main avec des écologistes. Cette union improbable mais fructueuse a été rendue possible par une subvention du programme AUDACE. L’équipe d’Audrey Smargiassi, professeure au Département de santé environnementale et santé au travail à l’École de santé publique de l’Université de Montréal, s’est aussi entourée de chercheurs en foresterie sociale, en sciences de l’environnement, en épidémiologie et en géographie pour caractériser les arbres qui peuplent la ville. Cette équipe pluridisciplinaire a fait appel à différentes technologies, dont celle de points LiDAR. Les autres membres du CEF du projet sont Jérôme Dupras, Daniel Kneeshaw, Alain Paquette et Rita Sousa Silva
Un communiqué du FRQ
Les arbres en ville rendent de précieux services, mais ils peuvent aussi constituer une nuisance pour une partie de la population aux prises avec des allergies ou des problèmes de santé respiratoire. Le principal responsable : le pollen. Actuellement, il est difficile de comprendre quelles sont les espèces d’arbres les plus problématiques puisqu’on ne possède pas un portrait juste de la forêt urbaine. Des experts de la santé publique ont voulu remédier à la situation en travaillant main dans la main avec des écologistes. Cette union improbable mais fructueuse a été rendue possible par une subvention du programme AUDACE. L’équipe d’Audrey Smargiassi, professeure au Département de santé environnementale et santé au travail à l’École de santé publique de l’Université de Montréal, s’est aussi entourée de chercheurs en foresterie sociale, en sciences de l’environnement, en épidémiologie et en géographie pour caractériser les arbres qui peuplent la ville. Cette équipe pluridisciplinaire a fait appel à différentes technologies, dont celle de points LiDAR. Les autres membres du CEF du projet sont Jérôme Dupras, Daniel Kneeshaw, Alain Paquette et Rita Sousa Silva
13 mars 2025
Caribou forestier Assinica: l’inventaire dénote une croissance
Un article dans la Tribune
Le plus récent inventaire aérien de la harde de caribous forestiers Assinica, à l’ouest du Saguenay-Lac-Saint-Jean, fait part d’une croissance d’au minimum 24% du troupeau. Des résultats surprenants, si l’on tient compte que cette harde évolue sur un territoire dont le taux de perturbation (feu et récolte forestière) est de 62%. Le biologiste Martin-Hugues St-Laurent émet d’ailleurs quelques bémols quant aux résultats du rapport.
Un article dans la Tribune
Le plus récent inventaire aérien de la harde de caribous forestiers Assinica, à l’ouest du Saguenay-Lac-Saint-Jean, fait part d’une croissance d’au minimum 24% du troupeau. Des résultats surprenants, si l’on tient compte que cette harde évolue sur un territoire dont le taux de perturbation (feu et récolte forestière) est de 62%. Le biologiste Martin-Hugues St-Laurent émet d’ailleurs quelques bémols quant aux résultats du rapport.
11 mars 2025
Cinq membres du CEF reçoivent le prix Gisèle-Lamoureux FRQ du mois de mars!
Un communiqué du FRQ
Le prix mensuel Publication en français du FRQ, Prix Gisèle-Lamoureux, est remis à une équipe de cinq membres du CEF : Nathan Egande, Victor Danneyrolles, Dominique Arseneault, Marie-Ève Sigouin, et Yves Bergeron. Ensemble, ils ont coécrit « Transformations de la composition forestière dans les forêts boréales mixtes soumises à une forte influence humaine : une analyse de la région de Rouyn-Noranda de 1910 à 2020 (Québec, Canada) » dans le Journal canadien de recherche forestière. | Lire l'article ici
Un communiqué du FRQ
Le prix mensuel Publication en français du FRQ, Prix Gisèle-Lamoureux, est remis à une équipe de cinq membres du CEF : Nathan Egande, Victor Danneyrolles, Dominique Arseneault, Marie-Ève Sigouin, et Yves Bergeron. Ensemble, ils ont coécrit « Transformations de la composition forestière dans les forêts boréales mixtes soumises à une forte influence humaine : une analyse de la région de Rouyn-Noranda de 1910 à 2020 (Québec, Canada) » dans le Journal canadien de recherche forestière. | Lire l'article ici
9 mars 2025
Comment le climat influence-t-il l'érable et son sirop?
Un article dans Le Devoir
Une saison des sucres de plus en plus hâtive, liée aux changements climatiques, pourrait bien réjouir les becs sucrés. Pour les producteurs, c’est une autre histoire. Une équipe interuniversitaire dirigée par Sergio Rossi, professeur à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), étudie de près le fonctionnement des érables afin d’adapter les pratiques acéricoles qui pourraient être perturbées par ces nouvelles conditions.
Un article dans Le Devoir
Une saison des sucres de plus en plus hâtive, liée aux changements climatiques, pourrait bien réjouir les becs sucrés. Pour les producteurs, c’est une autre histoire. Une équipe interuniversitaire dirigée par Sergio Rossi, professeur à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), étudie de près le fonctionnement des érables afin d’adapter les pratiques acéricoles qui pourraient être perturbées par ces nouvelles conditions.
7 mars 2025
Des forêts instantanées
Un article dans L'Actualité
Dans les espaces urbains bétonnés que l’on veut verdir, une solution séduit : les arbres en pot. 123 arbres en pot sont déployés dans le Quartier des spectacles de Montréal. Depuis 2020, ils forment une forêt mobile qui habille de vert plusieurs espaces urbains. [..] « On craignait que les racines gèlent en hiver, mais les arbres ont très bien survécu », lance Alain Paquette, chercheur à la Chaire sur la forêt urbaine de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avec qui le Quartier des spectacles s’est allié afin d’acquérir une expertise sur les arbres en pot. Avec son équipe, Alain Paquette a installé des capteurs de flux de sève sur ces arbres, en 2022. « On regarde le débit d’eau qui passe dans le tronc. Si ça circule bien, c’est que l’arbre va bien », résume le chercheur.
Un article dans L'Actualité
Dans les espaces urbains bétonnés que l’on veut verdir, une solution séduit : les arbres en pot. 123 arbres en pot sont déployés dans le Quartier des spectacles de Montréal. Depuis 2020, ils forment une forêt mobile qui habille de vert plusieurs espaces urbains. [..] « On craignait que les racines gèlent en hiver, mais les arbres ont très bien survécu », lance Alain Paquette, chercheur à la Chaire sur la forêt urbaine de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avec qui le Quartier des spectacles s’est allié afin d’acquérir une expertise sur les arbres en pot. Avec son équipe, Alain Paquette a installé des capteurs de flux de sève sur ces arbres, en 2022. « On regarde le débit d’eau qui passe dans le tronc. Si ça circule bien, c’est que l’arbre va bien », résume le chercheur.
6 mars 2025
Le professeur Roberto Silvestro remporte le Prix Relève étoile Louis-Berlinguet du FRQ
Un communiqué de l'UQAC
Roberto Silvestro, professeur-chercheur sous octroi en écologie forestière au Département des sciences fondamentales, remporte le Prix Relève étoile Louis-Berlinguet du Fonds de recherche du Québec (FRQ) pour un article publié dans la revue Nature Communications. L’article publié a pour titre Partial asynchrony of coniferous forest carbon sources and sinks at the intra-annual time scale. Le prix Relève étoile fait la promotion des carrières en recherche et vise à reconnaître l’excellence des travaux réalisés par les étudiantes et étudiants de maîtrise et de doctorat, les stagiaires postdoctoraux, ainsi que les membres d’un ordre professionnel en formation de recherche avancée. Le prix Louis-Berlinguet est décerné une fois par mois dans le secteur Nature et technologies.
Un communiqué de l'UQAC
Roberto Silvestro, professeur-chercheur sous octroi en écologie forestière au Département des sciences fondamentales, remporte le Prix Relève étoile Louis-Berlinguet du Fonds de recherche du Québec (FRQ) pour un article publié dans la revue Nature Communications. L’article publié a pour titre Partial asynchrony of coniferous forest carbon sources and sinks at the intra-annual time scale
. Le prix Relève étoile fait la promotion des carrières en recherche et vise à reconnaître l’excellence des travaux réalisés par les étudiantes et étudiants de maîtrise et de doctorat, les stagiaires postdoctoraux, ainsi que les membres d’un ordre professionnel en formation de recherche avancée. Le prix Louis-Berlinguet est décerné une fois par mois dans le secteur Nature et technologies.
6 mars 2025
Séminaire en écologie présenté par Laura Schillé
Un communiqué du PaqLab
La semaine dernière, Laura Schillé a présenté un séminaire en écologie au Pavillon des Sciences biologiques de l’UQAM. Sa présentation portait sur la Diversité des communautés d’oiseaux et la régulation des insectes défoliateurs des arbres : effets du climat et de l'urbanisation à différentes échelles. Laura a discuté de ses recherches menées durant son doctorat et de son plan de recherche pour son postdoctorat au PaqLab. Apprenez-en plus sur son projet Insectivorie des oiseaux urbains : une investigation sur la spécialisation alimentaire (URBIRDS) ici
Un communiqué du PaqLab
La semaine dernière, Laura Schillé a présenté un séminaire en écologie au Pavillon des Sciences biologiques de l’UQAM. Sa présentation portait sur la Diversité des communautés d’oiseaux et la régulation des insectes défoliateurs des arbres : effets du climat et de l'urbanisation à différentes échelles. Laura a discuté de ses recherches menées durant son doctorat et de son plan de recherche pour son postdoctorat au PaqLab. Apprenez-en plus sur son projet Insectivorie des oiseaux urbains : une investigation sur la spécialisation alimentaire (URBIRDS) ici
6 mars 2025
Lutter contre la Tordeuse des bourgeons de l’épinette avec son propre ADN
Un reportage à l'émmission radio Future Simple (CKRL 89,1)
Sirine Boubeker, étudiante au doctorat en sciences de l'environnement à l'UQAC présente au micro de l'émission Futur Simple (CKRL 89,1 Québec) ses recherches inusitées sur la lutte contre la tordeuse des bourgeons de l'épinette. Son projet explore une approche innovante qui mêle entomologie, microbiologie, chimie et foresterie ! Disponible en réécoute ici
Un reportage à l'émmission radio Future Simple (CKRL 89,1)
Sirine Boubeker, étudiante au doctorat en sciences de l'environnement à l'UQAC présente au micro de l'émission Futur Simple (CKRL 89,1 Québec) ses recherches inusitées sur la lutte contre la tordeuse des bourgeons de l'épinette. Son projet explore une approche innovante qui mêle entomologie, microbiologie, chimie et foresterie ! Disponible en réécoute ici
3 mars 2025
Le microbiome environnemental et la santé humaine
Un reportage aux Années Lumière
Une entrevue d'Isabelle Laforest-Lapointe sur le microbiome de la station spatiale et plus largement sur l'influence de ces microbes sur notre santé.
Un reportage aux Années Lumière
Une entrevue d'Isabelle Laforest-Lapointe sur le microbiome de la station spatiale et plus largement sur l'influence de ces microbes sur notre santé.
27 février 2025
Mieux comprendre et protéger nos écosystèmes : deux projets à l’Institut de recherche sur les forêts
Un communiqué de l'UQAT
Des scientifiques de l’Institut de recherche sur les forêts (IRF) de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) mèneront des projets collaboratifs pour contribuer à la protection de nos écosystèmes. En partenariat avec nombre de collaboratrices et collaborateurs, la professeure Nicole Fenton et le professeur Guillaume Grosbois de l’IRF dirigeront des travaux de recherche portant sur la collecte de données massives. L’objectif est de proposer des solutions aux décideuses et décideurs provinciaux ainsi que de développer des outils de sensibilisation. [..] Ce projet vise à rassembler l’ensemble des données recueillies depuis plus de 20 ans dans un secteur où la Première Nation Abitibiwinni prévoit la création d’une zone protégée. Cet endroit exceptionnel est choisi pour la grande quantité de carbone stockée dans ses sols tourbeux, sa biodiversité riche, ses écosystèmes forestiers et la présence d’un troupeau de caribous. En plus de la professeure Nicole Fenton (biodiversité végétale), plusieurs chercheuses et chercheurs de l’UQAT mettront à profit leur expertise pour mener à bien ce projet, notamment Hugo Asselin (foresterie sociale et autochtone), Yves Bergeron (dynamique des écosystèmes forestiers), Valentina Buttò (modélisation), Annie DesRochers (biologie des arbres), Gabriel Pigeon (dynamique des populations) et Osvaldo Valeria (télédétection). Des spécialistes de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) viendront enrichir l’équipe avec d’autres expertises. Ces projets sont notamment possibles grâce au soutien financier du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) via le programme Alliance.
Un communiqué de l'UQAT
Des scientifiques de l’Institut de recherche sur les forêts (IRF) de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) mèneront des projets collaboratifs pour contribuer à la protection de nos écosystèmes. En partenariat avec nombre de collaboratrices et collaborateurs, la professeure Nicole Fenton et le professeur Guillaume Grosbois de l’IRF dirigeront des travaux de recherche portant sur la collecte de données massives. L’objectif est de proposer des solutions aux décideuses et décideurs provinciaux ainsi que de développer des outils de sensibilisation. [..] Ce projet vise à rassembler l’ensemble des données recueillies depuis plus de 20 ans dans un secteur où la Première Nation Abitibiwinni prévoit la création d’une zone protégée. Cet endroit exceptionnel est choisi pour la grande quantité de carbone stockée dans ses sols tourbeux, sa biodiversité riche, ses écosystèmes forestiers et la présence d’un troupeau de caribous. En plus de la professeure Nicole Fenton (biodiversité végétale), plusieurs chercheuses et chercheurs de l’UQAT mettront à profit leur expertise pour mener à bien ce projet, notamment Hugo Asselin (foresterie sociale et autochtone), Yves Bergeron (dynamique des écosystèmes forestiers), Valentina Buttò (modélisation), Annie DesRochers (biologie des arbres), Gabriel Pigeon (dynamique des populations) et Osvaldo Valeria (télédétection). Des spécialistes de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) viendront enrichir l’équipe avec d’autres expertises. Ces projets sont notamment possibles grâce au soutien financier du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) via le programme Alliance.
26 février 2025
Nouvelle docteure au CEF!
Un communiqué de l'UQAT
Daniela Robles a soutenu sa thèse, intitulée « Démêler les influences du climat et des activités humaines sur les régimes d’incendies et la dynamique de la composition forestière dans les zones tempérées et boréales de l’hémisphère nord », le 21 février dernier. Elle a réalisé son projet de recherche sous la direction d’Igor Drobyshev, professeur associé à l’Institut de recherche sur les forêts de l’UQAT, et sous la codirection d’Yves Bergeron, professeur émérite à l’Institut de recherche sur les forêts de l’UQAT, et d’Alexander Kryshen, chercheur au sein du Forest Research Institute of the Karelian Research Centre of the Russian Academy of Sciences. Dans ses travaux de recherche, Daniela a cherché à mieux comprendre comment le climat et les actions humaines ont façonné l’histoire des feux de forêt et influencé l’évolution des forêts nordiques. Félicitations!
Un communiqué de l'UQAT
Daniela Robles a soutenu sa thèse, intitulée « Démêler les influences du climat et des activités humaines sur les régimes d’incendies et la dynamique de la composition forestière dans les zones tempérées et boréales de l’hémisphère nord », le 21 février dernier. Elle a réalisé son projet de recherche sous la direction d’Igor Drobyshev, professeur associé à l’Institut de recherche sur les forêts de l’UQAT, et sous la codirection d’Yves Bergeron, professeur émérite à l’Institut de recherche sur les forêts de l’UQAT, et d’Alexander Kryshen, chercheur au sein du Forest Research Institute of the Karelian Research Centre of the Russian Academy of Sciences. Dans ses travaux de recherche, Daniela a cherché à mieux comprendre comment le climat et les actions humaines ont façonné l’histoire des feux de forêt et influencé l’évolution des forêts nordiques. Félicitations!
26 février 2025
Lancement de l’Atlas Le temps qui change
Un article dans Actualité UQAM
Une centaine de personnes se sont réunies au Complexe des sciences Pierre-Dansereau, le 21 février dernier, pour assister au lancement de l’Atlas thématique Bouleversements climatiques sur le Nitassinan de Pessamit – Le temps qui change. L’événement était organisé par l’Institut des sciences de l’environnement (ISE), en collaboration avec le Centre de recherche sur la dynamique du système Terre (Geotop), le Centre pour l’étude et la simulation du climat à l’échelle régionale (ESCER), le Centre d’étude de la forêt (CEF) et le Conseil des Innus de Pessamit. L’Atlas vise à contribuer à la résilience des Innus face aux bouleversements environnementaux qui affectent leur territoire ancestral, à favoriser une occupation sécuritaire du Nitassinan et à offrir des pistes de réflexion pour la mise en œuvre de leur plan d’adaptation aux changements climatiques. Il a été rédigé en collaboration avec les membres de la communauté de Pessamit, sous la direction des professeurs Marie Saint-Arnaud, associée à l’ISE, Anne de Vernal (sciences de la Terre et de l’atmosphère), du Geotop, Pierre Drapeau (sciences biologiques), du CEF, et Philippe Gachon (géographie), du Centre ESCER, ainsi que d’Adélard Benjamin, coordonnateur de projets au secteur Territoires et Ressources de Pessamit, et d’Éric Kanape, biologiste et conseiller en environnement au même secteur.
Un article dans Actualité UQAM
Une centaine de personnes se sont réunies au Complexe des sciences Pierre-Dansereau, le 21 février dernier, pour assister au lancement de l’Atlas thématique Bouleversements climatiques sur le Nitassinan de Pessamit – Le temps qui change. L’événement était organisé par l’Institut des sciences de l’environnement (ISE), en collaboration avec le Centre de recherche sur la dynamique du système Terre (Geotop), le Centre pour l’étude et la simulation du climat à l’échelle régionale (ESCER), le Centre d’étude de la forêt (CEF) et le Conseil des Innus de Pessamit. L’Atlas vise à contribuer à la résilience des Innus face aux bouleversements environnementaux qui affectent leur territoire ancestral, à favoriser une occupation sécuritaire du Nitassinan et à offrir des pistes de réflexion pour la mise en œuvre de leur plan d’adaptation aux changements climatiques. Il a été rédigé en collaboration avec les membres de la communauté de Pessamit, sous la direction des professeurs Marie Saint-Arnaud, associée à l’ISE, Anne de Vernal (sciences de la Terre et de l’atmosphère), du Geotop, Pierre Drapeau (sciences biologiques), du CEF, et Philippe Gachon (géographie), du Centre ESCER, ainsi que d’Adélard Benjamin, coordonnateur de projets au secteur Territoires et Ressources de Pessamit, et d’Éric Kanape, biologiste et conseiller en environnement au même secteur.
25 février 2025
Déneigement peut-il rimer avec environnement ?
Un article du Quotidien
Les hivers au Québec, et particulièrement dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, sont fortement affectés par les changements climatiques. Le groupe de recherche Ouranos prévoit une augmentation de la température moyenne annuelle de 3 à 6 degrés d'ici 2100. Cela crée de nouveaux défis pour les villes, notamment en matière de déneigement. Une solution envisagée est de remplacer l’épandage de sel par de petites pierres fracturées, une méthode déjà mise en place cette année à Saguenay, mais les impacts de ce sel résiduel sur la faune et la flore sont encore inconnus. L'idée est de réduire l’usage des abrasifs et fondants. Comme l'explique Patrick Faubert, professeur au département des sciences fondamentales à l'UQAC, «Si on a un surplus de sel sur un sol, on ne risque pas d’assécher le sol, mais bien les plantes. On rencontre ce phénomène une fois que le printemps arrive et que la neige fond».
Un article du Quotidien
Les hivers au Québec, et particulièrement dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, sont fortement affectés par les changements climatiques. Le groupe de recherche Ouranos prévoit une augmentation de la température moyenne annuelle de 3 à 6 degrés d'ici 2100. Cela crée de nouveaux défis pour les villes, notamment en matière de déneigement. Une solution envisagée est de remplacer l’épandage de sel par de petites pierres fracturées, une méthode déjà mise en place cette année à Saguenay, mais les impacts de ce sel résiduel sur la faune et la flore sont encore inconnus. L'idée est de réduire l’usage des abrasifs et fondants. Comme l'explique Patrick Faubert, professeur au département des sciences fondamentales à l'UQAC, «Si on a un surplus de sel sur un sol, on ne risque pas d’assécher le sol, mais bien les plantes. On rencontre ce phénomène une fois que le printemps arrive et que la neige fond».
24 février 2025
Un partenariat avec Domtar et Boisaco pour la recherche sur la forêt à l’UQAC
Un article de Radio-Canada
Les entreprises Domtar et Boisaco verseront un total de 2,15 millions de dollars sur cinq ans afin de soutenir la recherche sur la forêt boréale à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Les deux joueurs de l’industrie forestière ont signé un partenariat avec le Centre de recherche sur la boréalie (CREB). L’entente, qui a débuté officiellement en 2024, a été annoncée jeudi lors d’une conférence de presse qui avait lieu à l’université. Ces fonds serviront de levier afin d’élaborer des projets de recherche et de déposer des demandes de subventions auprès d’organismes subventionnaires, a expliqué le codirecteur du CREB, Yan Boucher.
Un article de Radio-Canada
Les entreprises Domtar et Boisaco verseront un total de 2,15 millions de dollars sur cinq ans afin de soutenir la recherche sur la forêt boréale à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Les deux joueurs de l’industrie forestière ont signé un partenariat avec le Centre de recherche sur la boréalie (CREB). L’entente, qui a débuté officiellement en 2024, a été annoncée jeudi lors d’une conférence de presse qui avait lieu à l’université. Ces fonds serviront de levier afin d’élaborer des projets de recherche et de déposer des demandes de subventions auprès d’organismes subventionnaires, a expliqué le codirecteur du CREB, Yan Boucher.
12 février 2025
«Progression fulgurante» des plantes exotiques dans le parc national de la Gaspésie
Un article du Devoir
Le parc national de la Gaspésie est un joyau de la nature québécoise. Ce territoire de 800 kilomètres carrés, comprenant les monts Chic-Chocs et McGerrigle, abrite une faune riche, dont le seul cheptel de caribous au sud du fleuve Saint-Laurent, mais également une flore exceptionnelle, vestige d’une époque plus froide et désormais révolue. Ce bijou floristique, Anthony St-Jean a appris à le connaître et à le chérir. Durant l’été 2021, ce biologiste a parcouru les 205 kilomètres de sentier du parc national de la Gaspésie à la recherche des « plantes exotiques naturalisées » qui ont planté indûment leurs racines dans la terre québécoise. Le travail de M. St-Jean, réalisé avec l’aide du professeur Luc Sirois de l’Université du Québec à Rimouski, a récemment fait l’objet d’une publication dans Le Naturaliste canadien. Les biologistes ont répertorié 107 espèces de plantes exotiques naturalisées dans le parc. Une « progression fulgurante », écrivent-ils.
Un article du Devoir
Le parc national de la Gaspésie est un joyau de la nature québécoise. Ce territoire de 800 kilomètres carrés, comprenant les monts Chic-Chocs et McGerrigle, abrite une faune riche, dont le seul cheptel de caribous au sud du fleuve Saint-Laurent, mais également une flore exceptionnelle, vestige d’une époque plus froide et désormais révolue. Ce bijou floristique, Anthony St-Jean a appris à le connaître et à le chérir. Durant l’été 2021, ce biologiste a parcouru les 205 kilomètres de sentier du parc national de la Gaspésie à la recherche des « plantes exotiques naturalisées » qui ont planté indûment leurs racines dans la terre québécoise. Le travail de M. St-Jean, réalisé avec l’aide du professeur Luc Sirois de l’Université du Québec à Rimouski, a récemment fait l’objet d’une publication dans Le Naturaliste canadien. Les biologistes ont répertorié 107 espèces de plantes exotiques naturalisées dans le parc. Une « progression fulgurante », écrivent-ils.
12 février 2025
L’Arctique se verdit… et relâche du carbone
Un article de La Presse
En raison du réchauffement planétaire, la capacité de la région arctique boréale à capter du carbone en prend pour son rhume, confirme une étude parue dans la revue Nature Climate Change. Un tiers de cette région est dorénavant émettrice de CO2, un virage qui préoccupe les scientifiques. Il faut savoir que les sols de la région arctique boréale, le pergélisol, contiennent près de la moitié des stocks de carbone terrestre sur la planète, rappelle l’étude menée par une équipe de chercheurs internationaux. Ce carbone est relâché au fur et à mesure que la région se réchauffe, provoquant le dégel du pergélisol. « La libération de ce carbone du sol dans l’atmosphère sous forme de CO2 pourrait considérablement exacerber le changement climatique », écrivent les auteurs de l’étude, dont Oliver Sonnentag.
Lire l'article dans la revue Nature Climate Change
Un article de La Presse
En raison du réchauffement planétaire, la capacité de la région arctique boréale à capter du carbone en prend pour son rhume, confirme une étude parue dans la revue Nature Climate Change. Un tiers de cette région est dorénavant émettrice de CO2, un virage qui préoccupe les scientifiques. Il faut savoir que les sols de la région arctique boréale, le pergélisol, contiennent près de la moitié des stocks de carbone terrestre sur la planète, rappelle l’étude menée par une équipe de chercheurs internationaux. Ce carbone est relâché au fur et à mesure que la région se réchauffe, provoquant le dégel du pergélisol. « La libération de ce carbone du sol dans l’atmosphère sous forme de CO2 pourrait considérablement exacerber le changement climatique », écrivent les auteurs de l’étude, dont Oliver Sonnentag.
Lire l'article dans la revue Nature Climate Change
11 février 2025
2 étudiantes du CEF sont boursières au Concours Femmes en Science de l'UQAM
Un communiqué de l'UQAM
La Faculté des sciences de l'UQAM est heureuse d'annoncer les noms des boursières 2025 du Fonds pour les Femmes en science. Lancé en mars 2020, le Fonds pour les Femmes en science a été créé par la Fondation de l'UQAM et la Faculté des sciences afin d’encourager les étudiantes à se lancer dans des études supérieures, dans les domaines des STIM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) où l'absence de modèles féminins est criante.
Boursières 2025 - Femmes en sciences
Un communiqué de l'UQAM
La Faculté des sciences de l'UQAM est heureuse d'annoncer les noms des boursières 2025 du Fonds pour les Femmes en science. Lancé en mars 2020, le Fonds pour les Femmes en science a été créé par la Fondation de l'UQAM et la Faculté des sciences afin d’encourager les étudiantes à se lancer dans des études supérieures, dans les domaines des STIM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) où l'absence de modèles féminins est criante.
Boursières 2025 - Femmes en sciences
- Bourse Leadership | Teodora Stan | Maîtrise en sciences de l'environnement | Labo Daniel Kneeshaw
- Bourses Ambition | Johanna Arnet | Maîtrise en biologie | Labo Alain Paquette
Félicitations!
10 février 2025
Votez pour le prix du public pour le concours Québec Circulaire
Le projet «Technosol» de la Chaire de recherche CRAUM de Janani Sivarajah, pour lequel Nature Québec a eu le plaisir de réaliser une plantation en octobre dernier, est en lice pour être l'initiative circulaire coups de coeur du public pour le concours Québec Circulaire! Pour voter:
- Consultez l’initiative du Projet Technosol
- Cliquez sur le bouton orange «👍 Votez».
- Validez votre choix en consultant votre courriel.
Bonne chance à notre partenaire et à tous les projets!
10 février 2025
Exposition La preuve par l’image : La nature de l’urgence
Un communiqué de l'Assemblée nationale du Québec
Cette photo d'Annie DesRochers a été sélectionnée pour faire partie de l’exposition La nature de l’urgence à l’Assemblée nationale.
Un communiqué de l'Assemblée nationale du Québec
Cette photo d'Annie DesRochers a été sélectionnée pour faire partie de l’exposition La nature de l’urgence à l’Assemblée nationale.
Empreinte humaine 🏭
Affleurements rocheux dégradés près de la Fonderie Horne a Rouyn-Noranda. En collaboration avec la ville et la Fonderie, nous testons différents amendements, technosols et espèces végétales pour re-végétaliser les affleurements rocheux dénudés autour de la ville de Rouyn-Noranda. Cette opération consiste a reconstituer les sols et la végétation afin de rétablir des écosystèmes forestiers fonctionnels sur les sites dégradés près des aires d’entreposage des rejets miniers. Nous tenterons a moyen terme de mesurer la contribution de ces affleurements restaures aux services écosystémiques tels que la séquestration du carbone et le maintien de la biodiversité.
6 février 2025
Les travaux des membres du CEF sur les feux de forêt 2023 vulgarisés dans le Magazine Quatre-Temps
C'est avec un immense plaisir que Martin Girardin vous partage le dernier numéro du Magazine Quatre-Temps portant sur les feux de forêt, notamment suite à la saison 2023. Le Quatre-Temps est une revue de vulgarisation scientifique en botanique et en horticulture, éditée par les Amis du Jardin botanique de Montréal depuis 1975. Il a entre-autre présenté ses travaux de paléoécologie dans un des articles! Certains d’entre-vous y sont en photo! Aussi, Yan Boucher de l'Université du Québec à Chicoutimi propose des solutions au reboisement adaptées aux nouvelles réalités de demain. À lire!
C'est avec un immense plaisir que Martin Girardin vous partage le dernier numéro du Magazine Quatre-Temps portant sur les feux de forêt, notamment suite à la saison 2023. Le Quatre-Temps est une revue de vulgarisation scientifique en botanique et en horticulture, éditée par les Amis du Jardin botanique de Montréal depuis 1975. Il a entre-autre présenté ses travaux de paléoécologie dans un des articles! Certains d’entre-vous y sont en photo! Aussi, Yan Boucher de l'Université du Québec à Chicoutimi propose des solutions au reboisement adaptées aux nouvelles réalités de demain. À lire!
6 février 2025
La BER en couverture du Canadian Journal of Soil Science
Un texte de Maxime Paré sur la page Facebook du CREB
Le plus récent numéro de la "Revue canadienne de la science du sol" présente en page couverture la Bleuetière d'Enseignement et de Recherche (BER) de l’UQAC à Normandin. Cette revue à portée internationale publiée depuis 1921, présente les plus récentes recherches fondamentales et appliquées dans tous les domaines de la science des sols. Le champ de bleuets de la BER1 est utilisé comme site expérimental pour étudier les pratiques agricoles et observer l’effet sur la biomasse, les rendements, l’état nutritionnel, etc. Au centre de la photo, prise par Anthony Pelletier (étudiant sous la direction de Patrick Faubert), on remarque les parcelles expérimentales visibles par des zones vertes, qui représentent les bleuets ayant subi certains traitements agricoles (fertilisation et fauche après la récolte). | Voir le numéro: vol. 105-2025
6 février 2025
Étudier les plantes de la forêt boréale pour lutter contre les bactéries pathogènes
Un communiqué du CREB
La recherche de nouvelles molécules bioactives d’origine naturelle connaît un essor depuis les dernières années. Cependant, la flore de la forêt boréale est à ce jour encore peu étudiée dans la littérature scientifique. Dans le cadre de sa thèse soutenue le 28 novembre dernier, Marie Frissard, finissante au doctorat en biologie sous la direction de André Pichette, avait pour objectif de réaliser une analyse et une caractérisation de l’activité biologique de quatre plantes issues de la forêt boréale du Québec. Ces plantes sont par ailleurs connues pour leurs usages traditionnels par les Premiers Peuples à des fins médicinales. Arrivée à l’aboutissement de son projet de recherche, l’étudiante est parvenue à obtenir des résultats prometteurs qui témoignent du haut potentiel des composés présents dans la flore boréale pour la lutte contre la résistance antibiotique.
Un communiqué du CREB
La recherche de nouvelles molécules bioactives d’origine naturelle connaît un essor depuis les dernières années. Cependant, la flore de la forêt boréale est à ce jour encore peu étudiée dans la littérature scientifique. Dans le cadre de sa thèse soutenue le 28 novembre dernier, Marie Frissard, finissante au doctorat en biologie sous la direction de André Pichette, avait pour objectif de réaliser une analyse et une caractérisation de l’activité biologique de quatre plantes issues de la forêt boréale du Québec. Ces plantes sont par ailleurs connues pour leurs usages traditionnels par les Premiers Peuples à des fins médicinales. Arrivée à l’aboutissement de son projet de recherche, l’étudiante est parvenue à obtenir des résultats prometteurs qui témoignent du haut potentiel des composés présents dans la flore boréale pour la lutte contre la résistance antibiotique.
6 février 2025
Le sirop d’érable sous la loupe : une subvention majeure du CRSNG
Un communiqué du CREB
Sergio Rossi et son équipe de recherche obtiennent une subvention Alliance du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) de 600 000 $ pour étudier la physiologie de l’érable, la microbiologie et la phytochimie de la sève. Le projet que dirigera le professeur en écologie forestière et directeur du Laboratoire sur les écosystèmes terrestres boréaux (EcoTer), vise à adapter la production de sirop d’érable au nouveau contexte climatique et à prédire l’évolution de l’industrie acéricole au Québec face aux changements globaux.
Un communiqué du CREB
Sergio Rossi et son équipe de recherche obtiennent une subvention Alliance du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) de 600 000 $ pour étudier la physiologie de l’érable, la microbiologie et la phytochimie de la sève. Le projet que dirigera le professeur en écologie forestière et directeur du Laboratoire sur les écosystèmes terrestres boréaux (EcoTer), vise à adapter la production de sirop d’érable au nouveau contexte climatique et à prédire l’évolution de l’industrie acéricole au Québec face aux changements globaux.
5 février 2025
Les arbres en ville : pourquoi il n’y a pas que le nombre qui compte
Un article dans La Conversation
Combien d’arbres faudrait-il idéalement dans nos villes pour nous permettre de vivre dans des environnements frais, sains et agréables ? En tâchant de répondre à cette question, les chercheurs en écologie, Alain Paquette, Serge Muller et Bastien Castagneyrol rappellent au passage que beaucoup d’autres paramètres doivent être pris en compte pour verdir la ville au bénéfice de tous. Cette analyse est tirée de la conclusion de l’ouvrage qu’ils ont coordonné De l’arbre en ville à la forêt urbaine aux éditions Quae pour la France, et aux Presses de l’Université du Québec pour la distribution québécoise.
Un article dans La Conversation
Combien d’arbres faudrait-il idéalement dans nos villes pour nous permettre de vivre dans des environnements frais, sains et agréables ? En tâchant de répondre à cette question, les chercheurs en écologie, Alain Paquette, Serge Muller et Bastien Castagneyrol rappellent au passage que beaucoup d’autres paramètres doivent être pris en compte pour verdir la ville au bénéfice de tous. Cette analyse est tirée de la conclusion de l’ouvrage qu’ils ont coordonné De l’arbre en ville à la forêt urbaine aux éditions Quae pour la France, et aux Presses de l’Université du Québec
pour la distribution québécoise.4 février 2025
Sylvie Gauthier est honorée de la médaille du couronnement du roi Charles III
Sylvie Gauthier, récemment retraitée d'une carrière prolifique au Service canadien des forêts a reçu, le 21 janvier dernier, la médaille du couronnement du roi Charles III. Cette distinction est remise à toute personne vivante pour avoir apporté une contribution importante au Canada, à une province, à un territoire, à une région ou à une collectivité au Canada, ou avoir accompli à l’étranger une réalisation exceptionnelle ayant fait grand honneur à notre pays. Félicitations Sylvie! Pour plus de détails sur la médaille.
Sylvie Gauthier, récemment retraitée d'une carrière prolifique au Service canadien des forêts a reçu, le 21 janvier dernier, la médaille du couronnement du roi Charles III. Cette distinction est remise à toute personne vivante pour avoir apporté une contribution importante au Canada, à une province, à un territoire, à une région ou à une collectivité au Canada, ou avoir accompli à l’étranger une réalisation exceptionnelle ayant fait grand honneur à notre pays. Félicitations Sylvie! Pour plus de détails sur la médaille
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31 janvier 2025
Mégafeux, la forêt des Landes pour comprendre
Une vidéo dans Le Journal du CNRS
Des scientifiques plongent dans les lacs des Landes pour retracer l’histoire des incendies et des écosystèmes. Objectif : comprendre les interactions entre végétation et feu à travers les millénaires, pour mieux gérer les risques et protéger les forêts dans un climat en mutation. Avec Adam Ali.
Une vidéo dans Le Journal du CNRS
Des scientifiques plongent dans les lacs des Landes pour retracer l’histoire des incendies et des écosystèmes. Objectif : comprendre les interactions entre végétation et feu à travers les millénaires, pour mieux gérer les risques et protéger les forêts dans un climat en mutation. Avec Adam Ali.
30 janvier 2025
Mise en valeur de la Chaire sur la forêt urbaine
La plus récente publicité de la Faculté des Sciences de l'UQAM met en valeur les travaux du laboratoire d'Alain Paquette et de sa Chaire sur la forêt urbaine. Génial!
La plus récente publicité de la Faculté des Sciences de l'UQAM met en valeur les travaux du laboratoire d'Alain Paquette et de sa Chaire sur la forêt urbaine. Génial!
30 janvier 2025
L’IRF héberge une importante collection biologique
Un article de la Chaire AFD
L'IRF héberge une importante collection biologique ! Constituée initialement de récoltes faites par les étudiant.e.s du laboratoire de bryologie, la collection a connu une grande expansion par suite du généreux don de la fondation Asselin-Chicobi. Vous souhaitez visiter les collections, voir les spécimens ou organiser des activités d’initiation à la botanique? N'hésitez pas à contacter Julie Arseneault, responsable des collections, elle vous accueillera avec plaisir !
Un article de la Chaire AFD
L'IRF héberge une importante collection biologique ! Constituée initialement de récoltes faites par les étudiant.e.s du laboratoire de bryologie, la collection a connu une grande expansion par suite du généreux don de la fondation Asselin-Chicobi. Vous souhaitez visiter les collections, voir les spécimens ou organiser des activités d’initiation à la botanique? N'hésitez pas à contacter Julie Arseneault, responsable des collections, elle vous accueillera avec plaisir !
30 janvier 2025
Elyssa offre une formation sur l'approche fonctionnelle à la Ville de Laval
Un article du PaqLab
Elyssa Cameron a animé une formation sur une approche fonctionnelle pour diversifier nos forêts urbaines auprès de l’équipe de foresterie de la Ville de Laval. L’atelier a abordé des sujets tels que l’utilisation et l’application des groupes fonctionnels comme outil de gestion, ainsi que des recommandations sur la manière de mieux concilier les réalités restrictives et souvent exigeantes des forêts urbaines avec la nécessité de diversifier. Détails sur nos formations ou contactez-nous pour organiser une formation privée avec votre équipe.
Un article du PaqLab
Elyssa Cameron a animé une formation sur une approche fonctionnelle pour diversifier nos forêts urbaines auprès de l’équipe de foresterie de la Ville de Laval. L’atelier a abordé des sujets tels que l’utilisation et l’application des groupes fonctionnels comme outil de gestion, ainsi que des recommandations sur la manière de mieux concilier les réalités restrictives et souvent exigeantes des forêts urbaines avec la nécessité de diversifier. Détails sur nos formations
ou contactez-nous pour organiser une formation privée avec votre équipe.
30 janvier 2025
Pourquoi voyons-nous autant de dindes sauvages à Montréal?
Un article du Journal de Montréal
De nombreux Montréalais ont noté sur les réseaux sociaux l’apparition de dindes sauvages sur l’île de Montréal et ce phénomène pourrait s’accentuer, selon des spécialistes de la faune. La population de dindes sauvages dans le sud du Québec a été en constante évolution depuis les deux dernières décennies, ont affirmé des experts interviewés par Global News. Ainsi, voir ces gros oiseaux dans les rues de la métropole fait partie de la nouvelle «norme», a constaté Tadeusz Splawinski, chercheur et biologiste à la Fédération canadienne du dindon sauvage. Et si les dindes choisissent la ville au lieu de la campagne, ce serait pour échapper aux prédateurs, a-t-il indiqué.
Un article du Journal de Montréal
De nombreux Montréalais ont noté sur les réseaux sociaux l’apparition de dindes sauvages sur l’île de Montréal et ce phénomène pourrait s’accentuer, selon des spécialistes de la faune. La population de dindes sauvages dans le sud du Québec a été en constante évolution depuis les deux dernières décennies, ont affirmé des experts interviewés par Global News. Ainsi, voir ces gros oiseaux dans les rues de la métropole fait partie de la nouvelle «norme», a constaté Tadeusz Splawinski, chercheur et biologiste à la Fédération canadienne du dindon sauvage. Et si les dindes choisissent la ville au lieu de la campagne, ce serait pour échapper aux prédateurs, a-t-il indiqué.
29 janvier 2025
Le mystère des bramements des rennes élucidé
Un article du Droit
Les rennes donnent plus d’informations qu’on ne l’imagine par leurs cris. Ainsi, les vocalisations des mâles informeraient les femelles sur leur âge, leur poids et même leur état émotionnel. C’est ce que soupçonnait le professeur en biologie de l’Université Concordia, Robert Weladji, et que confirme sa nouvelle étude. Le biologiste Martin-Hugues St-Laurent, qui n’a pas participé à cette étude, commente que ce type de recherche est rarement tenté. Mais le professeur titulaire en écologie animale au Centre d’étude de la forêt et au Centre d’études nordiques de l’UQAR veut rester prudent face à ces résultats, notamment en raison du faible nombre de mâles dans l’étude.
Un article du Droit
Les rennes donnent plus d’informations qu’on ne l’imagine par leurs cris. Ainsi, les vocalisations des mâles informeraient les femelles sur leur âge, leur poids et même leur état émotionnel. C’est ce que soupçonnait le professeur en biologie de l’Université Concordia, Robert Weladji, et que confirme sa nouvelle étude
. Le biologiste Martin-Hugues St-Laurent, qui n’a pas participé à cette étude, commente que ce type de recherche est rarement tenté. Mais le professeur titulaire en écologie animale au Centre d’étude de la forêt et au Centre d’études nordiques de l’UQAR veut rester prudent face à ces résultats, notamment en raison du faible nombre de mâles dans l’étude.28 janvier 2025
Un premier doctorat conçu et dispensé exclusivement par l’UQAT
Un article de Radio Canada
L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) annonce la création d’un premier programme de doctorat conçu et offert exclusivement par l’Université. Il s’agit du doctorat en écologie et aménagement des écosystèmes forestiers, qui sera offert à l’Institut de recherche sur les forêts (IRF) de l’UQAT. Annie DesRochers, professeure et directrice de l'Institut de recherche sur les forêts, estime qu’il s’agit d’un grand accomplissement pour l’institution d’enseignement. Enfin, on va pouvoir avoir un programme qui nous ressemble, un programme qui a été développé avec l’expertise de nos professeurs. Ça démontre qu’on a atteint une masse critique de professeurs et d’expertise assez substantielle pour pouvoir offrir un programme à notre image et qui va pouvoir former des étudiants selon nos réalités à l’UQAT, affirme-t-elle.
Un article de Radio Canada
L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) annonce la création d’un premier programme de doctorat conçu et offert exclusivement par l’Université. Il s’agit du doctorat en écologie et aménagement des écosystèmes forestiers, qui sera offert à l’Institut de recherche sur les forêts (IRF) de l’UQAT. Annie DesRochers, professeure et directrice de l'Institut de recherche sur les forêts, estime qu’il s’agit d’un grand accomplissement pour l’institution d’enseignement. Enfin, on va pouvoir avoir un programme qui nous ressemble, un programme qui a été développé avec l’expertise de nos professeurs. Ça démontre qu’on a atteint une masse critique de professeurs et d’expertise assez substantielle pour pouvoir offrir un programme à notre image et qui va pouvoir former des étudiants selon nos réalités à l’UQAT, affirme-t-elle.
En lien avec cela, ne manquez l'entrevue audio de novembre 2024 | Une maîtrise et un doctorat en études autochtones offerts en français en 2025 . Des programmes offerts en français permettront à l’École d’études autochtones de continuer à se démarquer et de faciliter l’apprentissage des étudiants. Une première au pays pour des programmes de formation de cycles supérieurs. Le professeur et directeur, Hugo Asselin, précise que les programmes du département étaient faits sur mesure. Il précise que 10 professeurs travaillent à l’École d’études autochtones, créée en 2016.
24 janvier 2025
Un spécialiste de l’UQAC nuance les inquiétudes par rapport à la chasse aux lagopèdes
Un article de Radio Canada
Alors que la présence du lagopède au Saguenay–Lac-Saint-Jean suscite l'intérêt de plusieurs chasseurs, un professeur de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) estime que le fait que l'oiseau soit un gibier prisé peut créer de l'inquiétude pour certains ornithologues amateurs. Selon le professeur spécialisé en écologie, en comportement de la faune et en dynamique des populations Jacques Ibarzabal, il y a peu d'informations répertoriées sur l'état de la population de l'animal qui descend vers le Sud environ tous les 10 ans.
Un article de Radio Canada
Alors que la présence du lagopède au Saguenay–Lac-Saint-Jean suscite l'intérêt de plusieurs chasseurs, un professeur de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) estime que le fait que l'oiseau soit un gibier prisé peut créer de l'inquiétude pour certains ornithologues amateurs. Selon le professeur spécialisé en écologie, en comportement de la faune et en dynamique des populations Jacques Ibarzabal, il y a peu d'informations répertoriées sur l'état de la population de l'animal qui descend vers le Sud environ tous les 10 ans.
22 janvier 2025
Coupes forestières en cours sur des terrains de Rio Tinto à Arvida
Un article de Radio Canada
Des coupes de bois se déroulent depuis le mois de décembre sur les terrains de Rio Tinto près du Golf Saguenay Arvida. L'entretien forestier s’effectue dans un secteur où il y a des sentiers de course, particulièrement l'hiver, ce qui affecte leur utilisation. Rio Tinto indique que les travaux sont nécessaires en raison de nombreux arbres tombés lors d’une tempête survenue à l’hiver 2022, et en raison des ravages de la tordeuse des bourgeons de l’épinette. Selon Yan Boucher, professeur à l’Université du Québec à Chicoutimi spécialisé en dynamique forestière, des stratégies de reforestation devraient être considérées pour assurer le renouvellement du boisé.
Un article de Radio Canada
Des coupes de bois se déroulent depuis le mois de décembre sur les terrains de Rio Tinto près du Golf Saguenay Arvida. L'entretien forestier s’effectue dans un secteur où il y a des sentiers de course, particulièrement l'hiver, ce qui affecte leur utilisation. Rio Tinto indique que les travaux sont nécessaires en raison de nombreux arbres tombés lors d’une tempête survenue à l’hiver 2022, et en raison des ravages de la tordeuse des bourgeons de l’épinette. Selon Yan Boucher, professeur à l’Université du Québec à Chicoutimi spécialisé en dynamique forestière, des stratégies de reforestation devraient être considérées pour assurer le renouvellement du boisé.
22 janvier 2025
Migration assistée des arbres dans le sud du Québec; tout le monde en parle
Un article dans le Progrès forestier
Considérant que certaines essences sont en train de disparaître de nos écosystèmes forestiers (comme le frêne, par exemple), comment préserver le couvert forestier et les services attendus à long terme? La migration assistée est l’une des stratégies d’une sylviculture d’adaptation qui pourrait contribuer à maintenir le couvert pendant les changements importants du climat des prochaines décennies. Un texte d'Alison Munson, Carl Plante et Andréanne Brazeau | Télécharger pdf
Un article dans le Progrès forestier
Considérant que certaines essences sont en train de disparaître de nos écosystèmes forestiers (comme le frêne, par exemple), comment préserver le couvert forestier et les services attendus à long terme? La migration assistée est l’une des stratégies d’une sylviculture d’adaptation qui pourrait contribuer à maintenir le couvert pendant les changements importants du climat des prochaines décennies. Un texte d'Alison Munson, Carl Plante et Andréanne Brazeau | Télécharger pdf
21 janvier 2025
Arts et sciences, une recette gagnante?
Un article dans le Progrès forestier
Les arts et les sciences, bien que différents dans leurs approches, partagent un objectif commun, celui d’explorer et de comprendre le monde. En croisant ces disciplines naissent des récits nouveaux, mêlant rigueur scientifique et sensibilité artistique. Petit bois, fruit d’une collaboration singulière entre une illustratrice et plusieurs scientifiques, offre un regard inédit sur la forêt boréale, convoquant émerveillement et savoir pour inviter à redécouvrir les écosystèmes forestiers. Un texte de Dorian Gaboriau et des illustrations de Marianne Tricot | Télécharger pdf
Un article dans le Progrès forestier
Les arts et les sciences, bien que différents dans leurs approches, partagent un objectif commun, celui d’explorer et de comprendre le monde. En croisant ces disciplines naissent des récits nouveaux, mêlant rigueur scientifique et sensibilité artistique. Petit bois, fruit d’une collaboration singulière entre une illustratrice et plusieurs scientifiques, offre un regard inédit sur la forêt boréale, convoquant émerveillement et savoir pour inviter à redécouvrir les écosystèmes forestiers. Un texte de Dorian Gaboriau et des illustrations de Marianne Tricot | Télécharger pdf
21 janvier 2025
Frederik Doyon, Évelyne Thiffault et Dominic Cyr passent à La semaine verte
Un reportage de La semaine verte de Radio-Canada
L'épisode de cette semaine est consacré au bilan carbone des forêts dans un contexte de changements climatiques. Dominic Cyr, chercheur scientifique à Environnement et Changement climatique Canada (PhD 2011 et postdoctorat 2010 à 2014), explique la complexité d'estimer les émissions et les absorptions de carbone de la forêt aménagée, afin de préparer le rapport d'inventaire national des gaz à effet de serre du Canada. Frederik Doyon, professeur en écologie et aménagement forestiers à l'Université du Québec en Outaouais, s'intéresse à la dynamique écologique des forêts anciennes du sud du Québec. Finalement, Évelyne Thiffault (PhD 2006 et postdoctorat 2007 à 2009), professeur à l'Université Laval, présente ses travaux à la Forêt Montmorency.
Un reportage de La semaine verte de Radio-Canada
L'épisode de cette semaine est consacré au bilan carbone des forêts dans un contexte de changements climatiques. Dominic Cyr, chercheur scientifique à Environnement et Changement climatique Canada (PhD 2011 et postdoctorat 2010 à 2014), explique la complexité d'estimer les émissions et les absorptions de carbone de la forêt aménagée, afin de préparer le rapport d'inventaire national des gaz à effet de serre du Canada. Frederik Doyon, professeur en écologie et aménagement forestiers à l'Université du Québec en Outaouais, s'intéresse à la dynamique écologique des forêts anciennes du sud du Québec. Finalement, Évelyne Thiffault (PhD 2006 et postdoctorat 2007 à 2009), professeur à l'Université Laval, présente ses travaux à la Forêt Montmorency.
21 janvier 2025
À la rescousse de l'ail des bois
Un article du Devoir
Près de 30 ans après avoir reçu le statut d’espèce vulnérable, l’ail des bois (Allium tricoccum) fait toujours l’objet de restrictions sévères quant à sa cueillette et à sa vente au Québec. Des amateurs se sont toutefois donné pour mission de favoriser sa propagation en faisant des distributions gratuites de semences dans l’espoir d’assurer un meilleur avenir à cette plante sauvage un peu trop convoitée. Pour Daniel Kneeshaw, directeur du Centre d’étude de la forêt, d’autres espèces sont encore plus menacées au Québec que l’ail des bois, dont le ginseng à cinq folioles.
Un article du Devoir
Près de 30 ans après avoir reçu le statut d’espèce vulnérable, l’ail des bois (Allium tricoccum) fait toujours l’objet de restrictions sévères quant à sa cueillette et à sa vente au Québec. Des amateurs se sont toutefois donné pour mission de favoriser sa propagation en faisant des distributions gratuites de semences dans l’espoir d’assurer un meilleur avenir à cette plante sauvage un peu trop convoitée. Pour Daniel Kneeshaw, directeur du Centre d’étude de la forêt, d’autres espèces sont encore plus menacées au Québec que l’ail des bois, dont le ginseng à cinq folioles.
21 janvier 2025
Les canons à neige en réponse au réchauffement climatique ?
Un article du Soleil
L’option des canons à neige pour faire face aux redoux comme celui des Fêtes est de plus en plus prisée, mais est-elle vraiment rentable et efficace pour les stations de ski? Entre consommation énergétique, mise en opération, et impacts sur l’environnement, les avis balancent. Patrick Faubert, professeur au Département des sciences fondamentales à l’Université du Québec à Chicoutimi, explique la consommation d'électricité et d'eau, et les émissions de GES associées à l'utilisation de ces canons à neige.
Un article du Soleil
L’option des canons à neige pour faire face aux redoux comme celui des Fêtes est de plus en plus prisée, mais est-elle vraiment rentable et efficace pour les stations de ski? Entre consommation énergétique, mise en opération, et impacts sur l’environnement, les avis balancent. Patrick Faubert, professeur au Département des sciences fondamentales à l’Université du Québec à Chicoutimi, explique la consommation d'électricité et d'eau, et les émissions de GES associées à l'utilisation de ces canons à neige.
20 janvier 2025
Une grenouille de Californie trouvée dans un sac de céleri à Montréal
Un article de 24heures
Après un voyage de 4800 kilomètres dans un sac de céleri, la grenouille aurait pu connaître une fin abrupte si elle n’avait pas croisé la route d’un bon samaritain ayant décidé de l’adopter. L’amphibien vit maintenant des jours heureux dans un vivarium bien humide où les rayons de la lampe UV lui rappellent le soleil de sa Californie natale. Pour Marc Mazerolle, professeur titulaire en biologie de la conservation à l’Université Laval, ce n’est pas la première grenouille de son espèce à traverser de la sorte les États-Unis.
Un article de 24heures
Après un voyage de 4800 kilomètres dans un sac de céleri, la grenouille aurait pu connaître une fin abrupte si elle n’avait pas croisé la route d’un bon samaritain ayant décidé de l’adopter. L’amphibien vit maintenant des jours heureux dans un vivarium bien humide où les rayons de la lampe UV lui rappellent le soleil de sa Californie natale. Pour Marc Mazerolle, professeur titulaire en biologie de la conservation à l’Université Laval, ce n’est pas la première grenouille de son espèce à traverser de la sorte les États-Unis.
16 janvier 2025
Est-ce que les arbres purifient l'air en hiver ?
Un reportage à Moteur de recherche de Radio-Canada
C'est la question à laquelle a répondu Élise Bouchard lors de la dernière émission de Moteur de recherche à Radio-Canada.
Un reportage à Moteur de recherche de Radio-Canada
C'est la question à laquelle a répondu Élise Bouchard lors de la dernière émission de Moteur de recherche à Radio-Canada.
13 janvier 2025
Sylvain Jutras passe à La semaine verte
Un reportage de La semaine verte de Radio-Canada
Le plus récent épisode de l’émission La semaine verte de Radio-Canada présente comment Sylvain Jutras, professeur à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, et Daniel Nadeau, professeur à la Faculté des sciences et de génie, étudient les propriétés de la neige et récoltent des données à la station expérimentale de la Forêt Montmorency.
Un reportage de La semaine verte de Radio-Canada
Le plus récent épisode de l’émission La semaine verte de Radio-Canada présente comment Sylvain Jutras, professeur à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, et Daniel Nadeau, professeur à la Faculté des sciences et de génie, étudient les propriétés de la neige et récoltent des données à la station expérimentale de la Forêt Montmorency.
13 janvier 2025
La science au féminin: mentorat et persévérance au coeur des solutions
Un article de Québec vert
Selon le Rapport statistique Inscriptions des femmes en sciences et en génie au collégial et à l'université au Québec entre 2005 et 2021 de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie, les femmes sont sous-représentées à l'université dans les domaines des sciences pures et appliquées et du génie au baccalauréat (respectivement 43% et 23% de femmes en 2020-2021). Pour explorer les différentes facettes du parcours de chercheur, et surtout identifier les enjeux et leviers spécifiques pour augmenter la représentation des femmes dans cette voie, Québec vert a recueilli les témoignages de quatre chercheuses menant des travaux en lien avec l'horticulture, dont ceux de Janani Sivarajah et Carly Ziter (voir page 36).
Un article de Québec vert
Selon le Rapport statistique Inscriptions des femmes en sciences et en génie au collégial et à l'université au Québec entre 2005 et 2021 de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie, les femmes sont sous-représentées à l'université dans les domaines des sciences pures et appliquées et du génie au baccalauréat (respectivement 43% et 23% de femmes en 2020-2021). Pour explorer les différentes facettes du parcours de chercheur, et surtout identifier les enjeux et leviers spécifiques pour augmenter la représentation des femmes dans cette voie, Québec vert a recueilli les témoignages de quatre chercheuses menant des travaux en lien avec l'horticulture, dont ceux de Janani Sivarajah et Carly Ziter (voir page 36).
13 janvier 2025
Nelson Thiffault nommé co-rédacteur en chef du CJFR
Un communiqué de Canadian Science Publishing
Notre collègue Nelson Thiffault du Centre canadien sur la fibre du bois (RNCan) a été récemment nominé au Canadian Journal of Forest Research à titre de co-rédacteur en chef. La tâche sera partagée avec Jari Vauhkonen et Lisa Venier. Félicitations!
Un communiqué de Canadian Science Publishing
Notre collègue Nelson Thiffault du Centre canadien sur la fibre du bois (RNCan) a été récemment nominé au Canadian Journal of Forest Research à titre de co-rédacteur en chef. La tâche sera partagée avec Jari Vauhkonen et Lisa Venier. Félicitations!
9 janvier 2025
Incendies près de Los Angeles : Pourquoi sont-ils si dévastateurs ?
Un article de La Presse
Les violents incendies qui font des ravages dans la région de Los Angeles pourraient devenir plus probables à l’avenir, selon trois experts interrogés par La Presse. Qu’est-ce qui rend ces brasiers si rapides et si destructeurs ? La réponse avec Mike Flannigan de l’Université Thompson-Rivers, Marc-André Parisien du Service canadien des forêts et Karen Hodges de l’Université de Colombie-Britannique.
Un article de La Presse
Les violents incendies qui font des ravages dans la région de Los Angeles pourraient devenir plus probables à l’avenir, selon trois experts interrogés par La Presse. Qu’est-ce qui rend ces brasiers si rapides et si destructeurs ? La réponse avec Mike Flannigan de l’Université Thompson-Rivers, Marc-André Parisien du Service canadien des forêts et Karen Hodges de l’Université de Colombie-Britannique.
6 janvier 2025
Journal canadien de télédétection : Richard Fournier, nouveau coéditeur en chef
Un communiqué de l'Université de Sherbrooke
Les professeurs Richard Fournier du Département de géomatique appliquée de l’Université de Sherbrooke et Songnian Li de la Toronto Metropolitan University sont devenus, depuis la mi-décembre 2024, les nouveaux coéditeurs en chef du Journal canadien de télédétection (JCT). [..] Les articles publiés dans le JCT sont maintenant tous en libre accès. Les nouveaux coéditeurs en chef prennent en main un Journal bien implanté dans les communautés canadiennes et internationales de télédétection.
6 janvier 2025
Experte du climat, par la force des choses
Un article de La Presse
Peu connue du grand public, la biologiste québécoise Catherine Potvin aime bien comparer son histoire à celle d’Obélix, tombé dans la potion magique quand il était petit. Mais sa potion à elle, ce sont les changements climatiques. Mêlant science et politique, sa carrière l’a conduite du Québec au Panamá, pays qu’elle a représenté lors de négociations internationales sur le climat. Après trois ans à s’impliquer bénévolement au sein du comité consultatif sur les changements climatiques formé par le gouvernement du Québec, Catherine Potvin a décidé de quitter le comité à la fin de l’été 2024. Frustrée de voir que les résultats n’étaient pas au rendez-vous, elle a préféré tirer sa révérence et retrouver sa « liberté de parole ».
3 janvier 2025
Le climat canadien de plus en plus propice aux incendies de forêt graves
Un article de La Presse
Une nouvelle étude suggère que les forêts canadiennes sont de plus en plus exposées aux incendies de forêt graves, soulignant ce que les auteurs décrivent comme un besoin urgent d’atténuer de manière proactive « la menace accrue que posent les changements climatiques ». L’étude menée par des chercheurs canadiens et publiée dans la revue Science a examiné la gravité des incendies de 1981 à 2020. « Les augmentations généralisées, ainsi que les diminutions limitées, du nombre de jours de feu à haute intensité entre 1981 et 2020 indiquent une situation d’incendie de plus en plus grave et une saison des incendies plus difficile dans le contexte des changements climatiques au Canada », peut-on lire dans l’étude.
Mike Flannigan est aussi un des auteurs de l'article parue dans Science | L'étude est aussi reprise dans Le Devoir
3 janvier 2025
Rennes et caribous, frères circumpolaires
Un reportage audio de Les années lumière
Si on se fie à la chanson, le traîneau du père Noël est tiré par des rennes, mais pourrait-il être tiré par des caribous? C’est la question sur laquelle s’est penché Alexandre Touchette avec l’aide de deux biologistes spécialistes de cette espèce, dont Martin-Hugues St-Laurent, qui est présente dans toutes les régions circumpolaires.
Un reportage audio de Les années lumière
Si on se fie à la chanson, le traîneau du père Noël est tiré par des rennes, mais pourrait-il être tiré par des caribous? C’est la question sur laquelle s’est penché Alexandre Touchette avec l’aide de deux biologistes spécialistes de cette espèce, dont Martin-Hugues St-Laurent, qui est présente dans toutes les régions circumpolaires.
La forêt dans les médias
12 juin 2025
Un parc éolien menace les caribous de Charlevoix, conclut le BAPE
Un article dans Le Devoir
Le projet éolien Des Neiges menace les derniers caribous de Charlevoix, conclut le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). Les scientifiques gouvernementaux abondent d’ailleurs en ce sens, mais les promoteurs refusent de dire s’ils vont accepter de retirer les éoliennes des milieux naturels nécessaires à la survie de ces cervidés au seuil de l’extinction, que Québec et Ottawa ont promis de protéger.
Un article dans Le Devoir
Le projet éolien Des Neiges menace les derniers caribous de Charlevoix, conclut le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). Les scientifiques gouvernementaux abondent d’ailleurs en ce sens, mais les promoteurs refusent de dire s’ils vont accepter de retirer les éoliennes des milieux naturels nécessaires à la survie de ces cervidés au seuil de l’extinction, que Québec et Ottawa ont promis de protéger.
11 juin 2025
Protection du caribou forestier - « Personne ne pourra dire : on ne savait pas »
Un article dans La Presse
Pendant 25 ans, Claude Dussault a travaillé à la protection du caribou forestier au sein du gouvernement du Québec. Aujourd’hui, le biologiste se vide le cœur. Et juge « désolante » l’inaction de Québec envers cet animal vulnérable.
Un article dans La Presse
Pendant 25 ans, Claude Dussault a travaillé à la protection du caribou forestier au sein du gouvernement du Québec. Aujourd’hui, le biologiste se vide le cœur. Et juge « désolante » l’inaction de Québec envers cet animal vulnérable.
11 juin 2025
Amendements au projet de loi 97 sur le régime forestier François Legault tempère les attentes
Un article dans La Presse
François Legault a cherché à modérer les attentes des nombreuses organisations qui ont critiqué le projet de loi 97 sur le nouveau régime forestier présenté par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina.
Un article dans La Presse
François Legault a cherché à modérer les attentes des nombreuses organisations qui ont critiqué le projet de loi 97 sur le nouveau régime forestier présenté par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina.
11 juin 2025
Régime forestier : des amendements, mais pas de « grands changements », dit Legault
Un article de Radio-Canada
La ministre promet de revenir avec un projet de loi bonifié, à la hauteur des défis auxquels fait face la forêt. Interrogé à ce sujet, lundi, alors qu'il était de passage à Longueuil pour une annonce dans le domaine aérospatial, François Legault a toutefois été très clair : Il n'y a pas de grands changements qui, pour l'instant, sont prévus, mais des ajustements. ’’Mais effectivement, on a écouté les peuples autochtones, on a écouté les gens qui veulent protéger le caribou, a-t-il concédé, mais il faut que ça soit équilibré, a-t-il pris soin d'ajouter.’’
Un article de Radio-Canada
La ministre promet de revenir avec un projet de loi bonifié, à la hauteur des défis auxquels fait face la forêt. Interrogé à ce sujet, lundi, alors qu'il était de passage à Longueuil pour une annonce dans le domaine aérospatial, François Legault a toutefois été très clair : Il n'y a pas de grands changements qui, pour l'instant, sont prévus, mais des ajustements. ’’Mais effectivement, on a écouté les peuples autochtones, on a écouté les gens qui veulent protéger le caribou, a-t-il concédé, mais il faut que ça soit équilibré, a-t-il pris soin d'ajouter.’’
10 juin 2025
Le Québec se réchauffe deux fois plus vite que le reste de la planète
Un article dans le Journal de Montréal
Montréal pourrait compter 54 jours de plus de 30 °C d’ici 2071. Le Québec se réchauffe deux fois plus vite que le reste de la planète, ce qui aura des conséquences concrètes pour la santé humaine et nos infrastructures, selon des experts du climat. Le Québec pourrait compter de deux à trois fois plus de décès annuellement et voir les factures d’entretien des infrastructures augmenter de trois à cinq fois en raison du réchauffement climatique.
Un article dans le Journal de Montréal
Montréal pourrait compter 54 jours de plus de 30 °C d’ici 2071. Le Québec se réchauffe deux fois plus vite que le reste de la planète, ce qui aura des conséquences concrètes pour la santé humaine et nos infrastructures, selon des experts du climat. Le Québec pourrait compter de deux à trois fois plus de décès annuellement et voir les factures d’entretien des infrastructures augmenter de trois à cinq fois en raison du réchauffement climatique.
9 juin 2025
Échange CORSÉ: la ministre Maïté Blanchette Vézina défend la réforme forestière et ça brasse
Une émission de TVA+
Réforme forestière : inquiétudes grandissantes des Premières Nations et des régions. Entrevue avec Maïté Blanchette Vézina, députée de Rimouski, ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine. Lucien Wabanonik, chef du Conseil de la Nation Anishnabe du Lac-Simon.
Une émission de TVA+
Réforme forestière : inquiétudes grandissantes des Premières Nations et des régions. Entrevue avec Maïté Blanchette Vézina, députée de Rimouski, ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine. Lucien Wabanonik, chef du Conseil de la Nation Anishnabe du Lac-Simon.
9 juin 2025
Mesures de protection annoncées : Le caribou attendra encore
Un article dans La Presse
Québec n’a toujours pas mis sur pied les projets pilotes de protection du caribou dans Charlevoix et en Gaspésie annoncés au printemps 2024, un retard qui ne vient pas seul, a appris La Presse.
Un article dans La Presse
Québec n’a toujours pas mis sur pied les projets pilotes de protection du caribou dans Charlevoix et en Gaspésie annoncés au printemps 2024, un retard qui ne vient pas seul, a appris La Presse.
9 juin 2025
On n’est pas sortis du bois
Une chronique dans Le Soleil
De très nombreux maires excédés. Des chefs d’entreprises mécontents. Des travailleurs sur le pavé. Des «gardiens du territoire» sur un pied de guerre. Des blocus forestiers… S’il y a une chose que le gouvernement de la CAQ a réussi à faire avec son controversé projet de loi 97 visant à moderniser le régime forestier, c’est de foutre le bordel dans la forêt.
Une chronique dans Le Soleil
De très nombreux maires excédés. Des chefs d’entreprises mécontents. Des travailleurs sur le pavé. Des «gardiens du territoire» sur un pied de guerre. Des blocus forestiers… S’il y a une chose que le gouvernement de la CAQ a réussi à faire avec son controversé projet de loi 97 visant à moderniser le régime forestier, c’est de foutre le bordel dans la forêt.
9 juin 2025
Crise dans l’industrie forestière : la ministre s’engage à modifier le régime forestier
Un article de Radio-Canada
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts promet d’apporter des changements importants à son projet de loi qui vise à modifier le régime forestier québécois. Le gouvernement souhaite dénouer l’impasse avec les gardiens du territoire qui bloquent entre autres la route forestière 25 depuis la fin mai. Des amendements importants seront apportés, notamment en collaboration avec les Premières Nations. C’est essentiel pour moi de travailler avec les acteurs du milieu et je vais continuer de le faire cet été. Je reviendrai avec un projet de loi bonifié, à la hauteur des défis auxquels fait face la forêt. Nous avons tous la responsabilité d’échanger dans le respect et les blocus doivent cesser, a déclaré la ministre.
Un article de Radio-Canada
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts promet d’apporter des changements importants à son projet de loi qui vise à modifier le régime forestier québécois. Le gouvernement souhaite dénouer l’impasse avec les gardiens du territoire qui bloquent entre autres la route forestière 25 depuis la fin mai. Des amendements importants seront apportés, notamment en collaboration avec les Premières Nations. C’est essentiel pour moi de travailler avec les acteurs du milieu et je vais continuer de le faire cet été. Je reviendrai avec un projet de loi bonifié, à la hauteur des défis auxquels fait face la forêt. Nous avons tous la responsabilité d’échanger dans le respect et les blocus doivent cesser, a déclaré la ministre.
6 juin 2025
Régime forestier | L’Alliance forêt boréale prône une gouvernance régionalisée
Un article de Ma Côte-Nord
L’Alliance forêt boréale (AFB) a déposé mercredi son mémoire devant la Commission de l’aménagement du territoire, en lien avec le projet de loi 97 qui viendra moderniser le régime forestier. L’organisme affirme que le statu quo n’est plus possible alors que le régime forestier actuel a atteint ses limites. L’AFB dresse un constat d’échec après 12 ans de la version 2013 du régime, alors que le secteur s’appauvrit et que les travailleurs quittent. AFB a réclamé la mise en place d’une réelle gouvernance régionalisée, par et pour pour le milieu. On pense que cette gouvernance permettra aux régions de participer activement à la gestion des ressources et du territoire forestier. L’acceptabilité sociale n’en sera qu’améliorée, ajoute l’AFB.
Un article de Ma Côte-Nord
L’Alliance forêt boréale (AFB) a déposé mercredi son mémoire devant la Commission de l’aménagement du territoire, en lien avec le projet de loi 97 qui viendra moderniser le régime forestier. L’organisme affirme que le statu quo n’est plus possible alors que le régime forestier actuel a atteint ses limites. L’AFB dresse un constat d’échec après 12 ans de la version 2013 du régime, alors que le secteur s’appauvrit et que les travailleurs quittent. AFB a réclamé la mise en place d’une réelle gouvernance régionalisée, par et pour pour le milieu. On pense que cette gouvernance permettra aux régions de participer activement à la gestion des ressources et du territoire forestier. L’acceptabilité sociale n’en sera qu’améliorée, ajoute l’AFB.
6 juin 2025
Feux de forêt : une entreprise cyrilloise dénonce un angle mort du projet de loi 97
Un article de l'Express
Alors que les consultations particulières sur le projet de loi 97, parrainé par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, viennent de se conclure à l’Assemblée nationale, CMI Mulching, manufacturier d’équipements forestiers situé à Saint-Cyrille-de-Wendover, souligne l’absence de mesures robustes pour prévenir les incendies de forêt et appelle le gouvernement à renforcer le volet consacré à la gestion de la charge combustible de la forêt québécoise. «Le projet de loi pose des bases intéressantes pour moderniser le régime forestier, mais il demeure dangereusement timide sur la prévention des feux. La réalité du terrain, c’est que nos forêts sont de plus en plus inflammables, et on ne peut plus ignorer l’enjeu de la charge combustible des forêts», affirme Charles-Alexandre Vennat, président-directeur général de CMI Mulching.
Un article de l'Express
Alors que les consultations particulières sur le projet de loi 97, parrainé par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, viennent de se conclure à l’Assemblée nationale, CMI Mulching, manufacturier d’équipements forestiers situé à Saint-Cyrille-de-Wendover, souligne l’absence de mesures robustes pour prévenir les incendies de forêt et appelle le gouvernement à renforcer le volet consacré à la gestion de la charge combustible de la forêt québécoise. «Le projet de loi pose des bases intéressantes pour moderniser le régime forestier, mais il demeure dangereusement timide sur la prévention des feux. La réalité du terrain, c’est que nos forêts sont de plus en plus inflammables, et on ne peut plus ignorer l’enjeu de la charge combustible des forêts», affirme Charles-Alexandre Vennat, président-directeur général de CMI Mulching.
6 juin 2025
Incendies de forêt dans les Prairies : Mauvaise qualité de l’air partout au pays
Un article de La Presse
Presque tout le pays se retrouve vendredi sous un avertissement ou un bulletin météorologique spécial d’Environnement Canada concernant la qualité de l’air, alors que des incendies de forêt continuent de faire rage dans les Prairies.
Un article de La Presse
Presque tout le pays se retrouve vendredi sous un avertissement ou un bulletin météorologique spécial d’Environnement Canada concernant la qualité de l’air, alors que des incendies de forêt continuent de faire rage dans les Prairies.
5 juin 2025
Feux de forêt et Crise forestière
Un reportage de Radio-Canada
À la minute 35:02 - Les feux de forêts affectent les communautés de la Saskatchewan.
À la minute 37:29 - Crise forestière à cause de la guerre tarifaire avec les USA. Plusieurs fermetures d'usines...
Un reportage de Radio-Canada
À la minute 35:02 - Les feux de forêts affectent les communautés de la Saskatchewan.
À la minute 37:29 - Crise forestière à cause de la guerre tarifaire avec les USA. Plusieurs fermetures d'usines...
5 juin 2025
Feux de forêt : comment les villes se préparent-elles à accueillir les sinistrés?
Un article de Radio-Canada
Winnipeg et Thompson, au Manitoba, de même que Niagara Falls, en Ontario, sont au nombre des municipalités qui accueillent les sinistrés évacués en raison des feux de forêt qui font rage au Manitoba. Daniel Oligny, chef de la direction de Prudent, explique que rien ne doit être laissé au hasard lors d'une évacuation d'une telle ampleur.
Un article de Radio-Canada
Winnipeg et Thompson, au Manitoba, de même que Niagara Falls, en Ontario, sont au nombre des municipalités qui accueillent les sinistrés évacués en raison des feux de forêt qui font rage au Manitoba. Daniel Oligny, chef de la direction de Prudent, explique que rien ne doit être laissé au hasard lors d'une évacuation d'une telle ampleur.
5 juin 2025
Pourquoi le soleil était orangé mardi soir (et devrait-on s'inquiéter)?
Un article dans le 24heures
Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnes se sont étonnées de l’allure qu’a prise le soleil en fin de journée, mardi. De Gaspé à Gatineau, une boule aux teintes de rouge et d’orangé glissant derrière l'horizon a pu être observée. Le spectacle «de toute beauté» selon plusieurs, n’a pourtant rien de rassurant. Le phénomène est en effet attribuable aux nuages de fumée provenant des incendies de forêt qui font rage dans l’ouest du Canada et dans Les Prairies. Il est surtout visible au lever et au coucher de soleil, lorsqu’il est bas à l’horizon.
Un article dans le 24heures
Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnes se sont étonnées de l’allure qu’a prise le soleil en fin de journée, mardi. De Gaspé à Gatineau, une boule aux teintes de rouge et d’orangé glissant derrière l'horizon a pu être observée. Le spectacle «de toute beauté» selon plusieurs, n’a pourtant rien de rassurant. Le phénomène est en effet attribuable aux nuages de fumée provenant des incendies de forêt qui font rage dans l’ouest du Canada et dans Les Prairies. Il est surtout visible au lever et au coucher de soleil, lorsqu’il est bas à l’horizon.
4 juin 2025
Réforme forestière: «Il n’y a pas de recul pour les Premières Nations», selon la ministre Blanchette Vézina
Un article dans Le Journal de Montréal
Le projet de loi 97 sur la modernisation du régime forestier, dénoncé par plusieurs chefs des Premières Nations, va établir «des fonctions plus claires» sur le territoire, estime la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina. Même si elle convient «qu’il y a des intérêts divergents dans la forêt», la ministre a soutenu que son projet de loi n’impose «pas de recul pour les Premières Nations», au micro d’Isabelle Maréchal, sur les ondes de QUB, diffusée au 99,5 FM Montréal, mercredi.
Un article dans Le Journal de Montréal
Le projet de loi 97 sur la modernisation du régime forestier, dénoncé par plusieurs chefs des Premières Nations, va établir «des fonctions plus claires» sur le territoire, estime la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina. Même si elle convient «qu’il y a des intérêts divergents dans la forêt», la ministre a soutenu que son projet de loi n’impose «pas de recul pour les Premières Nations», au micro d’Isabelle Maréchal, sur les ondes de QUB, diffusée au 99,5 FM Montréal, mercredi.
4 juin 2025
Réforme forestière: la tension monte avec les Premières Nations
Un article dans Le Journal de Montréal
Les chefs des Premières Nations ont vivement dénoncé le projet de loi 97 sur la modernisation du régime forestier, mardi, en commission parlementaire. Selon eux, la réforme proposée par Québec représente un recul majeur en matière de droits autochtones.
Un article dans Le Journal de Montréal
Les chefs des Premières Nations ont vivement dénoncé le projet de loi 97 sur la modernisation du régime forestier, mardi, en commission parlementaire. Selon eux, la réforme proposée par Québec représente un recul majeur en matière de droits autochtones.
4 juin 2025
Détecter les îlots de chaleur urbains grâce à l’IA
Un article dans Actualités UQAM
Le finissant à la maîtrise Ali Tarhini a conçu un modèle d’apprentissage profond facilitant la cartographie des îlots de chaleur. Grâce à la géomatique et à la télédétection, il est possible de cartographier et d’analyser les ICU pour établir des scénarios d’aménagement urbain visant à atténuer ces impacts. Pourrait-on générer une analyse plus efficace, plus accessible et plus économique grâce à l’intelligence artificielle (IA)? C’est ce que tente de démontrer le finissant à la maîtrise en géographie Ali Tarhini.
Un article dans Actualités UQAM
Le finissant à la maîtrise Ali Tarhini a conçu un modèle d’apprentissage profond facilitant la cartographie des îlots de chaleur. Grâce à la géomatique et à la télédétection, il est possible de cartographier et d’analyser les ICU pour établir des scénarios d’aménagement urbain visant à atténuer ces impacts. Pourrait-on générer une analyse plus efficace, plus accessible et plus économique grâce à l’intelligence artificielle (IA)? C’est ce que tente de démontrer le finissant à la maîtrise en géographie Ali Tarhini.
3 juin 2025
Projet de loi sur l’énergie et les forêts Un bâillon et un affront
Un article dans La Presse
Des critiques acerbes de plusieurs groupes citoyens et peu d’alliés. La situation est similaire pour deux projets de loi économiques que défend le gouvernement Legault : une réforme énergétique qui risque fort d’être adoptée sous bâillon, et un projet de loi sur les forêts qui soulève l’indignation.
Un article dans La Presse
Des critiques acerbes de plusieurs groupes citoyens et peu d’alliés. La situation est similaire pour deux projets de loi économiques que défend le gouvernement Legault : une réforme énergétique qui risque fort d’être adoptée sous bâillon, et un projet de loi sur les forêts qui soulève l’indignation.
3 juin 2025
Blocus forestiers « L’approche diplomatique a ses limites »
Un article dans La Presse
Les blocus forestiers sont la « pointe de l’iceberg », préviennent des chefs autochtones : si « l’approche diplomatique » pour modifier la réforme du régime forestier ne porte pas ses fruits, un « soulèvement » est possible. Le gouvernement Legault promet de son côté des « changements importants » à son projet de loi.
Un article dans La Presse
Les blocus forestiers sont la « pointe de l’iceberg », préviennent des chefs autochtones : si « l’approche diplomatique » pour modifier la réforme du régime forestier ne porte pas ses fruits, un « soulèvement » est possible. Le gouvernement Legault promet de son côté des « changements importants » à son projet de loi.
3 juin 2025
La science du carbone comme outil indispensable pour la conservation
Un blog de Nature alliée
L’initiative Nature alliée, coordonnée par la SNAP Québec et Nature Québec, en partenariat avec l’UQO, l’UQAT, l’UdeS, l’U Laval et l’INRS, publie aujourd’hui une vidéo sur la méthodologie scientifique utilisée par les équipes de recherche associées au projet pour étudier la dynamique du carbone dans nos milieux naturels.
Un blog de Nature alliée
L’initiative Nature alliée, coordonnée par la SNAP Québec et Nature Québec, en partenariat avec l’UQO, l’UQAT, l’UdeS, l’U Laval et l’INRS, publie aujourd’hui une vidéo sur la méthodologie scientifique utilisée par les équipes de recherche associées au projet pour étudier la dynamique du carbone dans nos milieux naturels.
3 juin 2025
Les fumées des incendies au Canada visibles en Europe
Un article du Journal de Montréal
D'importantes fumées provoquées par de violents et précoces incendies au Canada survolent le nord-ouest de l'Europe depuis fin mai, à très haute altitude donc sans danger pour la santé, provoquant parfois des crépuscules orangés, a indiqué mardi l'observatoire européen Copernicus. «Des fumées provenant des feux de forêt des provinces canadiennes du Manitoba et de la Saskatchewan ont traversé l'Atlantique, atteignant l'Europe ces derniers jours» et «les prévisions annoncent un transport de fumée supplémentaire cette semaine», écrit le service Copernicus pour la surveillance de la qualité de l'air (CAMS).Les satellites ont observé un transport des fumées, composées notamment de monoxyde de carbone, à travers l'Atlantique. «Un premier panache de fumée à haute altitude a traversé la région méditerranéenne les 18 et 19 mai», atteignant «la Grèce et la Méditerranée orientale», note le CAMS. «Un second panache de fumée, beaucoup plus important, a traversé l'Atlantique (...) la dernière semaine de mai, atteignant le nord-ouest de l'Europe le 1er juin» et «d'autres panaches devraient atteindre le continent dans les prochains jours», poursuit le communiqué.
Un article du Journal de Montréal
D'importantes fumées provoquées par de violents et précoces incendies au Canada survolent le nord-ouest de l'Europe depuis fin mai, à très haute altitude donc sans danger pour la santé, provoquant parfois des crépuscules orangés, a indiqué mardi l'observatoire européen Copernicus. «Des fumées provenant des feux de forêt des provinces canadiennes du Manitoba et de la Saskatchewan ont traversé l'Atlantique, atteignant l'Europe ces derniers jours» et «les prévisions annoncent un transport de fumée supplémentaire cette semaine», écrit le service Copernicus pour la surveillance de la qualité de l'air (CAMS).Les satellites ont observé un transport des fumées, composées notamment de monoxyde de carbone, à travers l'Atlantique. «Un premier panache de fumée à haute altitude a traversé la région méditerranéenne les 18 et 19 mai», atteignant «la Grèce et la Méditerranée orientale», note le CAMS. «Un second panache de fumée, beaucoup plus important, a traversé l'Atlantique (...) la dernière semaine de mai, atteignant le nord-ouest de l'Europe le 1er juin» et «d'autres panaches devraient atteindre le continent dans les prochains jours», poursuit le communiqué.
3 juin 2025
Réforme du régime forestier - « Un recul », dénoncent les villes de régions et les Premières Nations
Un article de La Presse
Les petites villes de régions critiquent vertement la réforme du régime forestier du gouvernement Legault, qui concédera au « minimum » 30 % de nos forêts à l’industrie. Et des Premières Nations craignent une crise historique en raison de ce projet de loi qui « menace la paix sociale ». « Les tensions en territoire s’accentuent de jour en jour sans que nous puissions rien y faire devant un manque d’écoute et de considération de nos droits. Nous avons pourtant avisé la ministre à maintes reprises que le contenu de ce projet de loi serait inacceptable pour nos membres […]. Par son refus de dialoguer avec nos Premières Nations, la ministre est en train de créer une crise qui risque de passer à l’histoire », dénoncent le Conseil des Innus de Pessamit et le Conseil de la Nation Anishnabe du Lac Simon dans un mémoire. Ils seront, avec d’autres représentants comme l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador, en commission parlementaire ce mardi pour expliquer à la ministre que sa réforme « inacceptable » constitue un « recul majeur » face aux droits des Premières Nations et « menace » carrément la paix sociale sur les territoires forestiers. Déjà, des blocus forestiers ont commencé à être érigés dans plusieurs régions du Québec, menés par une alliance de gardiens du territoire membres des nations atikamekw, innue et abénaquise qui n’ont pas nécessairement de lien avec les Conseils de bande. Dans une lettre ouverte, Jérôme Bacon St-Onge, vice-chef du Conseil des Innus de Pessamit, et Lucien Wabanonik, chef du Conseil de la Nation Anishnabe du Lac Simon, affirment que la ministre Blanchette Vézina a maintenant la « responsabilité » de trouver une « voie de passage » pour éviter la crise qui s’en vient.
Un article de La Presse
Les petites villes de régions critiquent vertement la réforme du régime forestier du gouvernement Legault, qui concédera au « minimum » 30 % de nos forêts à l’industrie. Et des Premières Nations craignent une crise historique en raison de ce projet de loi qui « menace la paix sociale ». « Les tensions en territoire s’accentuent de jour en jour sans que nous puissions rien y faire devant un manque d’écoute et de considération de nos droits. Nous avons pourtant avisé la ministre à maintes reprises que le contenu de ce projet de loi serait inacceptable pour nos membres […]. Par son refus de dialoguer avec nos Premières Nations, la ministre est en train de créer une crise qui risque de passer à l’histoire », dénoncent le Conseil des Innus de Pessamit et le Conseil de la Nation Anishnabe du Lac Simon dans un mémoire. Ils seront, avec d’autres représentants comme l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador, en commission parlementaire ce mardi pour expliquer à la ministre que sa réforme « inacceptable » constitue un « recul majeur » face aux droits des Premières Nations et « menace » carrément la paix sociale sur les territoires forestiers. Déjà, des blocus forestiers ont commencé à être érigés dans plusieurs régions du Québec, menés par une alliance de gardiens du territoire membres des nations atikamekw, innue et abénaquise qui n’ont pas nécessairement de lien avec les Conseils de bande. Dans une lettre ouverte
, Jérôme Bacon St-Onge, vice-chef du Conseil des Innus de Pessamit, et Lucien Wabanonik, chef du Conseil de la Nation Anishnabe du Lac Simon, affirment que la ministre Blanchette Vézina a maintenant la « responsabilité » de trouver une « voie de passage » pour éviter la crise qui s’en vient. Devant « l’incertitude climatique et l’incertitude économique dans laquelle nous plongent les menaces tarifaires de Trump, il nous apparaît suicidaire d’aller de l’avant avec ce projet de loi qui nous mènera inévitablement dans une profonde crise forestière », écrivent-ils.
3 juin 2025
Réforme du régime forestier - Il faut éviter la crise
Une lettre d'opinion dans La Presse
Deux chefs dénoncent le projet de loi 97 (Jérôme Bacon St-Onge Vice-Chef, Conseil des Innus de Pessamit et Lucien Wabanonik Chef, Conseil de la nation Anishnabe du Lac Simon). Cette réforme, plaident-ils, menace leurs droits ancestraux, la santé de nos territoires ainsi que la vitalité des cultures des peuples autochtones. À l’opposé de ce qu’affirme le cabinet de la ministre, le projet de loi 97 n’offre pas d’avancées majeures pour les Premières Nations. Bien au contraire, il imposera des reculs inacceptables quant au respect de nos droits ancestraux. Pour nos nations, le projet de loi 97 est inacceptable par la menace qu’il incarne pour nos droits ancestraux, la santé de nos territoires et la vitalité de nos cultures. Ce que nous souhaitions avec la modernisation du régime forestier c’était une véritable réconciliation par la cogestion du territoire. À plusieurs reprises, nous avons demandé de collaborer à l’écriture du projet de loi afin de s’assurer du respect de nos droits, de nos valeurs et de nos intérêts. Or, c’est avec l’industrie forestière que le gouvernement a coécrit le projet et c’est à l’industrie qu’il donne la cogestion de nos terres.
Une lettre d'opinion dans La Presse
Deux chefs dénoncent le projet de loi 97 (Jérôme Bacon St-Onge Vice-Chef, Conseil des Innus de Pessamit et Lucien Wabanonik Chef, Conseil de la nation Anishnabe du Lac Simon). Cette réforme, plaident-ils, menace leurs droits ancestraux, la santé de nos territoires ainsi que la vitalité des cultures des peuples autochtones. À l’opposé de ce qu’affirme le cabinet de la ministre, le projet de loi 97 n’offre pas d’avancées majeures pour les Premières Nations. Bien au contraire, il imposera des reculs inacceptables quant au respect de nos droits ancestraux. Pour nos nations, le projet de loi 97 est inacceptable par la menace qu’il incarne pour nos droits ancestraux, la santé de nos territoires et la vitalité de nos cultures. Ce que nous souhaitions avec la modernisation du régime forestier c’était une véritable réconciliation par la cogestion du territoire. À plusieurs reprises, nous avons demandé de collaborer à l’écriture du projet de loi afin de s’assurer du respect de nos droits, de nos valeurs et de nos intérêts. Or, c’est avec l’industrie forestière que le gouvernement a coécrit le projet et c’est à l’industrie qu’il donne la cogestion de nos terres.
2 juin 2025
En Suède, des forêts vont perdre leur label FSC pour faciliter leur exploitation
Un article dans Le Courrier International
Le groupe suédois SCA, plus grand propriétaire forestier privé d’Europe, veut renoncer à la certification environnementale FSC à compter du 1er juin pour pouvoir exploiter plus facilement ses forêts. La décision choque les associations samis et déconcerte les spécialistes, explique le quotidien de Stockholm “Dagens Nyheter”.
Un article dans Le Courrier International
Le groupe suédois SCA, plus grand propriétaire forestier privé d’Europe, veut renoncer à la certification environnementale FSC à compter du 1er juin pour pouvoir exploiter plus facilement ses forêts. La décision choque les associations samis et déconcerte les spécialistes, explique le quotidien de Stockholm “Dagens Nyheter”.
29 mai 2025
Le ramoneur qui manque de cheminées
Un article de Québec Sciences
L’habitat urbain du martinet ramoneur se transforme. Ce petit oiseau saura-t-il regagner la forêt? Pendant longtemps, j’ai trouvé refuge dans les arbres creux, à l’abri du vent, de la pluie et des prédateurs. Puis, tout a changé. Au 17e siècle, une vague humaine déferle sur l’Amérique du Nord, où je passe mes étés. Ces hommes et ces femmes commencent à couper les vieilles forêts peuplées d’arbres sénescents où je loge. Ils et elles érigent des bâtiments de bois et de pierres. Heureuse surprise : leurs cheminées, inutilisées durant la saison chaude, se révèlent idéales pour m’abriter et y nidifier. Je m’en entiche tant que j’abandonne, bon gré mal gré, le bois mort. Je deviens le « martinet ramoneur ».
Un article de Québec Sciences
L’habitat urbain du martinet ramoneur se transforme. Ce petit oiseau saura-t-il regagner la forêt? Pendant longtemps, j’ai trouvé refuge dans les arbres creux, à l’abri du vent, de la pluie et des prédateurs. Puis, tout a changé. Au 17e siècle, une vague humaine déferle sur l’Amérique du Nord, où je passe mes étés. Ces hommes et ces femmes commencent à couper les vieilles forêts peuplées d’arbres sénescents où je loge. Ils et elles érigent des bâtiments de bois et de pierres. Heureuse surprise : leurs cheminées, inutilisées durant la saison chaude, se révèlent idéales pour m’abriter et y nidifier. Je m’en entiche tant que j’abandonne, bon gré mal gré, le bois mort. Je deviens le « martinet ramoneur ».
26 mai 2025
Sherbrooke envisage taxer les boisés coupés
Un article de La Tribune
Les actions à déployer dans les cinq prochaines années autour de la nouvelle politique de l’arbre et du verdissement de la Ville de Sherbrooke sont présentement à l’étude à l’hôtel de ville, où l’on planifie notamment l’instauration éventuelle d’une redevance à l’abattage d’arbres.
Un article de La Tribune
Les actions à déployer dans les cinq prochaines années autour de la nouvelle politique de l’arbre et du verdissement de la Ville de Sherbrooke sont présentement à l’étude à l’hôtel de ville, où l’on planifie notamment l’instauration éventuelle d’une redevance à l’abattage d’arbres.
La mécanique précise de cette redevance n’est pas encore définie, pas plus que le montant d’ailleurs, mais il s’agirait essentiellement d’imposer un tarif au mètre carré de surface boisée perdue lors de la réalisation de projets immobiliers.
Sur le même sujet, un article de Radio-Canada
26 mai 2025
Publication du rapport « Insectes, maladies et feux dans les forêts du Québec en 2024
Une nouvelle du MRNF
Grâce au rapport « Insectes, maladies et feux dans les forêts du Québec », vous pourrez en apprendre plus sur les principaux problèmes liés aux insectes et aux maladies qui ont été observés dans les forêts, les plantations et les pépinières forestières du Québec en 2024. Des statistiques sur les feux de forêt complètent le document.
Une nouvelle du MRNF
Grâce au rapport « Insectes, maladies et feux dans les forêts du Québec
», vous pourrez en apprendre plus sur les principaux problèmes liés aux insectes et aux maladies qui ont été observés dans les forêts, les plantations et les pépinières forestières du Québec en 2024. Des statistiques sur les feux de forêt complètent le document.24 mai 2025
L’envers du décor: l’industrie forestière, un angle mort dans la lutte climatique au Québec
Un article du Journal de Montréal
L’industrie forestière québécoise est souvent présentée comme un pilier de la transition écologique. Or, les données partagées par Michel Surprenant, secrétaire d’Éco-corridor lanaudois, ex-maire de Chertsey et titulaire de deux maîtrises dont une en gestion municipale de l’environnement, lors de la conférence Les vérités interdites sur la foresterie tenue à Rawdon le 8 mai dernier, révèlent une tout autre réalité. Selon M. Surprenant, jusqu’à 69% du volume des arbres abattus serait laissé à la décomposition ou transformé en résidus industriels, générant ainsi une quantité importante de CO2. Ces émissions seraient possiblement comparables à celles du secteur des transports au Québec. Par ailleurs, chaque arbre mature abattu ne peut plus remplir son rôle de puits de carbone. Un seul arbre absorbe environ 25 kg de CO2 par an. Avec 200 000 hectares de forêts coupés chaque année, notre capacité d’absorption est amputée de plusieurs millions de tonnes.
Un article du Journal de Montréal
L’industrie forestière québécoise est souvent présentée comme un pilier de la transition écologique. Or, les données partagées par Michel Surprenant, secrétaire d’Éco-corridor lanaudois, ex-maire de Chertsey et titulaire de deux maîtrises dont une en gestion municipale de l’environnement, lors de la conférence Les vérités interdites sur la foresterie tenue à Rawdon le 8 mai dernier, révèlent une tout autre réalité. Selon M. Surprenant, jusqu’à 69% du volume des arbres abattus serait laissé à la décomposition ou transformé en résidus industriels, générant ainsi une quantité importante de CO2. Ces émissions seraient possiblement comparables à celles du secteur des transports au Québec. Par ailleurs, chaque arbre mature abattu ne peut plus remplir son rôle de puits de carbone. Un seul arbre absorbe environ 25 kg de CO2 par an. Avec 200 000 hectares de forêts coupés chaque année, notre capacité d’absorption est amputée de plusieurs millions de tonnes.
22 mai 2025
La ministre Blanchette Vézina conclut une entente de principe avec les Producteurs et productrices acéricoles du Québec
Une nouvelle du MRNF
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, est heureuse d'annoncer la conclusion d'une entente de principe avec les Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ). Afin d'assurer le développement de la filière acéricole à long terme et à l'échelle provinciale, toutes les régions du Québec bénéficieront de nouvelles superficies. La délimitation de ces superficies sera réalisée en collaboration avec l'ensemble des partenaires. Cette entente de principe confirme l'octroi par le Ministère d'une banque de superficies de 50 000 hectares aux PPAQ, pour les vingt prochaines années. Cette réserve de superficies s'ajoute aux 45 300 hectares actuellement sous permis en forêt publique, pour un total de près de 100 000 hectares.
Une nouvelle du MRNF
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, est heureuse d'annoncer la conclusion d'une entente de principe avec les Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ). Afin d'assurer le développement de la filière acéricole à long terme et à l'échelle provinciale, toutes les régions du Québec bénéficieront de nouvelles superficies. La délimitation de ces superficies sera réalisée en collaboration avec l'ensemble des partenaires. Cette entente de principe confirme l'octroi par le Ministère d'une banque de superficies de 50 000 hectares aux PPAQ, pour les vingt prochaines années. Cette réserve de superficies s'ajoute aux 45 300 hectares actuellement sous permis en forêt publique, pour un total de près de 100 000 hectares.
22 mai 2025
Dans nos forêts, l’infestation de tordeuse pire que jamais
Un article du Journal de Montréal
L’épidémie de tordeuse des bourgeons de l’épinette (TBE) a atteint son plus haut sommet depuis ses débuts en 2009. Cet insecte qui se nourrit des aiguilles des conifères peut décimer des forêts entières lorsque sa population devient trop importante. Dans son dernier budget, le gouvernement du Québec a annoncé 17,8 millions de dollars supplémentaires pour l’enveloppe de 60,2 millions dédiée à la protection des forêts contre la TBE.
Un article du Journal de Montréal
L’épidémie de tordeuse des bourgeons de l’épinette (TBE) a atteint son plus haut sommet depuis ses débuts en 2009. Cet insecte qui se nourrit des aiguilles des conifères peut décimer des forêts entières lorsque sa population devient trop importante. Dans son dernier budget, le gouvernement du Québec a annoncé 17,8 millions de dollars supplémentaires pour l’enveloppe de 60,2 millions dédiée à la protection des forêts contre la TBE.
21 mai 2025
La destruction des forêts tropicales à un niveau record
Un article de La Presse
L'équivalent de 18 terrains de football par minute : la destruction des forêts vierges tropicales a atteint l’an dernier un niveau record depuis au moins vingt ans, en raison des incendies alimentés par le changement climatique et d’une situation qui se dégrade de nouveau au Brésil. Les régions tropicales ont perdu l’an dernier 6,7 millions d’hectares de forêt primaire, une superficie quasi équivalente à celle du Panama, au plus haut depuis le début de la collecte des données en 2002 par l’observatoire de référence Global Forest Watch, élaboré par le groupe de réflexion américain World Resources Institute (WRI) avec l’université du Maryland.
Un article de La Presse
L'équivalent de 18 terrains de football par minute : la destruction des forêts vierges tropicales a atteint l’an dernier un niveau record depuis au moins vingt ans, en raison des incendies alimentés par le changement climatique et d’une situation qui se dégrade de nouveau au Brésil. Les régions tropicales ont perdu l’an dernier 6,7 millions d’hectares de forêt primaire, une superficie quasi équivalente à celle du Panama, au plus haut depuis le début de la collecte des données en 2002 par l’observatoire de référence Global Forest Watch, élaboré par le groupe de réflexion américain World Resources Institute (WRI) avec l’université du Maryland.
Le chiffre, en hausse de 80 % par rapport à 2023, « équivaut à la perte de 18 terrains de football par minute », a souligné Elizabeth Goldman, codirectrice de l’observatoire. Les incendies sont responsables de près de la moitié de ces pertes, devant l’agriculture pour la première fois.
21 mai 2025
Qui a l’oreille de la ministre des Forêts?
Un article du Devoir
Depuis le dépôt du projet de loi 97 sur la réforme du régime forestier, les critiques fusent de toutes parts. Premières Nations, syndicats des travailleurs de la forêt, groupes environnementaux, acteurs du récréotourisme, fédérations des zecs, des pourvoiries, des chasseurs et pêcheurs ainsi que des activités de plein air, biologistes, scientifiques, ingénieurs forestiers, groupes citoyens, villégiateurs : tous sont grandement inquiets de cette réforme. La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, semble jusqu’à maintenant peu se soucier de ce vent d’opposition et justifie sa réforme en affirmant qu’elle serait issue d’une « vaste consultation » des différents acteurs du milieu forestier. Pourtant, nous sommes ces acteurs et la démarche de « consultation » qui a été menée nous laisse un goût bien amer en bouche.
Un article du Devoir
Depuis le dépôt du projet de loi 97 sur la réforme du régime forestier, les critiques fusent de toutes parts. Premières Nations, syndicats des travailleurs de la forêt, groupes environnementaux, acteurs du récréotourisme, fédérations des zecs, des pourvoiries, des chasseurs et pêcheurs ainsi que des activités de plein air, biologistes, scientifiques, ingénieurs forestiers, groupes citoyens, villégiateurs : tous sont grandement inquiets de cette réforme. La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, semble jusqu’à maintenant peu se soucier de ce vent d’opposition et justifie sa réforme en affirmant qu’elle serait issue d’une « vaste consultation » des différents acteurs du milieu forestier. Pourtant, nous sommes ces acteurs et la démarche de « consultation » qui a été menée nous laisse un goût bien amer en bouche.
20 mai 2025
Trois tours pour observer la forêt qui respire
Actualités de la FFGG
La Forêt Montmorency abrite trois tours à flux mesurant en continu les échanges d’énergie, d’eau et de dioxyde de carbone (CO₂) entre la forêt et l’atmosphère. Installées dans des stades différents de croissance forestière, ces infrastructures jouent un rôle central dans plusieurs projets de recherche de la Faculté de Foresterie, de Géographie et de Géomatique (FFGG) de l'Université Laval, dont le plus récent: Évap-eau. Dirigé par les professeurs François Anctil et Daniel Nadeau, du Département de génie civil et de génie des eaux, ce projet vise à approfondir notre compréhension hydrométéorologique de l’évaporation et de son rôle comme amplificateur des sécheresses dans le nord-est de l’Amérique, en particulier au Québec méridional, avec un accent sur les sécheresses estivales.
Actualités de la FFGG
La Forêt Montmorency abrite trois tours à flux mesurant en continu les échanges d’énergie, d’eau et de dioxyde de carbone (CO₂) entre la forêt et l’atmosphère. Installées dans des stades différents de croissance forestière, ces infrastructures jouent un rôle central dans plusieurs projets de recherche de la Faculté de Foresterie, de Géographie et de Géomatique (FFGG) de l'Université Laval, dont le plus récent: Évap-eau. Dirigé par les professeurs François Anctil et Daniel Nadeau, du Département de génie civil et de génie des eaux, ce projet vise à approfondir notre compréhension hydrométéorologique de l’évaporation et de son rôle comme amplificateur des sécheresses dans le nord-est de l’Amérique, en particulier au Québec méridional, avec un accent sur les sécheresses estivales.
20 mai 2025
Sommet sur la forêt : mobilisation pour une vision commune du régime forestier
Un article du Syndicat des Métallos
Le Sommet Pour vivre de la forêt, qui aura lieu le 20 mai à Saguenay, représente un moment-clé pour l’avenir du secteur forestier québécois. Alors que la filière industrielle du bois est confrontée à de nombreux défis menaçant la pérennité des emplois et la vitalité des communautés forestières, les travailleuses et travailleurs du secteur réclament des gestes concrets de la part des gouvernements. En quête de solutions, le mouvement syndical du monde forestier a élaboré une plateforme commune issue d’un travail de concertation avec des parties prenantes et des experts de la forêt. Ces propositions, fruit d’une collaboration consensuelle, énoncent les principales revendications du mouvement syndical.
On peut télécharger la plateforme qui comporte plusieurs propositions rassembleuses.
Un article du Syndicat des Métallos
Le Sommet Pour vivre de la forêt, qui aura lieu le 20 mai à Saguenay, représente un moment-clé pour l’avenir du secteur forestier québécois. Alors que la filière industrielle du bois est confrontée à de nombreux défis menaçant la pérennité des emplois et la vitalité des communautés forestières, les travailleuses et travailleurs du secteur réclament des gestes concrets de la part des gouvernements. En quête de solutions, le mouvement syndical du monde forestier a élaboré une plateforme commune issue d’un travail de concertation avec des parties prenantes et des experts de la forêt. Ces propositions, fruit d’une collaboration consensuelle, énoncent les principales revendications du mouvement syndical.
On peut télécharger la plateforme
qui comporte plusieurs propositions rassembleuses.20 mai 2025
Sommet « Pour vivre de la forêt » - Syndicats, écologistes et autochtones se mobilisent pour un avenir durable
Un article de Ma Côte-Nord
Réunis à Chicoutimi dans un Sommet « Pour vivre de la forêt », les syndicats du monde forestier, des groupes environnementaux et des représentants des Premières Nations estiment que le gouvernement a échoué à assurer un avenir durable. Unifor, le syndicat des Métallos et la CSN ont proposé ce matin une stratégie industrielle pour soutenir des emplois de qualité et durables. Les syndicats qui représentent les travailleurs au Complexe forestier de Port-Cartier et en forêt nord-côtière sont bien représentés avec la présence parmi les conférenciers de Daniel Cloutier d’Unifor et Nicolas Lapierre, le directeur québécois des Métallos natif de la Côte-Nord. La réflexion s’effectue autour de propositions d’avenir pour le régime forestier québécois. Le chef de l’Assemblée des premières Nations du Québec et du Labrador, l’Innu Francis Verreault-Paul prendra aussi la parole.
Un article de Ma Côte-Nord
Réunis à Chicoutimi dans un Sommet « Pour vivre de la forêt », les syndicats du monde forestier, des groupes environnementaux et des représentants des Premières Nations estiment que le gouvernement a échoué à assurer un avenir durable. Unifor, le syndicat des Métallos et la CSN ont proposé ce matin une stratégie industrielle pour soutenir des emplois de qualité et durables. Les syndicats qui représentent les travailleurs au Complexe forestier de Port-Cartier et en forêt nord-côtière sont bien représentés avec la présence parmi les conférenciers de Daniel Cloutier d’Unifor et Nicolas Lapierre, le directeur québécois des Métallos natif de la Côte-Nord. La réflexion s’effectue autour de propositions d’avenir pour le régime forestier québécois. Le chef de l’Assemblée des premières Nations du Québec et du Labrador, l’Innu Francis Verreault-Paul prendra aussi la parole.
20 mai 2025
Un sommet sur la forêt sur fond de menaces de blocage autochtone
Un article de Radio-Canada
La réforme du régime forestier proposée par le gouvernement Legault continue de susciter la grogne. Les 180 personnes réunies au sommet sur la forêt, à Saguenay, réclament des changements majeurs avant l’adoption du projet de loi 97. Des chercheurs, des syndicats, des représentants des Premières Nations, des groupes environnementaux, des pourvoiries et des entreprises de sylvicultures ont uni leur voix pour dénoncer cette réforme. Selon eux, Québec priorise l'industrie forestière au détriment des autres acteurs et dirige le secteur forestier droit dans le mur.
Un article de Radio-Canada
La réforme du régime forestier proposée par le gouvernement Legault continue de susciter la grogne. Les 180 personnes réunies au sommet sur la forêt, à Saguenay, réclament des changements majeurs avant l’adoption du projet de loi 97. Des chercheurs, des syndicats, des représentants des Premières Nations, des groupes environnementaux, des pourvoiries et des entreprises de sylvicultures ont uni leur voix pour dénoncer cette réforme. Selon eux, Québec priorise l'industrie forestière au détriment des autres acteurs et dirige le secteur forestier droit dans le mur.
20 mai 2025
Industrie forestière - Un « ordre d’expulsion » envoyé par une alliance autochtone
Un article dans La Presse
Des membres de Premières Nations ont envoyé un « ordre d’expulsion et de cessation des coupes forestières » à l’industrie, pour s’opposer à la réforme du régime forestier mise de l’avant par le gouvernement Legault. « Sur réception de cette lettre vous avez la responsabilité d’informer vos employés et contracteurs de quitter notre territoire sur le champ et jusqu’à nouvel ordre. Cet ordre d’expulsion vise spécifiquement les abatteuses multifonctionnelles, nous ne voulons aucune nouvelle coupe forestière », expliquent les membres de l’alliance Mamo.
Un article dans La Presse
Des membres de Premières Nations ont envoyé un « ordre d’expulsion et de cessation des coupes forestières » à l’industrie, pour s’opposer à la réforme du régime forestier mise de l’avant par le gouvernement Legault. « Sur réception de cette lettre vous avez la responsabilité d’informer vos employés et contracteurs de quitter notre territoire sur le champ et jusqu’à nouvel ordre. Cet ordre d’expulsion vise spécifiquement les abatteuses multifonctionnelles, nous ne voulons aucune nouvelle coupe forestière », expliquent les membres de l’alliance Mamo.
18 mai 2025
Dépôt du projet de loi 97: soyons fiers de notre forêt et de notre industrie forestière
Un article dans Le Journal de Montréal
Le projet de loi 97 n’était même pas déposé qu’il était déjà fortement critiqué. Fait surprenant, puisque tous les intervenants s’entendaient pour dire, il y a à peine quelques mois, dans le cadre des consultations sur l’avenir de la forêt menées par le ministère des Ressources naturelles et des Forêts, que le statu quo n’était plus possible. Les opposants actuels oublient de dire, volontairement ou non, que le zonage proposé vise en premier lieu à concrétiser l’engagement des gouvernements à réserver 30% du territoire à la conservation à l’horizon 2030. En contrepartie, pour assurer un équilibre durable entre l’environnement, le social et l’économique, le projet prévoit également la création de zones où l’aménagement serait prioritaire, ce qui ne signifie nullement que les superficies deviennent à l’usage exclusif de l’industrie «à perpétuité».
Un article dans Le Journal de Montréal
Le projet de loi 97 n’était même pas déposé qu’il était déjà fortement critiqué. Fait surprenant, puisque tous les intervenants s’entendaient pour dire, il y a à peine quelques mois, dans le cadre des consultations sur l’avenir de la forêt menées par le ministère des Ressources naturelles et des Forêts, que le statu quo n’était plus possible. Les opposants actuels oublient de dire, volontairement ou non, que le zonage proposé vise en premier lieu à concrétiser l’engagement des gouvernements à réserver 30% du territoire à la conservation à l’horizon 2030. En contrepartie, pour assurer un équilibre durable entre l’environnement, le social et l’économique, le projet prévoit également la création de zones où l’aménagement serait prioritaire, ce qui ne signifie nullement que les superficies deviennent à l’usage exclusif de l’industrie «à perpétuité».
16 mai 2025
Les propriétaires de camps en forêt s’inquiètent d’une réforme du ministère des Forêts qui pourrait leur pourrir la vie
Un article dans le Journal de Montréal
Les 40 000 propriétaires de camps en forêt publique du Québec craignent l’application du projet de loi 97 qui va grandement affecter leur qualité de vie et la valeur de leurs propriétés. «La population doit se mobiliser. Voulons-nous d’un recul dans les années 1960 quand les compagnies forestières régnaient en rois et maîtres sur la forêt québécoise?» lance André Saillant, qui gère un club de pêche à la truite dans le Charlevoix avec 17 autres membres. Pour cet administrateur du Regroupement des locataires des terres publiques du Québec (RLTP), le projet de loi 97 dirigé par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, comporte de multiples pièges auxquels il faut se préparer.
Un article dans le Journal de Montréal
Les 40 000 propriétaires de camps en forêt publique du Québec craignent l’application du projet de loi 97 qui va grandement affecter leur qualité de vie et la valeur de leurs propriétés. «La population doit se mobiliser. Voulons-nous d’un recul dans les années 1960 quand les compagnies forestières régnaient en rois et maîtres sur la forêt québécoise?» lance André Saillant, qui gère un club de pêche à la truite dans le Charlevoix avec 17 autres membres. Pour cet administrateur du Regroupement des locataires des terres publiques du Québec (RLTP), le projet de loi 97 dirigé par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, comporte de multiples pièges auxquels il faut se préparer.
16 mai 2025
Québec annonce 8 millions pour soutenir la création de nouvelles aires protégées
Un article dans Le Devoir
Le gouvernement du Québec a annoncé un financement de 5 millions $ et un autre de 3,6 millions $ vendredi, pour soutenir la création de nouvelles aires protégées au Québec. Un montant de 4,5 millions $ sera octroyé au Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec (RNCREQ) et 542 600 $ ira à Stratégies Saint-Laurent (SSL) pour financer des activités de concertation afin de déterminer les territoires à prioriser pour la création de nouvelles aires protégées. Ces activités de concertation se dérouleront dans toutes les régions à l’exception du Nord-du-Québec. Le ministre de l’Environnement, Benoit Charette, a invité « tous les acteurs locaux et régionaux, dont les municipalités et les MRC » à participer à cette concertation régionale. « Plusieurs projets d’aires protégées sont sur la table présentement. Nous avons besoin de leurs expertises pour identifier les initiatives les plus porteuses pour le bien de la nature et des communautés locales », a-t-il indiqué dans un communiqué. Québec octroie également 3,6 millions $ à la Société pour la nature et les parcs (SNAP Québec) pour l’initiative Plein aire 2.0 qui « vise le développement de propositions d’aires protégées et la reconnaissance d’autres mesures de conservation efficaces (AMCE) sur le territoire québécois ».
Un article dans Le Devoir
Le gouvernement du Québec a annoncé un financement de 5 millions $ et un autre de 3,6 millions $ vendredi, pour soutenir la création de nouvelles aires protégées au Québec. Un montant de 4,5 millions $ sera octroyé au Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec (RNCREQ) et 542 600 $ ira à Stratégies Saint-Laurent (SSL) pour financer des activités de concertation afin de déterminer les territoires à prioriser pour la création de nouvelles aires protégées. Ces activités de concertation se dérouleront dans toutes les régions à l’exception du Nord-du-Québec. Le ministre de l’Environnement, Benoit Charette, a invité « tous les acteurs locaux et régionaux, dont les municipalités et les MRC » à participer à cette concertation régionale. « Plusieurs projets d’aires protégées sont sur la table présentement. Nous avons besoin de leurs expertises pour identifier les initiatives les plus porteuses pour le bien de la nature et des communautés locales », a-t-il indiqué dans un communiqué. Québec octroie également 3,6 millions $ à la Société pour la nature et les parcs (SNAP Québec) pour l’initiative Plein aire 2.0 qui « vise le développement de propositions d’aires protégées et la reconnaissance d’autres mesures de conservation efficaces (AMCE) sur le territoire québécois ».
16 mai 2025
Projet de réforme du régime forestier - En direction du mur, mais plus vite
Un article dans La Presse
Pourquoi tant de réactions négatives au projet de loi visant principalement à moderniser le régime forestier (PL-97) de la ministre Maïté Blanchette Vézina ? Elle propose un zonage dans lequel un tiers du territoire forestier serait affecté à des zones d’aménagement forestier prioritaire, un tiers à des zones de conservation et un tiers à des zones multiusages. Sa façon d’intensifier l’aménagement est d’en remettre la responsabilité à l’industrie à travers les licences d’aménagement forestier durable (LAFD). Les entreprises pourront récolter plus de bois, à moindre coût, ce qui est l’objectif de la réforme. Ces LADF ressemblent étrangement aux contrats d’approvisionnement et d’aménagement forestier, les CAAF du régime d’avant 2010. Ce régime des CAAF a été aboli pour de bonnes raisons. Il ne permettait ni l’aménagement durable ni l’intensification de l’aménagement forestier. L’exigence imposée à l’entreprise après coupe était l’obligation de remise en production, par reboisement si nécessaire, à l’aide d’une subvention sylvicole, qui s’appliquait sous forme de crédits applicables et limités à la valeur des redevances sur la coupe de bois. C’est exactement le mécanisme proposé dans la réforme actuelle.
Un article dans La Presse
Pourquoi tant de réactions négatives au projet de loi visant principalement à moderniser le régime forestier (PL-97) de la ministre Maïté Blanchette Vézina ? Elle propose un zonage dans lequel un tiers du territoire forestier serait affecté à des zones d’aménagement forestier prioritaire, un tiers à des zones de conservation et un tiers à des zones multiusages. Sa façon d’intensifier l’aménagement est d’en remettre la responsabilité à l’industrie à travers les licences d’aménagement forestier durable (LAFD). Les entreprises pourront récolter plus de bois, à moindre coût, ce qui est l’objectif de la réforme. Ces LADF ressemblent étrangement aux contrats d’approvisionnement et d’aménagement forestier, les CAAF du régime d’avant 2010. Ce régime des CAAF a été aboli pour de bonnes raisons. Il ne permettait ni l’aménagement durable ni l’intensification de l’aménagement forestier. L’exigence imposée à l’entreprise après coupe était l’obligation de remise en production, par reboisement si nécessaire, à l’aide d’une subvention sylvicole, qui s’appliquait sous forme de crédits applicables et limités à la valeur des redevances sur la coupe de bois. C’est exactement le mécanisme proposé dans la réforme actuelle.
15 mai 2025
L’effet refroidissant des feux de forêts
Un article dans Science Presse
Les feux de forêt majeurs au Canada ont dévasté des dizaines de milliers de km2 ces dernières années, mais ils ont eu une utilité: ils ont contribué à légèrement atténuer le réchauffement climatique en 2023, en envoyant dans l’air de la suie et de la fumée qui a limité suffisamment l’impact des rayons du soleil pour faire une différence. L’équipe dirigée par Iulian-Alin Rosu, postdoctorant en sciences de l’environnement et de l’atmosphère, arrive à la conclusion, en comparant des simulations avec et sans les émissions des feux de forêts canadiens, qu’entre mai et septembre 2023, la fumée a causé un refroidissement « local » de l’ordre de 5,4 degrés, ce qui s’est traduit par un refroidissement global de 0,9 degré pour l’ensemble de l’hémisphère nord.
Un article dans Science Presse
Les feux de forêt majeurs au Canada ont dévasté des dizaines de milliers de km2 ces dernières années, mais ils ont eu une utilité: ils ont contribué à légèrement atténuer le réchauffement climatique en 2023, en envoyant dans l’air de la suie et de la fumée qui a limité suffisamment l’impact des rayons du soleil pour faire une différence. L’équipe dirigée par Iulian-Alin Rosu, postdoctorant en sciences de l’environnement et de l’atmosphère, arrive à la conclusion, en comparant des simulations avec et sans les émissions des feux de forêts canadiens, qu’entre mai et septembre 2023, la fumée a causé un refroidissement « local » de l’ordre de 5,4 degrés, ce qui s’est traduit par un refroidissement global de 0,9 degré pour l’ensemble de l’hémisphère nord.
14 mai 2025
Feux de forêt cet été: l’Ouest canadien particulièrement à risque, le Québec dans la moyenne
Un article du Journal de Montréal
La saison des feux de forêt pourrait être particulièrement difficile dans l’ouest du pays, tandis qu’au Québec, on prévoit un été qui se situe dans la moyenne des dernières années. C’est du moins ce que révèlent les prévisions de Ressources naturelles Canada, qui affiche un degré de sévérité «bien au-dessus de la normale» pendant les mois de juillet et août dans le sud de la Colombie-Britannique et de l’Alberta.
Un article du Journal de Montréal
La saison des feux de forêt pourrait être particulièrement difficile dans l’ouest du pays, tandis qu’au Québec, on prévoit un été qui se situe dans la moyenne des dernières années. C’est du moins ce que révèlent les prévisions de Ressources naturelles Canada, qui affiche un degré de sévérité «bien au-dessus de la normale» pendant les mois de juillet et août dans le sud de la Colombie-Britannique et de l’Alberta.
13 mai 2025
Sommet sur la forêt : mobilisation pour une vision commune du régime forestier
Un article de Radio-Canada
Le Sommet Pour vivre de la forêt, qui aura lieu le 20 mai à Saguenay, représente un moment clé pour l’avenir du secteur forestier québécois. Alors que la filière industrielle du bois est confrontée à de nombreux défis menaçant la pérennité des emplois et la vitalité des communautés forestières, les travailleuses et travailleurs du secteur réclament des gestes concrets de la part des gouvernements.
Un article de Radio-Canada
Le Sommet Pour vivre de la forêt, qui aura lieu le 20 mai à Saguenay, représente un moment clé pour l’avenir du secteur forestier québécois. Alors que la filière industrielle du bois est confrontée à de nombreux défis menaçant la pérennité des emplois et la vitalité des communautés forestières, les travailleuses et travailleurs du secteur réclament des gestes concrets de la part des gouvernements.
13 mai 2025
L’ABQ salue la déclaration de la ministre Sonia LeBel sur l’étude de l’intégration des biologistes au système professionnel
Un communiqué de l'ABQ
L’Association des biologistes du Québec (ABQ) accueille favorablement la déclaration de la ministre responsable de l’application des lois professionnelles, Mme Sonia LeBel, lors de l’étude des crédits budgétaires, volet lois professionnelles. Interpellée par le porte-parole de l’opposition officielle en matière de lois professionnelles, M. André A. Morin, la ministre a confirmé que l’intégration des biologistes et des microbiologistes au système professionnel fait actuellement l’objet d’un examen concret par l’Office des professions du Québec (OPQ), notamment par la rédaction d’un avis d’opportunité. « Cette déclaration constitue une avancée significative dans les démarches entamées depuis plusieurs années par l’ABQ en vue d’une reconnaissance officielle du statut professionnel des biologistes. Elle témoigne de la pertinence d’encadrer les activités des biologistes par une organisation professionnelle, dans un souci de protection du public. » témoigne Mme Bernice Chabot-Giguère, directrice générale de l’Association des biologistes du Québec.
Un communiqué de l'ABQ
L’Association des biologistes du Québec (ABQ) accueille favorablement la déclaration de la ministre responsable de l’application des lois professionnelles, Mme Sonia LeBel, lors de l’étude des crédits budgétaires, volet lois professionnelles. Interpellée par le porte-parole de l’opposition officielle en matière de lois professionnelles, M. André A. Morin, la ministre a confirmé que l’intégration des biologistes et des microbiologistes au système professionnel fait actuellement l’objet d’un examen concret par l’Office des professions du Québec (OPQ), notamment par la rédaction d’un avis d’opportunité. « Cette déclaration constitue une avancée significative dans les démarches entamées depuis plusieurs années par l’ABQ en vue d’une reconnaissance officielle du statut professionnel des biologistes. Elle témoigne de la pertinence d’encadrer les activités des biologistes par une organisation professionnelle, dans un souci de protection du public. » témoigne Mme Bernice Chabot-Giguère, directrice générale de l’Association des biologistes du Québec.
12 mai 2025
Rémi Quirion, scientifique en chef du Québec « Il reste encore beaucoup de travail à faire »
Un article dans La Presse
Il s’est fait tirer l’oreille à plusieurs reprises avant d’accepter de devenir le premier scientifique en chef du Québec. Et après 14 ans en poste, Rémi Quirion accrochera sa blouse à l’automne. C’est l’occasion de revenir sur son parcours et sur la place de la science au Québec, qu’il juge encore insuffisante. [..] Un exemple où ses avis ont été ignorés ? « Les fameux caribous ! lance-t-il en référence à la protection du caribou forestier. La science est claire sur ce qu’il faut faire, mais il y a les aspects économiques. Indépendamment de la couleur du gouvernement, la décision a toujours été de ne pas suivre nécessairement la science. »
Un article dans La Presse
Il s’est fait tirer l’oreille à plusieurs reprises avant d’accepter de devenir le premier scientifique en chef du Québec. Et après 14 ans en poste, Rémi Quirion accrochera sa blouse à l’automne. C’est l’occasion de revenir sur son parcours et sur la place de la science au Québec, qu’il juge encore insuffisante. [..] Un exemple où ses avis ont été ignorés ? « Les fameux caribous ! lance-t-il en référence à la protection du caribou forestier. La science est claire sur ce qu’il faut faire, mais il y a les aspects économiques. Indépendamment de la couleur du gouvernement, la décision a toujours été de ne pas suivre nécessairement la science. »
12 mai 2025
Réforme provinciale : des chemins forestiers à repenser
Un article de Radio-Canada
Alors que Québec a déposé un projet de loi sur la réforme forestière, des préfets de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent font part de leurs attentes sur la gestion des chemins forestiers. [..] Il s’agit d’un enjeu réel, selon le préfet, pour le monde rural. Nous recevons souvent des appels pour aller entretenir des chemins d’accès, mais on n’a tout simplement pas les moyens de donner des dizaines de milliers de dollars à de la machinerie pour aller entretenir des dizaines de kilomètres de chemins, avance l’élu.
Un article de Radio-Canada
Alors que Québec a déposé un projet de loi sur la réforme forestière, des préfets de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent font part de leurs attentes sur la gestion des chemins forestiers. [..] Il s’agit d’un enjeu réel, selon le préfet, pour le monde rural. Nous recevons souvent des appels pour aller entretenir des chemins d’accès, mais on n’a tout simplement pas les moyens de donner des dizaines de milliers de dollars à de la machinerie pour aller entretenir des dizaines de kilomètres de chemins, avance l’élu.
12 mai 2025
Nos forêts ne sont pas de simples réserves de matière ligneuse | Plusieurs groupes réagissent au dépôt controversé du projet de loi 97 de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts
Un texte d'opinion dans Le Journal de Montréal
À l’occasion de la fête des Mères, plusieurs groupes écologistes, des communautés autochtones ainsi que des membres de ces communautés de l’Abitibi et du Témiscamingue ont tenu un évènement rassembleur en territoire Anishinabe non cédé, à la forêt Piché-Lemoyne, en réaction au dépôt controversé du projet de loi 97 de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maité Blanchette Vézina.
Un texte d'opinion dans Le Journal de Montréal
À l’occasion de la fête des Mères, plusieurs groupes écologistes, des communautés autochtones ainsi que des membres de ces communautés de l’Abitibi et du Témiscamingue ont tenu un évènement rassembleur en territoire Anishinabe non cédé, à la forêt Piché-Lemoyne, en réaction au dépôt controversé du projet de loi 97 de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maité Blanchette Vézina.
12 mai 2025
Une première édition pour le Grand rassemblement de la forêt
Un article de Radio-Canada
Un événement, qui vise à faire découvrir l’univers de l’industrie forestière et la forêt boréale aux non-initiés, se déroule samedi et dimanche à Dolbeau-Mistassini. La première édition du Grand rassemblement de la forêt se tient au Complexe immobilier St-Jean. Une cinquantaine d’exposants y présentent leur métier, de la machinerie et des équipements en plus de sensibiliser la population à l’importance de l’industrie forestière au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Un article de Radio-Canada
Un événement, qui vise à faire découvrir l’univers de l’industrie forestière et la forêt boréale aux non-initiés, se déroule samedi et dimanche à Dolbeau-Mistassini. La première édition du Grand rassemblement de la forêt se tient au Complexe immobilier St-Jean. Une cinquantaine d’exposants y présentent leur métier, de la machinerie et des équipements en plus de sensibiliser la population à l’importance de l’industrie forestière au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
12 mai 2025
Des mères abitibiennes sortent au front contre la modernisation du régime forestier
Un article dans Le Journal de Québec
De nombreux groupes de femmes et des organismes environnementaux ont profité de la fin de semaine de la fête des Mères pour sensibiliser le gouvernement du Québec aux impacts que le projet de loi de réforme de la gestion des ressources forestières aura sur les générations futures. Des groupes tels que Mères au front, Action boréale ainsi que des femmes membres de la communauté de Lac-Simon ont, entre autres, tenu une manifestation à la forêt Piché-Lemoine, près de Val-d’Or.
Un article dans Le Journal de Québec
De nombreux groupes de femmes et des organismes environnementaux ont profité de la fin de semaine de la fête des Mères pour sensibiliser le gouvernement du Québec aux impacts que le projet de loi de réforme de la gestion des ressources forestières aura sur les générations futures. Des groupes tels que Mères au front, Action boréale ainsi que des femmes membres de la communauté de Lac-Simon ont, entre autres, tenu une manifestation à la forêt Piché-Lemoine, près de Val-d’Or.
8 mai 2025
Entrevue avec le scientifique en chef du Québec qui tire sa révérence
Une entrevue à Zone Économie de Radio-Canada
Le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, quittera son poste cet automne, qu'il occupe depuis 14 ans. Il espère que son successeur saura défendre la science, sous attaque aux États-Unis. « Il faut aider nos collègues américains », dit-il en entrevue à l'émission Zone économie.
Une entrevue à Zone Économie de Radio-Canada
Le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, quittera son poste cet automne, qu'il occupe depuis 14 ans. Il espère que son successeur saura défendre la science, sous attaque aux États-Unis. « Il faut aider nos collègues américains », dit-il en entrevue à l'émission Zone économie.
7 mai 2025
Tordeuse des bourgeons de l’épinette: des millions d’hectares de forêt toujours infestés au Québec
Un article de TVA Nouvelles
La campagne annuelle d'arrosage contre la tordeuse des bourgeons de l'épinette devrait commencer au cours des prochains jours. Le Saguenay−Lac-Saint-Jean est la région la plus touchée au Québec, suivie de près par le Bas-St-Laurent et la Gaspésie.
Un article de TVA Nouvelles
La campagne annuelle d'arrosage contre la tordeuse des bourgeons de l'épinette devrait commencer au cours des prochains jours. Le Saguenay−Lac-Saint-Jean est la région la plus touchée au Québec, suivie de près par le Bas-St-Laurent et la Gaspésie.
7 mai 2025
18 terrains de foot par jour : nos voitures électriques détruisent la forêt
Un article de Reporterre
Rouler à l’électrique accélère la déforestation. C’est la conclusion inquiétante d’une nouvelle étude, publiée le 7 mai par les ONG Fern et Rainforest Foundation Norway. « La future demande européenne en matière de véhicules électriques pourrait faire payer un lourd tribut aux forêts mondiales et aux peuples autochtones », alertent les ONG, alors que les pays de l’OCDE planchent sur un approvisionnement « responsable » en minerais. D’après ce rapport, la poursuite de nos usages actuels, qui s’appuient sur des batteries composées principalement de minerais extraits des sols forestiers, entraînerait la destruction de 118 000 hectares de forêts. Soit l’équivalent de 18 terrains de football par jour au cours des vingt-cinq prochaines années, rien que pour satisfaire la demande européenne.
Un article de Reporterre
Rouler à l’électrique accélère la déforestation. C’est la conclusion inquiétante d’une nouvelle étude, publiée le 7 mai par les ONG Fern et Rainforest Foundation Norway. « La future demande européenne en matière de véhicules électriques pourrait faire payer un lourd tribut aux forêts mondiales et aux peuples autochtones », alertent les ONG, alors que les pays de l’OCDE planchent sur un approvisionnement « responsable » en minerais. D’après ce rapport, la poursuite de nos usages actuels, qui s’appuient sur des batteries composées principalement de minerais extraits des sols forestiers, entraînerait la destruction de 118 000 hectares de forêts. Soit l’équivalent de 18 terrains de football par jour au cours des vingt-cinq prochaines années, rien que pour satisfaire la demande européenne.
6 mai 2025
Une forêt rentable, mais fragilisée?
Un éditorial dans Le Devoir
Les groupes de protection de l’environnement ne sourcillent pas sans raison face au projet de loi 97, qui vise à moderniser le régime forestier. En ouvrant grand la porte à des zones prioritaires où l’industrie sera reine, sans concession possible même de la part du gouvernement pour désigner des aires protégées, Québec crée un inquiétant précédent. La forêt québécoise ne peut pas être bradée au nom de la rentabilité.
Un éditorial dans Le Devoir
Les groupes de protection de l’environnement ne sourcillent pas sans raison face au projet de loi 97, qui vise à moderniser le régime forestier. En ouvrant grand la porte à des zones prioritaires où l’industrie sera reine, sans concession possible même de la part du gouvernement pour désigner des aires protégées, Québec crée un inquiétant précédent. La forêt québécoise ne peut pas être bradée au nom de la rentabilité.
6 mai 2025
La communication secrète des forêts: selon une étude, les vieux arbres préviennent les jeunes du danger
Un article de GEO fr
Comme les animaux, les arbres communiquent. Et lorsqu'un évènement les menace, ils sont capables de prévenir leurs congénères du danger.
Un article de GEO fr
Comme les animaux, les arbres communiquent. Et lorsqu'un évènement les menace, ils sont capables de prévenir leurs congénères du danger.
6 mai 2025
Un sexagénaire perdu en forêt pendant 24 heures est retrouvé grâce à un drone
Un article de Acadie Nouvelle
Un homme de 66 ans qui s'était perdu dans un boisé près de Sainte-Anne-de-Kent a été retrouvé sain et sauf grâce à un système de drone.
Un article de Acadie Nouvelle
Un homme de 66 ans qui s'était perdu dans un boisé près de Sainte-Anne-de-Kent a été retrouvé sain et sauf grâce à un système de drone.
1 mai 2025
Intégrer davantage les drones en forêt
Un article de Informe Affaires
Cartographier des zones brûlées, repérer des accès inaccessibles par voie terrestre, soutenir le reboisement dans les secteurs reculés : les drones prennent désormais une place bien réelle dans les opérations forestières. Ce qui relevait autrefois du prototype s'inscrit aujourd'hui dans la chaîne de production, avec des résultats concrets sur le terrain, notamment dans les régions les plus touchées par les changements climatiques ou la rareté de main-d'œuvre.
Un article de Informe Affaires
Cartographier des zones brûlées, repérer des accès inaccessibles par voie terrestre, soutenir le reboisement dans les secteurs reculés : les drones prennent désormais une place bien réelle dans les opérations forestières. Ce qui relevait autrefois du prototype s'inscrit aujourd'hui dans la chaîne de production, avec des résultats concrets sur le terrain, notamment dans les régions les plus touchées par les changements climatiques ou la rareté de main-d'œuvre.
1 mai 2025
En mai, célébrons le Mois de l’arbre et des forêts!
Un communiqué du MRNF
Les célébrations de la 143e édition du Mois de l’arbre et des forêts au Québec sont lancées. Au cours de tout le mois de mai, un millier d’activités sont organisées aux quatre coins de la province.
Un communiqué du MRNF
Les célébrations de la 143e édition du Mois de l’arbre et des forêts au Québec sont lancées. Au cours de tout le mois de mai, un millier d’activités sont organisées aux quatre coins de la province.
30 avril 2025
Régime forestier | l’Alliance forêt boréale salue le travail de la ministre Vézina
Un article dans Mon Latuque
L’Alliance forêt boréale a salué le travail de la ministre des Ressources naturelles et des forêts Maïté Blanchette Vézina en marge du dépôt du projet de loi 97 sur la modernisation du régime forestier. « Nous tenons, d’entrée de jeu, à souligner l’excellent travail de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, et surtout le respect de son engagement à déposer un projet de loi visant à moderniser le régime forestier actuel, qui ne répond plus aux besoins et aux exigences des différents utilisateurs de la forêt », souligne Yanick Baillargeon, président d’Alliance forêt boréale.
Un article dans Mon Latuque
L’Alliance forêt boréale a salué le travail de la ministre des Ressources naturelles et des forêts Maïté Blanchette Vézina en marge du dépôt du projet de loi 97 sur la modernisation du régime forestier. « Nous tenons, d’entrée de jeu, à souligner l’excellent travail de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, et surtout le respect de son engagement à déposer un projet de loi visant à moderniser le régime forestier actuel, qui ne répond plus aux besoins et aux exigences des différents utilisateurs de la forêt », souligne Yanick Baillargeon, président d’Alliance forêt boréale.
30 avril 2025
Usurpation de l’héritage forestier collectif
Un texte d'opnion de Henri Jacob et Richard Desjardins, Action boréale
Sans véritable consultation des réels propriétaires et actionnaires de notre patrimoine forestier, la ministre Maïté Vézina du MRNF s’apprête à détourner le tiers de notre capital nature au profit des forestières, dont plusieurs sont de propriété étrangère. Contrairement à la dernière modernisation du régime forestier, le gouvernement précédent avait créé une commission publique, en 2003, où tous les intervenants concernés ont eu l’opportunité de faire valoir leurs craintes et appréciations. Présidée par Guy Coulombe, connu comme un grand serviteur de l’État, cette commission avait pour but de rassurer la population quant à la gestion de ses forêts publiques.
Un texte d'opnion de Henri Jacob et Richard Desjardins, Action boréale
Sans véritable consultation des réels propriétaires et actionnaires de notre patrimoine forestier, la ministre Maïté Vézina du MRNF s’apprête à détourner le tiers de notre capital nature au profit des forestières, dont plusieurs sont de propriété étrangère. Contrairement à la dernière modernisation du régime forestier, le gouvernement précédent avait créé une commission publique, en 2003, où tous les intervenants concernés ont eu l’opportunité de faire valoir leurs craintes et appréciations. Présidée par Guy Coulombe, connu comme un grand serviteur de l’État, cette commission avait pour but de rassurer la population quant à la gestion de ses forêts publiques.
28 avril 2025
Se détacher de l’arbre pour regarder la forêt
Un texte d'opnion de Maïté Blanchette Vézina dans le Journal de Montréal
La plus grande force des mythes, c’est leur persistance. Vous avez beau les déconstruire, ils s’accrochent à l’imaginaire collectif. La forêt n’échappe pas à cette règle. D’hier à aujourd’hui, elle est le théâtre de récits puissants: autrefois, c’étaient les canots volants; aujourd’hui, c’est l’idée tenace d’une industrie forestière qui raserait tout sur son passage.
Un texte d'opnion de Maïté Blanchette Vézina dans le Journal de Montréal
La plus grande force des mythes, c’est leur persistance. Vous avez beau les déconstruire, ils s’accrochent à l’imaginaire collectif. La forêt n’échappe pas à cette règle. D’hier à aujourd’hui, elle est le théâtre de récits puissants: autrefois, c’étaient les canots volants; aujourd’hui, c’est l’idée tenace d’une industrie forestière qui raserait tout sur son passage.
28 avril 2025
Quand les lacs absorbent les cicatrices des feux de forêt
Un article de UdeM Nouvelles
Les travaux de recherche de Mathilde Bélair révèlent l'effet méconnu des incendies forestiers sur le cycle du carbone dans les lacs. La fumée s'est dissipée depuis longtemps, les flammes sont éteintes, mais l'empreinte des feux de forêt persiste silencieusement sous la surface des lacs. C'est ce que révèle une étude menée par Mathilde Bélair, du Département de sciences biologiques de l'Université de Montréal, dont les résultats sont publiés dans la revue Communications Earth & Environment.
Un article de UdeM Nouvelles
Les travaux de recherche de Mathilde Bélair révèlent l'effet méconnu des incendies forestiers sur le cycle du carbone dans les lacs. La fumée s'est dissipée depuis longtemps, les flammes sont éteintes, mais l'empreinte des feux de forêt persiste silencieusement sous la surface des lacs. C'est ce que révèle une étude menée par Mathilde Bélair, du Département de sciences biologiques de l'Université de Montréal, dont les résultats sont publiés dans la revue Communications Earth & Environment.
28 avril 2025
«Échec annoncé»: la modernisation du régime forestier vivement contestée par plusieurs groupes et syndicats. Neuf organisations font front commun pour s’attaquer au projet de loi
Un article dans le Journal de Montréal
Une coalition de neuf groupes environnementaux, organisations syndicales et gestionnaires de zecs et de pourvoiries s’attaque vivement à la réforme du régime forestier proposée par le gouvernement Legault.
Un article dans le Journal de Montréal
Une coalition de neuf groupes environnementaux, organisations syndicales et gestionnaires de zecs et de pourvoiries s’attaque vivement à la réforme du régime forestier proposée par le gouvernement Legault.
28 avril 2025
Une vaste coalition dénonce l’échec annoncé de la réforme du régime forestier
Un communiqué de la CSN
"Le projet de loi de la ministre Blanchette Vézina laisse malheureusement 100 % de la planification dans les mains de l’industrie forestière. Dès le rapport Coulombe, qui a suivi le film L’erreur boréale, on savait déjà que c’était une erreur", Dominic Tourigny, vice-président de la FIM–CSN.
Un communiqué de la CSN
"Le projet de loi de la ministre Blanchette Vézina laisse malheureusement 100 % de la planification dans les mains de l’industrie forestière. Dès le rapport Coulombe, qui a suivi le film L’erreur boréale, on savait déjà que c’était une erreur", Dominic Tourigny, vice-président de la FIM–CSN.
Une vaste coalition rassemblant un large éventail d’acteurs de la forêt – groupes environnementaux, organisations syndicales représentant les travailleuses et les travailleurs de la filière forestière québécoise, dont la FIM–CSN, gestionnaires de zecs et de pourvoiries – condamne le projet de loi no 97 déposé par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina. Les organisations parlent d’une même voix pour dénoncer l’échec annoncé de la réforme du régime forestier si ce projet de loi, longuement attendu, n’est pas revu en profondeur, puisqu’il ne répond ni aux enjeux actuels ni aux défis à venir.
28 avril 2025
Mashteuiatsh déçue de la proposition de régime forestier
Un article de Radio-Canada
La refonte du régime forestier que le gouvernement du Québec a présentée cette semaine déçoit les communautés autochtones de Mashteuiatsh, au Lac-Saint-Jean, et d’Essipit, sur la Côte-Nord. Ces voix s’ajoutent à d’autres, dont celle du grand chef de la Nation atikamekw, Constant Awashish.
Un article de Radio-Canada
La refonte du régime forestier que le gouvernement du Québec a présentée cette semaine déçoit les communautés autochtones de Mashteuiatsh, au Lac-Saint-Jean, et d’Essipit, sur la Côte-Nord. Ces voix s’ajoutent à d’autres, dont celle du grand chef de la Nation atikamekw, Constant Awashish.
28 avril 2025
Québec « chasse » les usagers de leur forêt pour l’exploiter!
Un article du Journal Le Soir
Avant de déposer son nouveau régime forestier, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, aurait dû regarder derrière l’arbre qui lui cachait une forêt publique où s’active des milliers de gestionnaires fauniques et d’usagers, des territoires structurés; 63 zecs et 500 pourvoiries, notamment. Si Québec déroule le tapis rouge à l’industrie forestière, les gestionnaires de la forêt publique sont rouges de colère.
Un article du Journal Le Soir
Avant de déposer son nouveau régime forestier, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, aurait dû regarder derrière l’arbre qui lui cachait une forêt publique où s’active des milliers de gestionnaires fauniques et d’usagers, des territoires structurés; 63 zecs et 500 pourvoiries, notamment. Si Québec déroule le tapis rouge à l’industrie forestière, les gestionnaires de la forêt publique sont rouges de colère.
24 avril 2025
Modernisation du régime forestier: les Premières Nations anticipent une relation «très difficile» avec Québec dans les prochaines années
Un article de TVA Nouvelles
Le projet de loi pour moderniser le régime forestier déplait au plus haut point aux Premières Nations, qui estiment ne pas avoir été écoutées par le gouvernement Legault et anticipent de fortes tensions à court et moyen terme avec Québec. «C'est une relation très difficile en ce moment avec ce gouvernement-là de la CAQ, qui semble vouloir encore une fois ignorer les droits de l'ensemble des Premiers peuples», a affirmé le chef de la Nation Anishnabe du Lac-Simon, Lucien Wabanonik, en entrevue au TVA Nouvelles.
Un article de TVA Nouvelles
Le projet de loi pour moderniser le régime forestier déplait au plus haut point aux Premières Nations, qui estiment ne pas avoir été écoutées par le gouvernement Legault et anticipent de fortes tensions à court et moyen terme avec Québec. «C'est une relation très difficile en ce moment avec ce gouvernement-là de la CAQ, qui semble vouloir encore une fois ignorer les droits de l'ensemble des Premiers peuples», a affirmé le chef de la Nation Anishnabe du Lac-Simon, Lucien Wabanonik, en entrevue au TVA Nouvelles.
24 avril 2025
Modernisation du régime forestier: les pourvoiries en colère
Un article dans Le Journal de Montréal
En interdisant les installations de chasse et de pêche sur les terres publiques pour privilégier les coupes forestières, le gouvernement Legault fait fi de ce «moteur économique» pour le territoire québécois, dénonce, en colère, la Fédération des pourvoiries du Québec.
Un article dans Le Journal de Montréal
En interdisant les installations de chasse et de pêche sur les terres publiques pour privilégier les coupes forestières, le gouvernement Legault fait fi de ce «moteur économique» pour le territoire québécois, dénonce, en colère, la Fédération des pourvoiries du Québec.
24 avril 2025
Québec veut réserver des portions de territoire à l’industrie forestière
Un article dans Le Devoir
Québec veut réserver de larges pans de territoire à l’industrie forestière afin de faire grimper le volume de bois récolté dans certaines régions, potentiellement au détriment de futurs projets d’aires protégées. La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a déposé mercredi sa réforme fort attendue du régime forestier. S’il est adopté tel quel, le projet de loi 97 « visant principalement à moderniser le régime forestier » créera des « zones d’aménagement forestier prioritaire », où l’industrie du bois aura, comme le nom le dit, priorité sur l’utilisation du territoire.
Un article dans Le Devoir
Québec veut réserver de larges pans de territoire à l’industrie forestière afin de faire grimper le volume de bois récolté dans certaines régions, potentiellement au détriment de futurs projets d’aires protégées. La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a déposé mercredi sa réforme fort attendue du régime forestier. S’il est adopté tel quel, le projet de loi 97 « visant principalement à moderniser le régime forestier » créera des « zones d’aménagement forestier prioritaire », où l’industrie du bois aura, comme le nom le dit, priorité sur l’utilisation du territoire.
24 avril 2025
Nouveau régime forestier: Foresterie intensive et régionalisation au menu
Un article dans La Voix de l'Est
Produire plus de bois dans certaines zones pour conserver davantage de forêts ailleurs. Tel est l’objectif du projet de loi déposé pour réformer le régime forestier, qui vise par ailleurs à régionaliser les décisions tout en implantant une planification forestière sur une période de 10 ans. De plus, le bureau de mise en marché des bois sera aboli et le prix du bois sera soumis à une tarification dynamique.
Un article dans La Voix de l'Est
Produire plus de bois dans certaines zones pour conserver davantage de forêts ailleurs. Tel est l’objectif du projet de loi déposé pour réformer le régime forestier, qui vise par ailleurs à régionaliser les décisions tout en implantant une planification forestière sur une période de 10 ans. De plus, le bureau de mise en marché des bois sera aboli et le prix du bois sera soumis à une tarification dynamique.
24 avril 2025
Modernisation du régime forestier: Québec déroule le tapis rouge à l’industrie forestière
Un article dans Le Journal de Québec
Québec déroule le tapis rouge aux entreprises forestières en créant de nouvelles zones qui leur seront réservées à 100%, où il sera interdit de pratiquer des activités de plein air ou de protéger un territoire. En pleine guerre commerciale avec les États-Unis, l’objectif avoué est d’accroître le volume des coupes forestières.
Un article dans Le Journal de Québec
Québec déroule le tapis rouge aux entreprises forestières en créant de nouvelles zones qui leur seront réservées à 100%, où il sera interdit de pratiquer des activités de plein air ou de protéger un territoire. En pleine guerre commerciale avec les États-Unis, l’objectif avoué est d’accroître le volume des coupes forestières.
23 avril 2025
Un danger plane sur les chauves-souris
Un article dans Actualités UQAM
Les pesticides menacent la santé de ces mammifères volants essentiels aux écosystèmes.
Un article dans Actualités UQAM
Les pesticides menacent la santé de ces mammifères volants essentiels aux écosystèmes.
23 avril 2025
Debout pour la science!
Un article dans Actualités UQAM
Les attaques contre la liberté académique, notamment aux États-Unis, ont fait l’objet d’un colloque international à l’UQAM.
Un article dans Actualités UQAM
Les attaques contre la liberté académique, notamment aux États-Unis, ont fait l’objet d’un colloque international à l’UQAM.
22 avril 2025
Cinq avancées en environnement au Québec
Un article dans Le Devoir
À l’occasion du Jour de la Terre, Le Devoir vous propose une sélection de cinq avancées environnementales survenues dans la dernière année au Québec. Et puisqu’une médaille cache toujours son envers, nous vous avons également préparé une compilation de cinq reculs récents : Le vélo gagne en popularité,
Un article dans Le Devoir
À l’occasion du Jour de la Terre, Le Devoir vous propose une sélection de cinq avancées environnementales survenues dans la dernière année au Québec. Et puisqu’une médaille cache toujours son envers, nous vous avons également préparé une compilation de cinq reculs récents : Le vélo gagne en popularité,
Le chauffage fossile régresse, Les aires protégées populaires, Place aux véhicules électriques, Le marché du carbone se muscle.
22 avril 2025
Cinq reculs environnementaux au Québec
Un article dans Le Devoir
À l’occasion du Jour de la Terre, Le Devoir vous propose une sélection de cinq reculs environnementaux survenus dans la dernière année au Québec. Et puisqu’une médaille cache toujours son envers, nous vous avons également préparé une compilation de cinq avancées récentes : Les caribous en mal de protection, Feu vert à Stablex, Vers une relance du projet GNL Québec ?, La saga sur le troisième lien se poursuit, Les lois sous la loupe.
Un article dans Le Devoir
À l’occasion du Jour de la Terre, Le Devoir vous propose une sélection de cinq reculs environnementaux survenus dans la dernière année au Québec. Et puisqu’une médaille cache toujours son envers, nous vous avons également préparé une compilation de cinq avancées récentes : Les caribous en mal de protection, Feu vert à Stablex, Vers une relance du projet GNL Québec ?, La saga sur le troisième lien se poursuit, Les lois sous la loupe.
22 avril 2025
«C’est une marque du passé»: l’abattage de six des plus grands arbres à Montréal sème la consternation
Un article dans Le Journal de Montréal
L’abattage de six arbres emblématiques du parc La Fontaine, parmi les plus anciens et les plus hauts à Montréal, sème la consternation auprès de certains citoyens. «C’est une marque du passé, ils ont traversé la Deuxième Guerre mondiale», s’insurge Gaël Gauthier-Minville, qui habite tout près du parc La Fontaine et dont l’enfance a été bercée par les peupliers de Caroline. La Ville a récemment annoncé que six d’entre eux seraient abattus dès ce mardi, si la météo le permettait. Deux autres seront abattus d’ici trois ans.
Un article dans Le Journal de Montréal
L’abattage de six arbres emblématiques du parc La Fontaine, parmi les plus anciens et les plus hauts à Montréal, sème la consternation auprès de certains citoyens. «C’est une marque du passé, ils ont traversé la Deuxième Guerre mondiale», s’insurge Gaël Gauthier-Minville, qui habite tout près du parc La Fontaine et dont l’enfance a été bercée par les peupliers de Caroline. La Ville a récemment annoncé que six d’entre eux seraient abattus dès ce mardi, si la météo le permettait. Deux autres seront abattus d’ici trois ans.
22 avril 2025
Droits autochtones: une délégation dénonce le Québec à l'ONU
Un article dans msn
Des représentants de Premières Nations ont dénoncé l'inaction du Québec quant à la mise en œuvre des droits autochtones lors de la 24e session de l’Instance permanente des Nations unies sur les questions autochtones (UNPFII), qui se déroule cette semaine au siège social de l'ONU à New York.
Un article dans msn
Des représentants de Premières Nations ont dénoncé l'inaction du Québec quant à la mise en œuvre des droits autochtones lors de la 24e session de l’Instance permanente des Nations unies sur les questions autochtones (UNPFII), qui se déroule cette semaine au siège social de l'ONU à New York.
16 avril 2025
Forêts québécoises Un premier incendie tardif en 2025
Un article dans La Presse
Le premier incendie de forêt de l’année s’est déclenché mercredi en fin de journée à Sutton, en Estrie, avant d’être rapidement maîtrisé, marquant le début de la saison des brasiers au Québec. « C’est un feu de camp laissé sans surveillance qui s’est propagé à la forêt », dans le secteur du mont Écho, a expliqué à La Presse Marc-Antoine Fortier, directeur adjoint du service de sécurité publique et d’incendie de la ville. [..] Le début de la saison des incendies de forêt survient plus tard qu’à l’habitude, cette année, puisque le Québec comptait en moyenne 17 incendies de forêt à pareille date dans les 10 dernières années, indique la SOPFEU. « On connaît un printemps tardif », qui a laissé le sol humide ou couvert de neige plus longtemps que par les années passées, explique Josée Poitras.
Un article dans La Presse
Le premier incendie de forêt de l’année s’est déclenché mercredi en fin de journée à Sutton, en Estrie, avant d’être rapidement maîtrisé, marquant le début de la saison des brasiers au Québec. « C’est un feu de camp laissé sans surveillance qui s’est propagé à la forêt », dans le secteur du mont Écho, a expliqué à La Presse Marc-Antoine Fortier, directeur adjoint du service de sécurité publique et d’incendie de la ville. [..] Le début de la saison des incendies de forêt survient plus tard qu’à l’habitude, cette année, puisque le Québec comptait en moyenne 17 incendies de forêt à pareille date dans les 10 dernières années, indique la SOPFEU. « On connaît un printemps tardif », qui a laissé le sol humide ou couvert de neige plus longtemps que par les années passées, explique Josée Poitras.
16 avril 2025
C’est la fin pour des peupliers centenaires du parc La Fontaine
Un article dans Le Devoir
Les pique-niqueurs du parc La Fontaine auront moins d’ombre cet été. Six des peupliers de Caroline centenaires qui bordent le parc seront abattus au printemps 2025, et 13 autres seront élagués. La Ville de Montréal en a fait l’annonce officielle mercredi et les travaux devraient débuter dès la semaine prochaine, si les conditions météorologiques le permettent. Pour compenser, six chênes rouges seront plantés à l’automne pour rétablir la canopée du parc. Deux autres peupliers doivent être coupés d’ici trois ans.
Un article dans Le Devoir
Les pique-niqueurs du parc La Fontaine auront moins d’ombre cet été. Six des peupliers de Caroline centenaires qui bordent le parc seront abattus au printemps 2025, et 13 autres seront élagués. La Ville de Montréal en a fait l’annonce officielle mercredi et les travaux devraient débuter dès la semaine prochaine, si les conditions météorologiques le permettent. Pour compenser, six chênes rouges seront plantés à l’automne pour rétablir la canopée du parc. Deux autres peupliers doivent être coupés d’ici trois ans.
11 avril 2025
Une mobilisation régionale à la défense du caribou et du territoire de la Gaspésie
Un texte d'opinion dans le Journal de Montréal
Nous, 425 citoyens et citoyennes de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent, élevons nos voix pour demander au gouvernement du Québec de ne pas laisser disparaître le caribou de la Gaspésie et d’avoir le courage d’assumer ses obligations légales envers la nature. Nous nous joignons aux organismes nationaux qui plaident pour la protection du caribou montagnard, dont Nature Québec, pour exprimer notre désarroi face au manque d’écoute du gouvernement envers la science et la société civile.
Un texte d'opinion dans le Journal de Montréal
Nous, 425 citoyens et citoyennes de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent, élevons nos voix pour demander au gouvernement du Québec de ne pas laisser disparaître le caribou de la Gaspésie et d’avoir le courage d’assumer ses obligations légales envers la nature. Nous nous joignons aux organismes nationaux qui plaident pour la protection du caribou montagnard, dont Nature Québec, pour exprimer notre désarroi face au manque d’écoute du gouvernement envers la science et la société civile.
7 avril 2025
Des drones pour détecter plus tôt les incendies de forêt
Un article dans Le Devoir
Détecter les incendies de forêt au moment même où ils naissent ? C’est ce qu’espère une équipe de chercheurs de l’Université Concordia grâce à une technologie qui marie l’usage de drones autonomes et l’intelligence artificielle. La détection joue un rôle primordial dans la lutte contre les feux de forêt, explique au Devoir Youmin Zhang, professeur au Département de génie mécanique, industriel et aérospatial de l’Université Concordia. Le chercheur est un des coauteurs d’un article paru dans IEEE Transactions on Industrial Electronics, dans lequel l’équipe dévoile une méthode innovante afin de miser sur cette détection précoce.
Un article dans Le Devoir
Détecter les incendies de forêt au moment même où ils naissent ? C’est ce qu’espère une équipe de chercheurs de l’Université Concordia grâce à une technologie qui marie l’usage de drones autonomes et l’intelligence artificielle. La détection joue un rôle primordial dans la lutte contre les feux de forêt, explique au Devoir Youmin Zhang, professeur au Département de génie mécanique, industriel et aérospatial de l’Université Concordia. Le chercheur est un des coauteurs d’un article paru dans IEEE Transactions on Industrial Electronics, dans lequel l’équipe dévoile une méthode innovante afin de miser sur cette détection précoce.
5 avril 2025
Québec pourrait attirer des chercheurs qui fuient les États-Unis
Un article dans La Presse
Le gouvernement Legault étudie la possibilité de tirer profit des coupes massives en recherche aux États-Unis en finançant le recrutement de chercheurs en terre américaine, a appris La Presse. [..] Le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, suggère de concentrer d’abord les efforts de recrutement sur les chercheurs québécois et canadiens qui travaillent aux États-Unis. Il appelle les différents ordres de gouvernement à ne pas laisser passer une telle occasion. « Il faut trouver de nouvelles sources de financement, et il y a des demandes qui ont été faites », affirme-t-il.
Un article dans La Presse
Le gouvernement Legault étudie la possibilité de tirer profit des coupes massives en recherche aux États-Unis en finançant le recrutement de chercheurs en terre américaine, a appris La Presse. [..] Le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, suggère de concentrer d’abord les efforts de recrutement sur les chercheurs québécois et canadiens qui travaillent aux États-Unis. Il appelle les différents ordres de gouvernement à ne pas laisser passer une telle occasion. « Il faut trouver de nouvelles sources de financement, et il y a des demandes qui ont été faites », affirme-t-il.
3 avril 2025
Feux de forêt : les banlieues d’Halifax réclament davantage de voies d’évacuation
Un article de Radio-Canada
Environ deux ans après que les incendies de forêt ont détruit 200 structures, dont 151 maisons, dans la banlieue ouest d’Halifax, les habitants s’inquiètent de la lenteur de la ville à créer davantage de moyens de fuite en cas de retour des flammes.
Un article de Radio-Canada
Environ deux ans après que les incendies de forêt ont détruit 200 structures, dont 151 maisons, dans la banlieue ouest d’Halifax, les habitants s’inquiètent de la lenteur de la ville à créer davantage de moyens de fuite en cas de retour des flammes.
3 avril 2025
La nature : puits de beauté, de santé et de carbone
Un contenu partenaire de Nature Québec dans Le Devoir
On la contemple, on y randonne, on y campe… La nature énergise autant qu’elle recentre et apaise. En fait, elle nous procure tant de bénéfices que notre professionnel de la santé peut depuis quelques années nous prescrire formellement du temps passé en nature pour améliorer notre état de santé et de bien-être. Mais à toutes les raisons qu’on a déjà de l’aimer et de la préserver s’en ajoute une, fort importante : la nature est un très précieux puits de carbone.
Un contenu partenaire de Nature Québec dans Le Devoir
On la contemple, on y randonne, on y campe… La nature énergise autant qu’elle recentre et apaise. En fait, elle nous procure tant de bénéfices que notre professionnel de la santé peut depuis quelques années nous prescrire formellement du temps passé en nature pour améliorer notre état de santé et de bien-être. Mais à toutes les raisons qu’on a déjà de l’aimer et de la préserver s’en ajoute une, fort importante : la nature est un très précieux puits de carbone.
3 avril 2025
Dans les forêts allemandes, un drône équipé d'IA pour traquer les incendies
Un article dans France24
A la lisière d'une forêt de l'est de l'Allemagne, un globe vert recèle une technologie de pointe conçue pour empêcher les incendies de forêt. Ils sont de plus en plus fréquents et destructeurs, y compris dans ce pays septentrional, à cause de l'augmentation des températures mondiales. Cette installation, semblable à une balle de golf géante recouverte de panneaux solaires, abrite un drone doté d'une intelligence artificielle qui sera un jour capable, selon son créateur, de détecter et d'éteindre les feux de forêt en à peine quelques minutes.
Un article dans France24
A la lisière d'une forêt de l'est de l'Allemagne, un globe vert recèle une technologie de pointe conçue pour empêcher les incendies de forêt. Ils sont de plus en plus fréquents et destructeurs, y compris dans ce pays septentrional, à cause de l'augmentation des températures mondiales. Cette installation, semblable à une balle de golf géante recouverte de panneaux solaires, abrite un drone doté d'une intelligence artificielle qui sera un jour capable, selon son créateur, de détecter et d'éteindre les feux de forêt en à peine quelques minutes.
2 avril 2025
Québec est prêt à déposer son projet de loi visant à réformer le régime forestier
Un article de Radio-Canada
Le dépôt du projet de loi visant à réformer le régime forestier devrait se faire d’ici quelques jours. C'est ce que la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a annoncé mardi à Saint-Gédéon dans le cadre de son discours d'ouverture du Rendez-vous des communautés forestières. J’ai toujours travaillé depuis le début en me disant qu’il faudrait qu’il soit déposé pour hier. C’est encore plus vrai avec le contexte de menaces de tarifs, du conflit du bois d’œuvre qui perdure. Soyez assuré que ce que je fais en ce moment, c’est d’y aller le plus rapidement possible en gardant en tête d’avoir un projet le plus consensuel possible pour avoir des changements qui soient positifs et pérennes, a-t-elle précisé aux journalistes, après son allocution.
Un article de Radio-Canada
Le dépôt du projet de loi visant à réformer le régime forestier devrait se faire d’ici quelques jours. C'est ce que la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a annoncé mardi à Saint-Gédéon dans le cadre de son discours d'ouverture du Rendez-vous des communautés forestières. J’ai toujours travaillé depuis le début en me disant qu’il faudrait qu’il soit déposé pour hier. C’est encore plus vrai avec le contexte de menaces de tarifs, du conflit du bois d’œuvre qui perdure. Soyez assuré que ce que je fais en ce moment, c’est d’y aller le plus rapidement possible en gardant en tête d’avoir un projet le plus consensuel possible pour avoir des changements qui soient positifs et pérennes, a-t-elle précisé aux journalistes, après son allocution.
2 avril 2025
Au milieu de la forêt tanzanienne, un géant millénaire a surpris les scientifiques
Un article dans GEO.fr
Des botanistes ont identifié en Tanzanie une espèce d'arbre monumental, pouvant vivre jusqu'à 3 000 ans. À peine découverts par l'Homme, ces trésors végétaux sont déjà menacés par son activité.
Un article dans GEO.fr
Des botanistes ont identifié en Tanzanie une espèce d'arbre monumental, pouvant vivre jusqu'à 3 000 ans. À peine découverts par l'Homme, ces trésors végétaux sont déjà menacés par son activité.
26 mars 2025
Caribou : les projets pilotes de Québec ont du plomb dans l’aile
Un article de Radio-Canada
Des délais plombent la stratégie de protection du caribou forestier depuis près d'une décennie au Québec. Les projets pilotes promis par le Québec pour assurer une meilleure protection de l'habitat du caribou forestier et montagnard tardent à se matérialiser. Naviguant sans échéancier, le ministre de l'Environnement, Benoit Charette, n'a pas l'intention d'imposer quoi que ce soit « s'il n'y a pas d'adhésion » dans les communautés concernées. Pressé d'agir par Ottawa, qui menaçait la province d'une intervention sur son territoire, le Québec a annoncé l'an dernier deux projets pilotes ainsi qu'une série de mesures intérimaires en attendant un plan complet pour l'ensemble des hardes québécoises.
Un article de Radio-Canada
Des délais plombent la stratégie de protection du caribou forestier depuis près d'une décennie au Québec. Les projets pilotes promis par le Québec pour assurer une meilleure protection de l'habitat du caribou forestier et montagnard tardent à se matérialiser. Naviguant sans échéancier, le ministre de l'Environnement, Benoit Charette, n'a pas l'intention d'imposer quoi que ce soit « s'il n'y a pas d'adhésion » dans les communautés concernées. Pressé d'agir par Ottawa, qui menaçait la province d'une intervention sur son territoire, le Québec a annoncé l'an dernier deux projets pilotes ainsi qu'une série de mesures intérimaires en attendant un plan complet pour l'ensemble des hardes québécoises.
21 mars 2025
Le carbone stocké en plus grande quantité dans les sols et sédiments que dans les arbres
Un article de La Presse
Le carbone émis par l’humanité est désormais stocké en plus grande quantité et plus durablement dans les sols, le fond des rivières ou les végétaux en décomposition que dans les arbres, jusqu’ici considérés comme le principal puits de carbone terrestre, affirme une étude publiée jeudi.
Un article de La Presse
Le carbone émis par l’humanité est désormais stocké en plus grande quantité et plus durablement dans les sols, le fond des rivières ou les végétaux en décomposition que dans les arbres, jusqu’ici considérés comme le principal puits de carbone terrestre, affirme une étude publiée jeudi.
21 mars 2025
Le règlement sur l’abattage d’arbres dans la MRC des Sources est « similaire » à d’autres
Un article de Radio-Canada
Le nouveau règlement encadrant les activités forestières de la MRC des Sources suscite une levée de boucliers des producteurs forestiers depuis des mois, mais est-il radicalement plus contraignant que d’autres? Pas nécessairement, selon certains intervenants. Le règlement serait même similaire à celui de Coaticook, qualifié en 2015 de l’un des meilleurs sur le territoire du sud du Québec, par le Syndicat des Producteurs forestiers du sud du Québec.
Un article de Radio-Canada
Le nouveau règlement encadrant les activités forestières de la MRC des Sources suscite une levée de boucliers des producteurs forestiers depuis des mois, mais est-il radicalement plus contraignant que d’autres? Pas nécessairement, selon certains intervenants. Le règlement serait même similaire à celui de Coaticook, qualifié en 2015 de l’un des meilleurs sur le territoire du sud du Québec, par le Syndicat des Producteurs forestiers du sud du Québec.
21 mars 2025
Opération de sauvetage sans précédent pour un habitat de la rainette à Longueuil
Un article dans Le Devoir
La Ville a élaboré un projet pour terminer un tronçon routier tout en protégeant des milieux humides. Aux prises avec les dégâts de travaux routiers qui ont détruit un habitat essentiel à la survie de la rainette faux-grillon, la Ville de Longueuil terminera le chantier, mais en aménageant l’infrastructure de façon à protéger ce petit batracien de plus en plus menacé en raison de la disparition des milieux humides. Le Devoir a eu droit à une présentation du projet.
Un article dans Le Devoir
La Ville a élaboré un projet pour terminer un tronçon routier tout en protégeant des milieux humides. Aux prises avec les dégâts de travaux routiers qui ont détruit un habitat essentiel à la survie de la rainette faux-grillon, la Ville de Longueuil terminera le chantier, mais en aménageant l’infrastructure de façon à protéger ce petit batracien de plus en plus menacé en raison de la disparition des milieux humides. Le Devoir a eu droit à une présentation du projet.
21 mars 2025
Changement climatique : les forêts ont-elles besoin de nous pour s’adapter ?
Un article dans The Conversation
Les scientifiques constatent que le vivant, à l’échelle de l’arbre, de la forêt ou de l’essence d’arbre, est capable d’étonnants processus d’adaptation. Mais ces derniers suffiront-ils face au changement climatique en cours ?
Un article dans The Conversation
Les scientifiques constatent que le vivant, à l’échelle de l’arbre, de la forêt ou de l’essence d’arbre, est capable d’étonnants processus d’adaptation. Mais ces derniers suffiront-ils face au changement climatique en cours ?
21 mars 2025
Le refuge : l'histoire d'une forêt miraculeusement épargnée
Un reportage de France Inter
Dans les dix dernières minutes de l'émission, la Une des sciences avec Hervé Poirier, co-rédacteur en chef du magazine Epsiloon, qui parle d’une forêt miraculeusement épargnée lors de la plus grande extinction de l’histoire de la vie de notre planète, et vos messages laissés sur le répondeur. Cela s’est passé il y a 252 millions d’années. 251 millions 900 mille pour être plus précis. Ce fut terrible - un changement d’ère : on est passé de l'ère primaire à l’ère secondaire. Probablement à cause de l’éruption de super-volcans en Sibérie.
Un reportage de France Inter
Dans les dix dernières minutes de l'émission, la Une des sciences avec Hervé Poirier, co-rédacteur en chef du magazine Epsiloon, qui parle d’une forêt miraculeusement épargnée lors de la plus grande extinction de l’histoire de la vie de notre planète, et vos messages laissés sur le répondeur. Cela s’est passé il y a 252 millions d’années. 251 millions 900 mille pour être plus précis. Ce fut terrible - un changement d’ère : on est passé de l'ère primaire à l’ère secondaire. Probablement à cause de l’éruption de super-volcans en Sibérie.
20 mars 2025
Agir en temps de crise en misant sur la science
Un texte d'opinion du FRQ dans Le Devoir
Rémi Quirion, scientifique en chef du Québec, et Mona Nemer, conseillère scientifique en chef du Canada, soulignent l'importance de la science en période de crise. Depuis deux mois, la communauté scientifique aux États-Unis fait face à des défis majeurs, tels que des coupes budgétaires et des censures, souvent motivés par des idéologies politiques. Cette situation inquiète les chercheurs et les chercheuses et ralentit les progrès dans des domaines cruciaux comme les changements climatiques, la santé publique et les sciences sociales. En réponse, le Canada et le Québec ont l'opportunité de renforcer leurs systèmes de recherche et d'innovation, en attirant les talents et en affirmant leur engagement envers l'inclusion et la diversité. La diplomatie scientifique pourrait également jouer un rôle clé dans les relations canado-américaines, en soutenant les politiques publiques et les interactions internationales.
Un texte d'opinion du FRQ dans Le Devoir
Rémi Quirion, scientifique en chef du Québec, et Mona Nemer, conseillère scientifique en chef du Canada, soulignent l'importance de la science en période de crise. Depuis deux mois, la communauté scientifique aux États-Unis fait face à des défis majeurs, tels que des coupes budgétaires et des censures, souvent motivés par des idéologies politiques. Cette situation inquiète les chercheurs et les chercheuses et ralentit les progrès dans des domaines cruciaux comme les changements climatiques, la santé publique et les sciences sociales. En réponse, le Canada et le Québec ont l'opportunité de renforcer leurs systèmes de recherche et d'innovation, en attirant les talents et en affirmant leur engagement envers l'inclusion et la diversité. La diplomatie scientifique pourrait également jouer un rôle clé dans les relations canado-américaines, en soutenant les politiques publiques et les interactions internationales.
18 mars 2025
Réforme du régime forestier : Non à une répétition de l’erreur boréale !
Un texte d'opinion dans La Presse
Les nombreux cosignataires de cette lettre estiment que la réforme que prépare la ministre Blanchette Vézina met en péril une richesse essentielle, nos forêts. « La réforme abandonnerait l’aménagement écosystémique, un net recul par rapport aux avancées depuis un quart de siècle », soulignent les cosignataires.
Un texte d'opinion dans La Presse
Les nombreux cosignataires de cette lettre estiment que la réforme que prépare la ministre Blanchette Vézina met en péril une richesse essentielle, nos forêts. « La réforme abandonnerait l’aménagement écosystémique, un net recul par rapport aux avancées depuis un quart de siècle », soulignent les cosignataires.
14 mars 2025
Une partie de la « forêt magique » de Pointe-au-Père protégée
Un article du Journal Le Soir
Le conseil municipal de Rimouski a adopté un projet de règlement afin de protéger une partie du boisé de Pointe-au-Père, aussi appelée la « forêt magique », pour y créer une zone de conservation. Le projet de règlement a été adopté lors d’une séance spéciale du conseil municipal, le 5 mars. Il vise à modifier le plan d’urbanisme en conséquence. « Nous voulons concéder environ la moitié du boisé de Pointe-au-Père pour en faire une zone de conservation. On y trouve notamment une tourbière. On veut le zoner conservation, ce qui veut dire qu’aucun développement n’y sera possible », indique le maire de Rimouski, Guy Caron. Le projet vise à interdire toute construction domiciliaire dans la partie sud de la petite forêt située près de l’intersection du boulevard Sainte-Anne et de la rue des Tournesols, dans le district de Pointe-au-Père, là où la Ville souhaite développer un nouveau quartier résidentiel.
Un article du Journal Le Soir
Le conseil municipal de Rimouski a adopté un projet de règlement afin de protéger une partie du boisé de Pointe-au-Père, aussi appelée la « forêt magique », pour y créer une zone de conservation. Le projet de règlement a été adopté lors d’une séance spéciale du conseil municipal, le 5 mars. Il vise à modifier le plan d’urbanisme en conséquence. « Nous voulons concéder environ la moitié du boisé de Pointe-au-Père pour en faire une zone de conservation. On y trouve notamment une tourbière. On veut le zoner conservation, ce qui veut dire qu’aucun développement n’y sera possible », indique le maire de Rimouski, Guy Caron. Le projet vise à interdire toute construction domiciliaire dans la partie sud de la petite forêt située près de l’intersection du boulevard Sainte-Anne et de la rue des Tournesols, dans le district de Pointe-au-Père, là où la Ville souhaite développer un nouveau quartier résidentiel.
13 mars 2025
Faune : des scientifiques ont entrepris de réaliser un inventaire sonore des forêts
Un article de FranceInfo
Au beau milieu des arbres, on perçoit régulièrement l'activité humaine, avec des tronçonneuses ou des avions. Et cela perturbe les animaux. Un scientifique s'en est rendu compte en posant des micros dans le Gâtinais afin de recenser les oiseaux.
Un article de FranceInfo
Au beau milieu des arbres, on perçoit régulièrement l'activité humaine, avec des tronçonneuses ou des avions. Et cela perturbe les animaux. Un scientifique s'en est rendu compte en posant des micros dans le Gâtinais afin de recenser les oiseaux.
13 mars 2025
Protection des forêts : faut-il abattre davantage de cerfs en France ?
Un article de FranceInfo
Y a-t-il trop de cerfs dans les forêts françaises ? C'est ce que semble penser le gouvernement, puisqu'il pointe le risque de dégâts dans les bois et envisage d'allonger la période de chasse. Les défenseurs des animaux, eux, s'insurgent.
Un article de FranceInfo
Y a-t-il trop de cerfs dans les forêts françaises ? C'est ce que semble penser le gouvernement, puisqu'il pointe le risque de dégâts dans les bois et envisage d'allonger la période de chasse. Les défenseurs des animaux, eux, s'insurgent.
13 mars 2025
Une coupe à blanc qui fait voir rouge
Un article dans Le Devoir
Une coupe à blanc, réalisée cet hiver à la demande de la municipalité, a eu raison d’une forêt mature à la lisière du village de Mont-Saint-Pierre, en Haute-Gaspésie. Le bois abritait un camping, qui devra rester fermé cet été, et sa destruction soulève la grogne dans la région. Madone Laflamme a travaillé durant 23 étés au camping de Mont-Saint-Pierre. Cette année, elle n’y travaillera pas, puisqu’il n’ouvrira simplement pas. Elle qui est originaire de la région digère mal la coupe à blanc qui a transformé le visage de son village. « C’était le joyau de Mont-Saint-Pierre. Maintenant, il n’en reste plus grand-chose », se désole-t-elle.
Un article dans Le Devoir
Une coupe à blanc, réalisée cet hiver à la demande de la municipalité, a eu raison d’une forêt mature à la lisière du village de Mont-Saint-Pierre, en Haute-Gaspésie. Le bois abritait un camping, qui devra rester fermé cet été, et sa destruction soulève la grogne dans la région. Madone Laflamme a travaillé durant 23 étés au camping de Mont-Saint-Pierre. Cette année, elle n’y travaillera pas, puisqu’il n’ouvrira simplement pas. Elle qui est originaire de la région digère mal la coupe à blanc qui a transformé le visage de son village. « C’était le joyau de Mont-Saint-Pierre. Maintenant, il n’en reste plus grand-chose », se désole-t-elle.
6 mars 2025
Au Japon, la pluie freine la propagation du pire incendie de forêt depuis 50 ans
Un article dans La Presse
Le Japon connaît actuellement le plus important incendie de forêt depuis 50 ans, dépassant les 2700 hectares en 1975 sur l'île de Hokkaido. L'incendie a fait rage dans les zones boisées autour de la ville d’Ofunato (dans la région d’Iwate au Nord-Est). Après une sécheresse record, la pluie qui a commencé à tomber mercredi a freiné la propagation de l'incendie.
Un article dans La Presse
Le Japon connaît actuellement le plus important incendie de forêt depuis 50 ans, dépassant les 2700 hectares en 1975 sur l'île de Hokkaido. L'incendie a fait rage dans les zones boisées autour de la ville d’Ofunato (dans la région d’Iwate au Nord-Est). Après une sécheresse record, la pluie qui a commencé à tomber mercredi a freiné la propagation de l'incendie.
6 mars 2025
Montréal : 500 000 nouveaux arbres seront plantés
Un article dans La Presse
Le ministre fédéral de l’Environnement a annoncé deux projets qui visent la plantation de 500 000 nouveaux arbres sur l’île de Montréal au cours des cinq prochaines années. Steven Guilbeault était de passage à la Société de verdissement du Montréal métropolitain (Soverdi) [Partenaire de la Chaire en foresterie urbaine d'Alain Paquette], mardi, pour annoncer les deux projets soutenus en partie par le programme fédéral « 2 milliards d’arbres ». [..] « Cette initiative phare permet aux résidents de Montréal d’acquérir, à coût modique, une sélection d’arbres adaptés au milieu urbain, tout en bénéficiant d’un accompagnement pour leur plantation et leur entretien. »
Un article dans La Presse
Le ministre fédéral de l’Environnement a annoncé deux projets qui visent la plantation de 500 000 nouveaux arbres sur l’île de Montréal au cours des cinq prochaines années. Steven Guilbeault était de passage à la Société de verdissement du Montréal métropolitain (Soverdi) [Partenaire de la Chaire en foresterie urbaine d'Alain Paquette], mardi, pour annoncer les deux projets soutenus en partie par le programme fédéral « 2 milliards d’arbres ». [..] « Cette initiative phare permet aux résidents de Montréal d’acquérir, à coût modique, une sélection d’arbres adaptés au milieu urbain, tout en bénéficiant d’un accompagnement pour leur plantation et leur entretien. »
5 mars 2025
Amazonie - La déforestation altère les précipitations selon les saisons »
Un article de La Presse
La déforestation en l’Amazonie conduit à une augmentation des précipitations pendant la saison des pluies et à leur réduction pendant la saison sèche, conclut une étude mercredi, soulignant la nécessité de mieux la « protéger ».
Un article de La Presse
La déforestation en l’Amazonie conduit à une augmentation des précipitations pendant la saison des pluies et à leur réduction pendant la saison sèche, conclut une étude mercredi, soulignant la nécessité de mieux la « protéger ».
3 mars 2025
These seven scientists escaped big-city life after completing their PhDs. Here’s how they make it work.
Un article de Nature
These seven scientists escaped big-city life after completing their PhDs. Here’s how they make it work.
Un article de Nature
These seven scientists escaped big-city life after completing their PhDs. Here’s how they make it work.
3 mars 2025
Nouveau régime forestier : « On ne veut pas être oubliés »
Un article de Radio-Canada
Alors que le dépôt du projet de loi visant à réformer le régime forestier de la province est imminent, la Municipalité de Mont-Carmel, dans le Kamouraska, craint d’être oubliée dans le processus. Depuis près de 17 ans, Mont-Carmel attend avec impatience que le ministère des Forêts concrétise la mise en place de forêts de proximité. « On ne veut pas être oublié, et aussi, on veut être écouté. Est-ce qu'on peut avoir droit au chapitre? Est-ce qu’on peut écouter les gens qui connaissent le milieu? »
Un article de Radio-Canada
Alors que le dépôt du projet de loi visant à réformer le régime forestier de la province est imminent, la Municipalité de Mont-Carmel, dans le Kamouraska, craint d’être oubliée dans le processus. Depuis près de 17 ans, Mont-Carmel attend avec impatience que le ministère des Forêts concrétise la mise en place de forêts de proximité. « On ne veut pas être oublié, et aussi, on veut être écouté. Est-ce qu'on peut avoir droit au chapitre? Est-ce qu’on peut écouter les gens qui connaissent le milieu? »
27 février 2025
L'avenir s'annonce plutôt rose pour l'ours noir
Un article de ULaval nouvelles
Une étude publiée dans Ecological Monographs par une équipe du Département de biologie de l'Université Laval et du ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) montre la grande capacité d'adaptation de l'ours noir. «C'est une espèce très adaptable qui déploie des stratégies lui permettant de vivre dans des habitats qui vont des forêts subtropicales jusqu'à la toundra. Le fait que l'ours noir semble si bien s'accommoder des changements environnementaux causés par les activités humaines fournit une nouvelle démonstration de sa grande adaptabilité.» explique Sandra Hamel, professeure au Département de biologie de l'Université Laval et co-autrice de l'article.
Un article de ULaval nouvelles
Une étude publiée dans Ecological Monographs par une équipe du Département de biologie de l'Université Laval et du ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) montre la grande capacité d'adaptation de l'ours noir. «C'est une espèce très adaptable qui déploie des stratégies lui permettant de vivre dans des habitats qui vont des forêts subtropicales jusqu'à la toundra. Le fait que l'ours noir semble si bien s'accommoder des changements environnementaux causés par les activités humaines fournit une nouvelle démonstration de sa grande adaptabilité.» explique Sandra Hamel, professeure au Département de biologie de l'Université Laval et co-autrice de l'article.
20 février 2025
Réforme du régime forestier - Les premières nations demandent impérativement le report du dépôt du projet de loi
Un communiqué de l'Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador
L'Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL) et une coalition de Chefs des Premières Nations dont les territoires sont directement concernés par le projet de loi du gouvernement du Québec sur le nouveau régime forestier, dénoncent fermement le manque de transparence de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maité Blanchette-Vézina, ainsi que son manquement quant à son obligation constitutionnelle de les consulter. Lors d'une rencontre tenue la semaine dernière avec la ministre, les Premières Nations avaient pourtant clairement exprimé la nécessité d'une consultation en bonne et due forme afin de s'assurer que leurs droits soient pleinement pris en compte dans l'élaboration du nouveau régime forestier. Malgré cette rencontre qui se voulait constructive, la ministre a rejeté cette demande, faisant fi des obligations du gouvernement en matière de consultation et de respect des droits et titres aborigènes des Premières Nations.
Un communiqué de l'Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador
L'Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL) et une coalition de Chefs des Premières Nations dont les territoires sont directement concernés par le projet de loi du gouvernement du Québec sur le nouveau régime forestier, dénoncent fermement le manque de transparence de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maité Blanchette-Vézina, ainsi que son manquement quant à son obligation constitutionnelle de les consulter. Lors d'une rencontre tenue la semaine dernière avec la ministre, les Premières Nations avaient pourtant clairement exprimé la nécessité d'une consultation en bonne et due forme afin de s'assurer que leurs droits soient pleinement pris en compte dans l'élaboration du nouveau régime forestier. Malgré cette rencontre qui se voulait constructive, la ministre a rejeté cette demande, faisant fi des obligations du gouvernement en matière de consultation et de respect des droits et titres aborigènes des Premières Nations.
20 février 2025
Régime forestier : les Premières nations veulent être consultés
Un reportage à CFNJ
L’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador et une coalition de Chefs des Premières Nations dont les territoires sont directement concernés par le projet de loi du gouvernement du Québec sur le nouveau régime forestier sont en colère. Ils dénoncent le manque de transparence de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maité Blanchette-Vézina, alors qu’elle a choisi de ne pas les consulter en vue de l’adoption du projet de loi. Le chef de Manawan, Sipi Flamand, en entrevue.
Un reportage à CFNJ
L’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador et une coalition de Chefs des Premières Nations dont les territoires sont directement concernés par le projet de loi du gouvernement du Québec sur le nouveau régime forestier sont en colère. Ils dénoncent le manque de transparence de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maité Blanchette-Vézina, alors qu’elle a choisi de ne pas les consulter en vue de l’adoption du projet de loi. Le chef de Manawan, Sipi Flamand, en entrevue.
20 février 2025
À la semaine verte: Les combattantes de la forêt
Un reportage de La semaine verte de Radio-Canada
Ce documentaire raconte les combats et les victoires de femmes qui protègent les végétaux et replantent des forêts. Elles luttent contre la déforestation et pour une meilleure gestion du patrimoine végétal. Avec elles, nous comprenons l’importance de l’enjeux : 40% de la surface globale des forêts ont été détruits. Chaque année, l’équivalent de la superficie du Portugal disparaît. Avec beaucoup d’énergie, de volonté et de persuasion, à l’image de dizaines d’autres personnes dans le monde, ces femmes exemplaires mobilisent les volontaires pour entrer dans l’action.
Un reportage de La semaine verte de Radio-Canada
Ce documentaire raconte les combats et les victoires de femmes qui protègent les végétaux et replantent des forêts. Elles luttent contre la déforestation et pour une meilleure gestion du patrimoine végétal. Avec elles, nous comprenons l’importance de l’enjeux : 40% de la surface globale des forêts ont été détruits. Chaque année, l’équivalent de la superficie du Portugal disparaît. Avec beaucoup d’énergie, de volonté et de persuasion, à l’image de dizaines d’autres personnes dans le monde, ces femmes exemplaires mobilisent les volontaires pour entrer dans l’action.
12 février 2025
Vers des tours de 18 étages en bois au Québec?
Un article de La Presse
Le gouvernement Legault veut modifier les normes de construction pour permettre un usage élargi du bois, notamment dans le secteur industriel et dans les tours à étage, qui pourraient atteindre éventuellement 18 étages. Mme Vézina a souligné que son gouvernement veut qu’on utilise plus de bois dans la construction industrielle, et qu’il est en discussion avec la Régie du bâtiment du Québec à ce sujet. Autre modification importante : le Québec autorise les bâtiments en bois d’un maximum de six étages. M. Boulet veut donc qu’on s’inspire de la Colombie-Britannique, qui a modifié son code de la construction en 2020 pour permettre une hauteur de 12 étages. « D’autres provinces ont fait des changements qui ont permis d’augmenter de manière significative l’utilisation du bois », a fait valoir la ministre Blanchette Vézina.
Un article de La Presse
Le gouvernement Legault veut modifier les normes de construction pour permettre un usage élargi du bois, notamment dans le secteur industriel et dans les tours à étage, qui pourraient atteindre éventuellement 18 étages. Mme Vézina a souligné que son gouvernement veut qu’on utilise plus de bois dans la construction industrielle, et qu’il est en discussion avec la Régie du bâtiment du Québec à ce sujet. Autre modification importante : le Québec autorise les bâtiments en bois d’un maximum de six étages. M. Boulet veut donc qu’on s’inspire de la Colombie-Britannique, qui a modifié son code de la construction en 2020 pour permettre une hauteur de 12 étages. « D’autres provinces ont fait des changements qui ont permis d’augmenter de manière significative l’utilisation du bois », a fait valoir la ministre Blanchette Vézina.
12 février 2025
Lancement de la Chaire de recherche du Canada avec les milieux de vie du Nord
Un communiqué de l'UQAM
La chaire dirigée par Laurie Guimond s’intéresse aux enjeux des communautés dans un contexte de profondes mutations territoriales. Les travaux de recherche de la chaire étudient les pratiques, les représentations et les savoirs ancrés dans les territoires ancestraux, les communautés autochtones et allochtones, les milieux transformés par l’industrie extractive, et les établissements dits disparus, mais bien vivants dans les mémoires collectives, comme les camps de chantier du Nord québécois.
Un communiqué de l'UQAM
La chaire dirigée par Laurie Guimond s’intéresse aux enjeux des communautés dans un contexte de profondes mutations territoriales. Les travaux de recherche de la chaire étudient les pratiques, les représentations et les savoirs ancrés dans les territoires ancestraux, les communautés autochtones et allochtones, les milieux transformés par l’industrie extractive, et les établissements dits disparus, mais bien vivants dans les mémoires collectives, comme les camps de chantier du Nord québécois.
10 février 2025
Une «ère de feu», de Los Angeles à Chibougamau
Un article du Devoir
Le Devoir s’est entretenu avec le professeur émérite de l’Université d’État de l’Arizona Stephen Pyne, le principal historien du feu aux États-Unis. Il a publié des dizaines d’ouvrages sur le sujet, dont le plus récent, The Pyrocene (University of California Press), en 2021. Avec le concept de pyrocène, il s’intéresse à l’histoire profonde. il fait remonter le début de cette époque au lendemain de la dernière ère glaciaire, il y a environ 12 000 ans. Ce qu’on voit aujourd’hui s’inscrit dans cette longue saga, celle de l’humanité et du feu.
Un article du Devoir
Le Devoir s’est entretenu avec le professeur émérite de l’Université d’État de l’Arizona Stephen Pyne, le principal historien du feu aux États-Unis. Il a publié des dizaines d’ouvrages sur le sujet, dont le plus récent, The Pyrocene (University of California Press), en 2021. Avec le concept de pyrocène, il s’intéresse à l’histoire profonde. il fait remonter le début de cette époque au lendemain de la dernière ère glaciaire, il y a environ 12 000 ans. Ce qu’on voit aujourd’hui s’inscrit dans cette longue saga, celle de l’humanité et du feu.
7 février 2025
Incendies de forêt : Le Canada investit 72 millions pour de la surveillance satellitaire
Un article de La Presse
Le ministre de l’Environnement et du Changement climatique, Steven Guilbeault, était de passage à l’Agence spatiale canadienne vendredi matin, à Longueuil, pour annoncer que le gouvernement accordera 72 millions à Spire Global Canada, pour la conception de la mission satellitaire canadienne GardeFeu. Le but de la mission est d’envoyer, en 2029, sept satellites dans l’espace afin de récolter des données quotidiennes sur tous les incendies de forêt en activité sur l’ensemble du territoire canadien. « Les capteurs infrarouges de pointe de la mission GardeFeu produiront des images thermiques qui fourniront des renseignements inédits sur les incendies de forêt » et « les autorités responsables s’en serviront pour évaluer l’intensité et l’évolution des incendies de forêt, et prendre les décisions qui s’imposent », explique-t-on dans un communiqué publié par le gouvernement.
Un article de La Presse
Le ministre de l’Environnement et du Changement climatique, Steven Guilbeault, était de passage à l’Agence spatiale canadienne vendredi matin, à Longueuil, pour annoncer que le gouvernement accordera 72 millions à Spire Global Canada, pour la conception de la mission satellitaire canadienne GardeFeu. Le but de la mission est d’envoyer, en 2029, sept satellites dans l’espace afin de récolter des données quotidiennes sur tous les incendies de forêt en activité sur l’ensemble du territoire canadien. « Les capteurs infrarouges de pointe de la mission GardeFeu produiront des images thermiques qui fourniront des renseignements inédits sur les incendies de forêt » et « les autorités responsables s’en serviront pour évaluer l’intensité et l’évolution des incendies de forêt, et prendre les décisions qui s’imposent », explique-t-on dans un communiqué publié par le gouvernement.
7 février 2025
En Indonésie, des millions d'hectares de forêts bientôt convertis en réserves alimentaires et énergétiques ?
Un article de RFI
C’est un projet qui fait couler beaucoup d’encre : en Indonésie, l’Etat a annoncé sa volonté de convertir plusieurs millions d’hectares de forêts en réserve alimentaire et énergétique. Objectif : produire du riz, de l’huile de palme et du bioéthanol. « Une catastrophe » environnementale en perspective, alertent les ONG. Mais qu’est-ce que ce projet précisément ?
Un article de RFI
C’est un projet qui fait couler beaucoup d’encre : en Indonésie, l’Etat a annoncé sa volonté de convertir plusieurs millions d’hectares de forêts en réserve alimentaire et énergétique. Objectif : produire du riz, de l’huile de palme et du bioéthanol. « Une catastrophe » environnementale en perspective, alertent les ONG. Mais qu’est-ce que ce projet précisément ?
6 février 2025
Inondations et feux de forêt: construire en zones risquées coûte cher
Un article dans Le Soleil
Les communautés du Saguenay-Lac-Saint-Jean pourraient devenir encore plus vulnérables aux feux de forêt si des efforts ne sont pas faits pour arrêter la construction de nouvelles habitations dans les zones plus à risque. L’analyse de l’Institut climatique du Canada Des risques à nos portes se penche sur les coûts qu’engendra la poursuite de la construction résidentielle en zones inondables et vulnérables aux feux de forêt. Les chercheurs ont analysé les politiques gouvernementales nationales et provinciales en matière d’aménagement du territoire, de logement et d’aide aux sinistrés.
Un article dans Le Soleil
Les communautés du Saguenay-Lac-Saint-Jean pourraient devenir encore plus vulnérables aux feux de forêt si des efforts ne sont pas faits pour arrêter la construction de nouvelles habitations dans les zones plus à risque. L’analyse de l’Institut climatique du Canada Des risques à nos portes se penche sur les coûts qu’engendra la poursuite de la construction résidentielle en zones inondables et vulnérables aux feux de forêt. Les chercheurs ont analysé les politiques gouvernementales nationales et provinciales en matière d’aménagement du territoire, de logement et d’aide aux sinistrés.
6 février 2025
Impressionnant : ce drone autonome traverse une forêt dense sans se crasher !
Un article de Futura-Sciences
S’il s’agissait d’un drone tueur, il aurait de quoi inquiéter. Le Super Micro est dopé à l’IA et utilise des capteurs qui lui permettent d’éviter les obstacles dans un environnement dense, tout en volant à haute vitesse.
Un article de Futura-Sciences
S’il s’agissait d’un drone tueur, il aurait de quoi inquiéter. Le Super Micro est dopé à l’IA et utilise des capteurs qui lui permettent d’éviter les obstacles dans un environnement dense, tout en volant à haute vitesse.
6 février 2025
Cartographier l’occupation du territoire en un temps record
Un communiqué de l'Université de Sherbrooke
Les changements climatiques ont révélé l’urgence de connaitre en continu l’évolution des sols de notre territoire afin de pouvoir prévenir ou amoindrir les conséquences de ses modifications. Or, à ce jour cette information est coûteuse à acquérir et sa mise à jour prend des années. Une équipe de recherche de l’UdeS a répondu à l’appel du gouvernement du Québec en mettant à profit l’intelligence artificielle pour catégoriser tous les sols du territoire québécois et fournir en un temps record les précieuses cartes révélatrices de notre impact sur l’environnement. Avec leur équipe de recherche, les professeurs Samuel Foucher et Étienne Clabaut, du Département de géomatique appliquée de l’Université de Sherbrooke, ont réussi à entrainer l’intelligence artificielle à lire des cartes satellites et à déterminer ce qui compose le sol : des surfaces naturelles comme les forêts, l’eau ou les prairies, et les surfaces créées par l’humain comme les routes, les bâtiments ou les stationnements. En décodant la composition des surfaces, l’intelligence artificielle peut en quelques heures effectuer ce travail de précision qui demandait auparavant des années, sans compter les erreurs humaines qui faussaient les données.
Un communiqué de l'Université de Sherbrooke
Les changements climatiques ont révélé l’urgence de connaitre en continu l’évolution des sols de notre territoire afin de pouvoir prévenir ou amoindrir les conséquences de ses modifications. Or, à ce jour cette information est coûteuse à acquérir et sa mise à jour prend des années. Une équipe de recherche de l’UdeS a répondu à l’appel du gouvernement du Québec en mettant à profit l’intelligence artificielle pour catégoriser tous les sols du territoire québécois et fournir en un temps record les précieuses cartes révélatrices de notre impact sur l’environnement. Avec leur équipe de recherche, les professeurs Samuel Foucher et Étienne Clabaut, du Département de géomatique appliquée de l’Université de Sherbrooke, ont réussi à entrainer l’intelligence artificielle à lire des cartes satellites et à déterminer ce qui compose le sol : des surfaces naturelles comme les forêts, l’eau ou les prairies, et les surfaces créées par l’humain comme les routes, les bâtiments ou les stationnements. En décodant la composition des surfaces, l’intelligence artificielle peut en quelques heures effectuer ce travail de précision qui demandait auparavant des années, sans compter les erreurs humaines qui faussaient les données.
31 janvier 2025
La CMM veut protéger les «paysages humanisés» des collines montérégiennes
Un article dans Le Devoir
La vaste majorité des milieux naturels du territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) ont été rayés de la carte au fil des décennies, et la destruction se poursuit toujours, sous la pression de l’étalement urbain. Mais un projet de « paysages humanisés » axé sur cinq collines montérégiennes pourrait contribuer à la protection de la biodiversité, qui est aussi riche que menacée dans le sud du Québec. Un « paysage humanisé » est une forme d’aire protégée qui est reconnue par l’Union internationale pour la conservation de la nature et qui existe dans plusieurs pays d’Europe, où l’occupation du territoire par l’activité humaine est particulièrement intensive.
Un article dans Le Devoir
La vaste majorité des milieux naturels du territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) ont été rayés de la carte au fil des décennies, et la destruction se poursuit toujours, sous la pression de l’étalement urbain. Mais un projet de « paysages humanisés » axé sur cinq collines montérégiennes pourrait contribuer à la protection de la biodiversité, qui est aussi riche que menacée dans le sud du Québec. Un « paysage humanisé » est une forme d’aire protégée qui est reconnue par l’Union internationale pour la conservation de la nature et qui existe dans plusieurs pays d’Europe, où l’occupation du territoire par l’activité humaine est particulièrement intensive.
29 janvier 2025
Ottawa et Québec financent un programme conjoint d’adaptation aux feux de forêt
Un article dans Le Devoir
Ottawa et Québec financent un nouveau programme conjoint d’adaptation aux feux de forêt. Ces 64 millions de dollars investis sur trois ans serviront notamment à acquérir du matériel de lutte contre les incendies, comme des véhicules et des aéronefs, à recruter des pompiers et à prodiguer de la formation aux intervenants.
Un article dans Le Devoir
Ottawa et Québec financent un nouveau programme conjoint d’adaptation aux feux de forêt. Ces 64 millions de dollars investis sur trois ans serviront notamment à acquérir du matériel de lutte contre les incendies, comme des véhicules et des aéronefs, à recruter des pompiers et à prodiguer de la formation aux intervenants.
23 janvier 2025
Au Brésil, la superficie végétale brûlée par les incendies a bondi de 79% l’an dernier
Un article dans Le Devoir
La superficie végétale détruite par des incendies au Brésil a augmenté de 79 % en 2024 à 30,8 millions d’hectares, supérieure à celle de l’Italie, selon un rapport de la plateforme de surveillance MapBiomas publié mercredi. Il s’agit de la plus grande surface partie en fumée dans le pays d’Amérique latine sur un an depuis 2019. L’Amazonie, gigantesque région naturelle à l’écosystème crucial pour la régulation du climat, a été la plus affectée avec quelque 17,9 millions d’hectares ravagés, soit 58 % du total, et plus que l’ensemble des surfaces brûlées dans tout le pays en 2023, précise l’étude.
Un article dans Le Devoir
La superficie végétale détruite par des incendies au Brésil a augmenté de 79 % en 2024 à 30,8 millions d’hectares, supérieure à celle de l’Italie, selon un rapport de la plateforme de surveillance MapBiomas publié mercredi. Il s’agit de la plus grande surface partie en fumée dans le pays d’Amérique latine sur un an depuis 2019. L’Amazonie, gigantesque région naturelle à l’écosystème crucial pour la régulation du climat, a été la plus affectée avec quelque 17,9 millions d’hectares ravagés, soit 58 % du total, et plus que l’ensemble des surfaces brûlées dans tout le pays en 2023, précise l’étude.
22 janvier 2025
Feux de forêt : les Nord-Côtiers appelés à s’exprimer sur des travaux de reboisement
Un article de La Presse
Une personne qui se perd en forêt, surtout en hiver, c’est dramatique. Ça peut arriver dans les Adirondacks ou dans les montagnes de l’Utah, mais aussi dans les régions isolées du Québec. Que se passe-t-il lorsque quelqu’un manque à l’appel ? « La plupart du temps, l’appel vient de la famille », note Guy Lapointe, président de l’Association québécoise des bénévoles en recherche et sauvetage (AQBRS). Les policiers, qu’il s’agisse d’agents de la police municipale ou de la Sûreté du Québec (SQ), commencent par discuter avec la famille, les autres témoins. Il s’agit notamment d’établir un profil de la personne. C’est la première étape de l’enquête.
Un article de La Presse
Une personne qui se perd en forêt, surtout en hiver, c’est dramatique. Ça peut arriver dans les Adirondacks ou dans les montagnes de l’Utah, mais aussi dans les régions isolées du Québec. Que se passe-t-il lorsque quelqu’un manque à l’appel ? « La plupart du temps, l’appel vient de la famille », note Guy Lapointe, président de l’Association québécoise des bénévoles en recherche et sauvetage (AQBRS). Les policiers, qu’il s’agisse d’agents de la police municipale ou de la Sûreté du Québec (SQ), commencent par discuter avec la famille, les autres témoins. Il s’agit notamment d’établir un profil de la personne. C’est la première étape de l’enquête.
22 janvier 2025
Feux de forêt : les Nord-Côtiers appelés à s’exprimer sur des travaux de reboisement
Un article de Radio-Canada
En réponse aux feux de forêt de l’été 2023, le ministère des Ressources naturelles et des Forêts apportera des modifications au plan d’aménagement forestier d’une large zone de territoire public de la Côte-Nord. Jusqu’au 9 février, la population est appelée à se prononcer sur la question. Les travaux planifiés incluent notamment du reboisement et la réfection de chemins multiusages, indique un communiqué de presse du ministère des Ressources naturelles et des Forêts.
Un article de Radio-Canada
En réponse aux feux de forêt de l’été 2023, le ministère des Ressources naturelles et des Forêts apportera des modifications au plan d’aménagement forestier d’une large zone de territoire public de la Côte-Nord. Jusqu’au 9 février, la population est appelée à se prononcer sur la question. Les travaux planifiés incluent notamment du reboisement et la réfection de chemins multiusages, indique un communiqué de presse du ministère des Ressources naturelles et des Forêts.
21 janvier 2025
Brésil : La surface végétale brûlée par les incendies a bondi de 79 % l’année dernière
Un article de La Presse
La surface végétale détruite par des incendies au Brésil a augmenté de 79 % en 2024 à 30,8 millions d’hectares, supérieure à la superficie de l’Italie, selon un rapport de la plateforme de surveillance MapBiomas publié mercredi.
Un article de La Presse
La surface végétale détruite par des incendies au Brésil a augmenté de 79 % en 2024 à 30,8 millions d’hectares, supérieure à la superficie de l’Italie, selon un rapport de la plateforme de surveillance MapBiomas publié mercredi.
17 janvier 2025
Comprendre les feux de Los Angeles en cartes
Un article dans Le Devoir
Où se situent les feux à Los Angeles, qui sévissent toujours à l’heure actuelle ? Comment se comparent-ils aux précédents feux dans la région ? Quels dommages les flammes ont-elles laissés derrière elles ? Retour sur ces incendies impressionnants en cartes.
Un article dans Le Devoir
Où se situent les feux à Los Angeles, qui sévissent toujours à l’heure actuelle ? Comment se comparent-ils aux précédents feux dans la région ? Quels dommages les flammes ont-elles laissés derrière elles ? Retour sur ces incendies impressionnants en cartes.
17 janvier 2025
Seulement quatre enquêteurs pour inspecter toute la forêt publique au Québec
Un article dans Le Droit
Au Québec, 92 % des 906 000 km2 de forêts sont publiques. Et il ne reste plus que quatre enquêteurs au ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) pour couvrir tout ce territoire selon les données compilées par le Syndicat de la forêt publique du Québec (SFPQ). Le Quotidien a révélé que le nombre d’enquêteurs est passé de 20 à sept depuis 2020, mais la situation est encore pire selon les données de relevé de paie du SFPQ. «On savait qu’il y avait eu des baisses, mais on a été surpris de constater une baisse aussi dramatique, lance Christian Daigle, le président général SFPQ. En allant vérifier les relevés de paie, on a constaté qu’il reste seulement quatre personnes qui ont le titre d’enquêteurs au MRNF».
Un article dans Le Droit
Au Québec, 92 % des 906 000 km2 de forêts sont publiques. Et il ne reste plus que quatre enquêteurs au ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) pour couvrir tout ce territoire selon les données compilées par le Syndicat de la forêt publique du Québec (SFPQ). Le Quotidien a révélé que le nombre d’enquêteurs est passé de 20 à sept depuis 2020, mais la situation est encore pire selon les données de relevé de paie du SFPQ. «On savait qu’il y avait eu des baisses, mais on a été surpris de constater une baisse aussi dramatique, lance Christian Daigle, le président général SFPQ. En allant vérifier les relevés de paie, on a constaté qu’il reste seulement quatre personnes qui ont le titre d’enquêteurs au MRNF».
16 janvier 2025
Une forêt préhistorique se cache à Yellowstone depuis 6 000 ans
Un article de Science Post
Sous les glaces du plateau Beartooth, dans les montagnes Rocheuses, une forêt préhistorique longtemps oubliée se révèle enfin après des millénaires de conservation. Cette découverte, qui date de près de 6 000 ans, offre un aperçu fascinant des écosystèmes anciens et des changements climatiques majeurs qui ont façonné la région du Grand Yellowstone.
Un article de Science Post
Sous les glaces du plateau Beartooth, dans les montagnes Rocheuses, une forêt préhistorique longtemps oubliée se révèle enfin après des millénaires de conservation. Cette découverte, qui date de près de 6 000 ans, offre un aperçu fascinant des écosystèmes anciens et des changements climatiques majeurs qui ont façonné la région du Grand Yellowstone.
16 janvier 2025
Québec consulte concernant l’aménagement des secteurs touchés par les feux de forêt sur la Côte-Nord
Un article de Ma Côte-Nord
Le ministère des Forêts débute aujourd’hui une consultation concernant l’aménagement des territoires touchés par les feux de forêt sur la Côte-Nord. Le gouvernement planifie des travaux de préparation de terrain, de reboisement et de réfection des chemins multiusages. Québec prévoit adaptera son plan d’opération forestière. La consultation publique ne permet pas de réviser l’affectation du territoire et les droits consentis. Les citoyens peuvent exprimer leurs commentaires et s’informer sur le plan d’aménagement forestier intégré opérationnel sur le site web du ministère des Ressources naturelles et des Forêts. La date limite pour participer à la consultation publique est le 9 février 2025.
Un article de Ma Côte-Nord
Le ministère des Forêts débute aujourd’hui une consultation concernant l’aménagement des territoires touchés par les feux de forêt sur la Côte-Nord. Le gouvernement planifie des travaux de préparation de terrain, de reboisement et de réfection des chemins multiusages. Québec prévoit adaptera son plan d’opération forestière. La consultation publique ne permet pas de réviser l’affectation du territoire et les droits consentis. Les citoyens peuvent exprimer leurs commentaires et s’informer sur le plan d’aménagement forestier intégré opérationnel sur le site web du ministère des Ressources naturelles et des Forêts. La date limite pour participer à la consultation publique est le 9 février 2025.
14 janvier 2025
Québec lance trois chantiers stratégiques pour dynamiser la contribution de la forêt privée à la filière forestière
Un communiqué du MRNF
À l'occasion de la Table nationale sur la forêt privée tenue hier, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, a annoncé la mise en place de trois chantiers visant à mobiliser l'ensemble des partenaires de la forêt privée dans la recherche de solutions pour répondre à la vision et au constat concernant la forêt privée dévoilés à la suite des Tables de réflexion sur l'avenir de la forêt.
Un communiqué du MRNF
À l'occasion de la Table nationale sur la forêt privée tenue hier, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, a annoncé la mise en place de trois chantiers visant à mobiliser l'ensemble des partenaires de la forêt privée dans la recherche de solutions pour répondre à la vision et au constat concernant la forêt privée dévoilés à la suite des Tables de réflexion sur l'avenir de la forêt.
14 janvier 2025
Écoanxiété : ce qu'il faut savoir
Un balado "Le détecteur de rumeurs"
Feux ravageurs, inondations, sécheresses, et le mercure qui fracasse des records aux quatre coins de la planète… Les dernières années n’ont pas manqué d’événements climatiques extrêmes et inquiétants. Pas étonnant, donc, qu’on parle de plus en plus d’écoanxiété ! Mais que sait-on vraiment de l’écoanxiété ? Au Détecteur de rumeurs, on a pu observer qu’elle reste encore méconnue, qu’elle est l’objet de nombreuses idées reçues, voire de préjugés. Et que c’est même devenu une sorte d’insulte, pour certains, que de traiter les citoyens préoccupées par le sort de notre planète de « d’écoanxieux ». On a donc cherché à cerner ce phénomène avec Anne-Sophie Gousse-Lessard, professeure en communication et psychologie environnementales au département de Communication sociale et publique de l'UQAM.
Un balado "Le détecteur de rumeurs"
Feux ravageurs, inondations, sécheresses, et le mercure qui fracasse des records aux quatre coins de la planète… Les dernières années n’ont pas manqué d’événements climatiques extrêmes et inquiétants. Pas étonnant, donc, qu’on parle de plus en plus d’écoanxiété ! Mais que sait-on vraiment de l’écoanxiété ? Au Détecteur de rumeurs, on a pu observer qu’elle reste encore méconnue, qu’elle est l’objet de nombreuses idées reçues, voire de préjugés. Et que c’est même devenu une sorte d’insulte, pour certains, que de traiter les citoyens préoccupées par le sort de notre planète de « d’écoanxieux ». On a donc cherché à cerner ce phénomène avec Anne-Sophie Gousse-Lessard, professeure en communication et psychologie environnementales au département de Communication sociale et publique de l'UQAM.
10 janvier 2025
Supporting Communities, Maintaining Biodiversity: Ducks Unlimited Canada is Canada’s largest land conservancy, focused on conserving the country’s wetlands
Un communiqué de l'UICN
Ducks Unlimited Canada (DUC) was founded in 1938, when severe drought conditions across the US Great Plains and Canadian Prairies, coupled with previous decades of wetland habitat loss, led to a dramatic decline in waterfowl populations. Conservation-minded outdoor enthusiasts and hunters took action to restore and conserve these crucial habitats. With the degradation and loss of these habitats an ongoing concern, DUC’s conservation and restoration efforts help maintain biodiversity, support sustainable communities and mitigate the impacts of climate change. [..] DUC continues to work towards a comprehensive wetland inventory and has recently developed a biodiversity tool. With improved data models, land-use management policies could consider the full value of conserving and restoring habitats like wetlands based on the ecological goods and services provided, and communities could fully consider the costs of investing in climate resilience compared to the costs of emergency response and disaster recovery.
Un communiqué de l'UICN
Ducks Unlimited Canada (DUC) was founded in 1938, when severe drought conditions across the US Great Plains and Canadian Prairies, coupled with previous decades of wetland habitat loss, led to a dramatic decline in waterfowl populations. Conservation-minded outdoor enthusiasts and hunters took action to restore and conserve these crucial habitats. With the degradation and loss of these habitats an ongoing concern, DUC’s conservation and restoration efforts help maintain biodiversity, support sustainable communities and mitigate the impacts of climate change. [..] DUC continues to work towards a comprehensive wetland inventory and has recently developed a biodiversity tool. With improved data models, land-use management policies could consider the full value of conserving and restoring habitats like wetlands based on the ecological goods and services provided, and communities could fully consider the costs of investing in climate resilience compared to the costs of emergency response and disaster recovery.
10 janvier 2025
Réchauffement climatique : +1,5 °C : nous y sommes
Un dossier de 4 articles de La Presse
Le réchauffement planétaire a pour la première fois dépassé le seuil de 1,5 °C en 2024, confirment les grandes agences climatiques du monde. Un rappel qu’il faut accélérer l’action climatique, disent les experts, qui voient néanmoins de bonnes raisons d’être optimistes, malgré un déluge d’évènements extrêmes.
Un dossier de 4 articles de La Presse
Le réchauffement planétaire a pour la première fois dépassé le seuil de 1,5 °C en 2024, confirment les grandes agences climatiques du monde. Un rappel qu’il faut accélérer l’action climatique, disent les experts, qui voient néanmoins de bonnes raisons d’être optimistes, malgré un déluge d’évènements extrêmes.
10 janvier 2025
'The prescription is nature': How satellites can show us the healing effects of nature
Un article de Live Science
"The incidence of diagnosis and treatment of mental health disorders is less the greener the environment people live in." Nature surrounds us, but as our cities and urban environments encroach ever further across green spaces, are we losing one of the most powerful weapons in our armory against disease? In this excerpt from her new book "Good Nature," Kathy Willis, professor of biodiversity at the University of Oxford, shows how satellite images reveal the negative effect that the erosion of green spaces is having on the mental wellbeing of the population. It's also increasing the risk of respiratory and cardiovascular diseases. She explores the tools we use to make these discoveries, and reveals the untapped power of nature in combating common health problems.
9 janvier 2025
Sapin, épinette, pin, mélèze… Comment identifier ce conifère?
Un article de Nature Québec
Épineux débat que nous avons tous et toutes, surtout durant les mois les plus froids : sapin ou épinette ? Nature Québec vous aide à trancher: voici comment identifier les conifères!
3 janvier 2025
Le mystère de l’origine des baobabs enfin résolu ?
Un article de La Presse
Le baobab fait partie des symboles de l’Afrique, mais ses racines font depuis longtemps débat. Selon une étude chinoise, l’arbre emblématique – notamment pour le petit prince de Saint-Exupéry – serait né… à Madagascar. [..] Le baobab serait apparu il y a 41 millions d’années et serait resté confiné à Madagascar pendant les premières 30 millions d’années de son existence. Encore aujourd’hui, six des huit espèces de baobabs n’existent qu’à Madagascar. Dans l’île, certaines espèces poussent dans certaines régions, et pas dans d’autres. Le baobab africain, qui est arrivé par les Comores, existe aussi à Madagascar.
3 janvier 2025
Aires protégées : plus de 200 000 km2 à la portée du Québec
Un article de Radio-Canada
Sous-représenté dans le bilan des aires protégées au Québec, le sud de la province pourrait bientôt fournir sa part grâce à plus de 500 projets récemment transmis au gouvernement. Si tous les projets d'aires protégées envoyés dans le cadre d'un récent appel du ministère de l'Environnement se réalisaient demain matin, le sud du Québec pourrait largement contribuer à l'atteinte de la cible de 30 % du territoire sous protection d'ici 2030, avec un potentiel de plus de 200 000 km2. Encore faut-il que les MRC donnent leur appui, alors que le quart des initiatives pourraient être écartées d'emblée.
3 janvier 2025
Mon pays, ce n’est pas mon pays, c’est une ressource
Un texte d'opinion de Sébastien Perron paru dans Le Devoir
Avez-vous déjà pris le temps de regarder un caribou ? Comme ils sont beaux, ces cervidés, comme ils ont un regard tendre et profond. Une grande douceur émane de ces êtres, esprits de la forêt qui répondent aussi au nom d’atiku. Si le caribou peut disparaître, nous aussi, nous le pouvons — et pour les mêmes raisons. Pour les Autochtones, habiter le territoire signifie vivre en symbiose avec lui. Pour les autres, ça veut souvent dire l’exploiter.
